Le Chat sauvage

les 150 ans de l’abolition de l’esclavage il participa à une émission de radio avec pour thème « Des Canaques à Paris » dont il s’inspira pour son œuvre Cannibale en 1998. Il a également écrit Meurtres pour mémoire, la Mort n’oublie personne, Le Chat Tigali, Histoire et Faux semblants. Il a reçu notamment le prix Goncourt pour la nouvelle en 2012. Il écrivait surtout des romans noirs. 2. Qui est le héros de cette histoire ? Le héros de cette histoire est Gocéné, un jeune kanak qui vivait en

maire décide de lancer une expédition pour chasser l'ocelot et y convie le vieux. Celui-ci part à contre cœur, regrettant sa vie paisible de lecteur. Symbole de tous les colons, le maire démontrera sa stupidité, son mépris pour la forêt et ses « sauvages » et son ignorance : il se couvre d'un imperméable malgré la chaleur, il chausse des bottes pour la marche, il tue un ours à miel, l'animal le plus inoffensif de la forêt, il tire à l'aveuglette,... A l'opposé, ressortent l'extraordinaire savoir

« Habitudes de sauvages », « cela n'est pas de chez nous », « on ne devrait pas permettre cela », etc. Toutes ces réactions traduisent cette même répulsion en présence d'une culture différente de la sienne, de manières de vivre, de croire ou de penser qui nous sont étrangères. Par exemple, l'Antiquité confondait-elle tout ce qui se distinguait de la culture grecque (puis gréco-romaine) sous le même nom de barbare; la civilisation occidentale a ensuite utilisé le terme de sauvage dans le même sens

l'Homme, soit un portrait humain, un sentiment, ou bien une peine. Il est vrai que sur plusieurs points les animaux sont les reflets parfaits de l'Homme. Par exemple, dans son poème « Le Chat » écrit en 1854 et introduit dans le recueil « Les Fleurs du Mal », Baudelaire fait une métaphore avec la présence d'un chat qui, en le caressant, le sentant, le regardant a pour effet de lui évoquer le corps et l'esprit de sa femme de manière érotique. Ou encore, dans « L'hirondelle au printemps cherche les

Ce ne fut que vers huit heures du soir, quand  la nuit allait lui sauter à la gorge, comme un  chat sauvage, que le pêcheur sentit soudain le froid. Il était arrivé devant ce plan d'eau à l'aube, il n'avait pas pris le moindre poisson. Cela lui parut inquiétant. Comme tous les pêcheurs, il n'avait que peu de cervelle et peu de facultés de  5   raisonner, mais il pensa quand même qu'il prenait toujours au moins un poisson, même dans les étangs morts que l'on prétendait peu poissonneux. De là à

dialectes d'oïl septentrionaux (ex : bas-lorrain, champenois, picard, ancien normand septentrional woupil). Le latin vulpēs est issu de l'indo-européen commun *(H)ulp-i-, qui est continué par l'avestique urupi « martre » et le lituanien vilpišỹs « chat sauvage », ainsi que par des formes dérivées comme le persan rubâh (روباه) « renard » et le sanskrit lopāśá « chacal »[6].

révérait son propre Dieu. Chez eux, les Egyptiens consultaient des divinités mineures pour résoudre leurs problèmes quotidiens. De nombreux Dieux avaient la forme d'un animal : Bastet, la déesse de l'amour et de la joie, était représenté par la un chat; d'autres avaient une silhouette humaine avec une tête d'animal ou d'oiseau, tel le dieu du Savoir Thot, à la tête d'Ibis. Les dieux avaient parfois aussi une famille. Ainsi, Osiris et Isis avaient un fils, Horus. THOT : Dieu égyptien à caractère

mal mis et sa réserve aristocratique ? Je lui offre sa place à mon feu et dans ma vie, et peut-être m’aimera-t-elle, elle qui sait déjà me défendre… Ma petite bull au cœur enfantin dort, foudroyée de sommeil, la fièvre au museau et aux pattes. La chatte grise n’ignore pas qu’il neige, et depuis le déjeuner je n’ai pas vu le bout de son nez, enfoui dans le poil de son ventre. Encore une fois me voici, en face de mon feu, de ma solitude, en face de moi-même… Une année de plus… À quoi bon les compter

qui exige de nous que nous les traitions comme nos prochains ? ». Ainsi, contrairement à ce qu'il se passe dans la nature, où les membres du règne animal se reconnaissent d'emblée comme faisant partie de la même espèce (un chat reconnaît un chat, un corbeau reconnaît un autre corbeau et adopte un comportement adapté à cette rencontre), on observe que l'homme n'a pas toujours été, de fait, un homme pour son semblable. Pourquoi ? Qu'est-ce qui serait susceptible de nourrir ce doute 

Fontaine. Grâce au caractère qu'il attribue à chaque animal, il laisse deviner qui il met en cause. • Le Lion représente le pouvoir du roi, le Chat, l'hypocrite, le Renard, le rusé. Principaux acteurs des fables, les animaux parlent et s'animent sous les yeux du lecteur. La Fontaine les peint avec des détails expressifs. Tous sont présents : animaux sauvages et domestiques, grosses et petites bêtes, gentilles (l'âne, l'agneau) et féroces (lion, loup…) 2. La société • La Fontaine dresse un large panorama