Le Champ Lexical Du Massacre

avoir cette puissance et vont être ‘exploitées’. Au long de tout le livre, Duroy et Mme de Marelle ont une relation ambigüe. Duroy force l’acte sexuel sur Mme de Marelle. Ce viol est clairement dépeint dans le chapitre V, partie I, p.125 par le champ lexical de la violence: ‘’il se jeta sur elle’’ et de la souffrance qui en résulte: ‘’elle jeta un cri’’, ‘’elle ne se levait pas, elle ne remuait point, etourdie par ce qui venait de se passer’’. Elle refuse clairement cet acte mais Bel-Ami la force sur

lie » : notion de lien, prisonnier d'une seule femme + « demeurer » : ne veut pas être priver d'autres femmes • « qu'on renonce » : au monde ; privation, abandon • « qu'on ait d'yeux » : aveuglement ▶ Il cite tous les défauts de la fidélité. – Champs lexical de la mort pour exprimer la constance : « s'ensevelir pour toujours » - « être mort dés sa jeunesse » (paradoxe). La fidélité est contre-nature, c'est la mort alors que l'infidélité, la séduction c'est la vie. – L'infidèle voit toutes les autres

(1982). © Langage et société n° 99 – mars 2002 54 LEILA MESSAOUDI Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 41.140.125.132 - 08/04/2013 15h50. © Maison des sciences de l'homme Le technolecte est conçu comme un ensemble d’usages lexicaux et discursifs, propres à une sphère de l’activité humaine. Ainsi, les productions écrites et orales, englobant la terminologie savante, les textes de haute scientificité, mais aussi le vocabulaire banalisé et la terminologie populaire viendront se

réalisation dans un avenir imprécis. → Il y a un départ, un affranchissement des contraintes, un éloignement de la famille, une errance (vagabondage loin des routes et des chemins traditionnels : « sentiers » à peine perceptibles, à la lisière des champs). Ce départ est mis en relief par l’assonance en é (voyelle ouverte → ouverture) + « J’irai » au futur marque bien la décision de partir. Le Rimbaud Fugueur apparaît donc déjà dans ces premières lignes. → Le voyage s’apparente à une fugue : Ni

« Vengeances ». La terreur de Caïn, le meurtrier, dépasse celle de son frère, sa victime. L’essentiel du poème est consacré à décrire cette terreur et à la rendre littérairement terrifiante. Tout d’abord le champ lexical se concentre sur le visage de Caïn, et ce déjà avant qu’il ne massacre son frère : « Caïn grinça les dents, pâlit, épouvantable » (v.4). Ensuite également : « cheveux vers le ciel hérissés en furie », « grincement des dents », « bouche flétrie », « œil sourcillant de peur » (v.12

l'animal pour lequel ils s'égorgent. » Un dernier procédé est utilisé, dans chaque texte le champs lexical de la guerre, de la violence est employé. Jean de La Bruyère utilise « aboient », « affrontent », « mordent », « déchirent », « fureur », « puanteur », « anéantir », « les lances, les piques, les dards, les sabres et les cimeterres », « sang ». Dans Micromégas on y trouve « tuent », « massacrés », « égorger », « assassins » et dans 188 contes à régler « violence », « destruction »,

France, les tentatives de réforme connurent des succès importants, mais aussi des résistances extrêmes. Des guerres fratricides déchirèrent le pays durant tout le siècle, dans les Cévennes, dans le Sud-Ouest, dans le Centre, jusqu'à Paris même (le massacre de la Saint-Barthélemy en 1572). Les homme de pensée, les poètes, les érudits prenaient part aux querelles : voyez par exemple Du Bellay ou Agrippa d'Aubigné. Henri IV parvint à apaiser les différends en 1598 en promulguant l'Édit de Nantes, qui

d’ « épouvantable » monstre qui «  broie » mais d’autre part aux politiques qui commanditent la guerre pour leur petit profit. L’adjectif à quatre syllabes « épouvantable »accentue l’indignation du poète qui est choqué du haut de ses 16 ans de voir un tel massacre. Rimbaud choisit des images fortes qui renvoient au titre de son poème Le Mal ; la guerre fait du mal et elle est le mal puisque c’est une machine à détruire. Le verbe « broyer » rappelle la déshumanisation des soldats qui sont réduits à néant sous

débute une Révolution et Victor Hugo est nommé maire du 8ème arrondissement de Paris. Ensuite, Victor Hugo siègera parmi les conservateurs en tant que député de la deuxième République. Lors d'émeutes en juin 1848, il va lui-même participer au massacre, en commandant des troupes face aux barricades, dans l'arrondissement parisien dont il est le maire. Plus tard, il désapprouvera cette répression sanglante. En aout 1848, Hugo créé le journal « l'Evènement ». Il soutient Louis-Napoléon Bonaparte

dans les foules que l’on pourchasse ou décime » - On peut penser aux hommes mis dans les camps – part d’anonymat « expirant parmi les autres ou dans la solitude » dramatisation, la narratrice évoque l’agonie. 2 – Analyse du 2ème temps « Les massacrés, réfugiés, fusillés, suppliciés de tous les continents. » Sujet collectif qui englobe tous types de victimisation. Verbe : « convergent soudain vers cette rue unique » 3ème temps : La jeune femme ; « vers cette rue