Le Cid Acte Iv

classique. On situe la naissance de ce mouvement au XVIIe siècle, le siècle de Louis XIV. La fin de son rayonnement survient au XIXe siècle, lorsque les Romantiques le remettent en question. Le mouvement est apparu lors d’une querelle concernant Le Cid de Corneille. Alors, Nicolas Boileau, inspiré par Aristote, instaura les règles du mouvement et notamment dans son ouvrage Art Poétique. La thèse dominante du mouvement est que l'ordre, l'équilibre sont seuls capables d'atteindre la perfection d'où

Le Misanthrope Acte IV Scène III : Passion et Jalousie. Molière Texte : Alceste 1371. Ciel ! rien de plus cruel peut-il être inventé ? 1372. Et jamais coeur fut-il de la sorte traité ? 1373. Quoi ? d'un juste courroux je suis ému contre elle, 1374. C'est moi qui me viens plaindre, et c'est moi qu'on querelle ! 1375. On pousse ma douleur et mes soupçons à bout, 1376. On me laisse tout croire, on fait gloire de tout ; 1377. Et cependant mon coeur est encore assez lâche 1378. Pour

d'Almaviva et de Figaro dans la scène 2 de l'acte I du Barbier de Séville (comédie), mais supériorité tantôt du Comte, tantôt de Figaro dans diverses scènes du Mariage de Figaro de Beaumarchais ; emprise provisoire d'Agrippine sur Néron au début de l'acte IV de Britannicus (tragédie). 3. … il peut faire progresser l'action, il « met de l'action » Le conflit permet aussi des révélations qui font progresser l'action. Exemple : Cléante confronté à son père Harpagon qui lui révèle qu'il se destine à lui-même

apparaître comme l’aboutissement d’un apprentissage dans lequel l’auteur laisse éclater sa virtuosité littéraire. S’il n’est pas déplacé de parler de « virtuosité », c’est que Corneille condense dans cette pièce tous les genres théâtraux : « Le premier acte n’est qu’un prologue » qui s’inspire de la pastorale. « Les trois suivants font une comédie imparfaite » avec son personnage de commedia dell'arte, Matamore. Cette « comédie imparfaite » évolue vers une tragi-comédie avec ces épisodes de rivalité,

 Juan,   Tartuffe,  L’Avare   •  Racine  (1639  –  1699):  Andromaque,   Britannicus   •  La  Fontaine  (1621  –  1695):  Fables,  Livre   VII   •  ‘Corneille’  (1606  –  1684):  Le  Cid   -­‐  Caractéris5ques:  Soumis  à  de  lourdes   contraintes  (Monarchie  Absolue),  les   auteurs  du  classicisme  doivent  supporter   beaucoup  de  règles  (bienséance,  3   unités…)

régulièrement théâtre, l'hotel du marais. En 1634 il devient officiellement un théâtre. Immédiatement il s'établit un rapport de concurrence entre les deux salles. Donc concurrence entre les auteurs joués dans une salle et les auteurs joués dans l'autre. Le cid de Corneille a été représenté au marais mais il y en a un 2e à Bourgogne, il y a 2 de tout ^^ Ces salles de jeux de paume sont très peu adaptés aux exigences de la représentation théâtrale. Elles ont un mauvais éclairage. Les pièces ont lieu de 14h

intermittents du spectacle un éloge du théâtre- mais aussi d'une façon plus générale, celui d' exhumer la réjouissante modernité de ce jeune " monstre " baroque (L'illusion comique est une pièce de jeunesse : 1635. Corneille a 29 ans et n'a pas encore écrit le Cid) qui interroge -comme le titre programmatique le suggère (comique au XVII ème signifie aussi théâtral) - autant le fonctionnement de la représentation théâtrale que la fiction représentée (les aventures de Clindor). Quels sont donc les différents visages

BAC BLANC L'AFFRONTEMENT AU THEATRE Texte A. Molière (1632-1673), Le Misanthrope (1666) Acte IV, scène 3. Texte B. Victor Hugo, Le Roi s'amuse (1832), Acte III, scène 2. Texte C. J-P Sartre, Les Mains sales (1947), 6ème tableau, scène 2 Texte D. Bernard-Marie Koltes, Le Retour au désert (1988), extrait. ELEMENTS DE CORRECTION QUESTION Après avoir rapidement défini l'enjeu de l'affrontement dans chacune de ces scènes, vous direz laquelle vous paraît la plus intense. Vous

combat contre la fatalité. Ils se retrouvent face à un dilemme et l’issue et quasi-toujours malheureuse sauf dans quelques pièces telles que Le Cid. 3) Dom Juan est une pièce qui s’inspire de ces deux genres en prenant le comique et le ridicule de la comédie tout en étant tragique grâce aux victimes amoureuses de Dom Juan qui connaissent une fin triste. IV/ Dom Juan, un libertin 1) On peut considérer cette pièce comme une image du libertinage d’idée car Dom Juan ce moque des contraintes religieuses

”Mélite”. Il écrivit ensuite d’autres œuvres tels que des tragédies, (Cinna, 1641) ou (Le Cid, 1637) qui connurent alors, un véritable succès. Le contexte socio-historique, spatio-temporel : En France, le XVIIe siècle est appelé : le “Grand Siècle”, il s’y passe de nombreux conflits religieux. C’est durant cette période, que notre pays connût une grande évolution dans la politique et dans les arts. Henri IV de Bourbon arriva sur le trône de 1589 jusqu’en 1610. Protestant converti au catholicisme