Le Cid Acte Iv

d'Hémon, qui est épris d'Antigone, ce dont est jaloux son père. Jocaste et Antigone ne désespèrent pas de calmer Polynice lorsque, soudain, on leur annonce que la trêve vient d'être rompue. Ménécée, s'étant imaginé, conformément à un oracle, que son acte mettrait fin à la lutte fratricide, se tue, et elle est, de nouveau, suspendue. Créon, ayant perdu un fils, semble disposé à faire la paix, mais il incite secrètement Étéocle à ne pas céder. L’entrevue souhaitée par Jocaste entre Étéocle et Polynice

ébranlées par le théâtre, dont les situations mettent, pour le plus grand plaisir du public, les personnages face à leurs propres contradictions. Situation du Misanthrope La structure de la pièce Acte I, scène 1. Un conflit sur scène : réciprocité et singularité Rivalités et réciprocités Acte I, scène 2. La scène, espace d'intégration ou espace d'exclusion La scène : enjeux d'une occupation L'art du portrait Alceste : un héros en mille morceaux Dialogue : pistes d'étude Situation historique

est une rupture de construction. Exemple dans Athalie de Racine (Acte I, scène 4) : « Vous voulez que ce Dieu vous comble de bienfaits / Et ne l’aimer jamais ? » Analepse (féminin) : En narratologie, c’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. Anaphore (féminin) : Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. Exemple dans Horace de Corneille (acte IV, scène 6) : « Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! / Rome

Contemplations Livres I à IV TEXTE INTÉGRAL 1res NOUVEAU BAC • Œuvre au programme Appareil pédagogique et lexique établis par Christine Girodias-Majeune professeure de Lettres en lycée et classes préparatoires Les Contemplations Livres I à IV Victor Hugo C la ss iq ue s & P at ri m oi ne 9782210764729_Contemplations_001_009.indd 1 18/07/2019 08:03Présentation : l’auteur, l’œuvre et son contexte Victor Hugo ————————————————————————————— 4‑5 Les Contemplations (livres I à IV), 1856 ————————————

de résister à la passion qui est la cause des plus grands désastres. Le moment culminant de la pièce est le dernier acte où Médée remet à deux reprises en question son projet de meurtre : elle congédie puis rappelle ses enfants et tient des propos à l’ambiguïté tragique. Finalement elle égorge ses deux enfants à l’intérieur de la maison. C’est Euripide qui fait de ce meurtre un acte délibéré de Médée. Le public n’assiste pas au meurtre contrairement à la tragédie de Sénèque. Il y a une autre différence

est une rupture de construction. Exemple dans Athalie de Racine (Acte I, scène 4) : « Vous voulez que ce Dieu vous comble de bienfaits / Et ne l’aimer jamais ? » Analepse (féminin) : En narratologie, c’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. Anaphore (féminin) : Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. Exemple dans Horace de Corneille (acte IV, scène 6) : « Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! / Rome

l’esthétique de cette spécificité théâtrale réside dans cette expression orale des pensées et des sentiments d’un personnage tourmenté. Titus, dans Bérénice de Jean Racine, doit choisir entre la femme qu’il aime et le pouvoir. Dans la scène 4 de l’Acte IV, il fait part de ses tourments et de son cruel dilemme : doit-il délaisser son unique amour comme le veut la loi romaine, ou doit-il renoncer à succéder à son père et ne pas devenir empereur… ? Tel est le terrible choix qu’il doit faire et il ne peut

« lion », tout en se jetant à son cou, est resté célèbre : à l’acte III, scène IV, « Vous êtes mon lion superbe et généreux » devenait, banalement, « Vous êtes mon seigneur vaillant et généreux[20] ». La diction maladroite des acteurs peut aussi faire sonner ridiculement un vers aux oreilles des spectateurs, et contraindre à son affaiblissement poétique : tel est l’exemple fameux du début du monologue d’Hernani à l’acte I, scène IV, coupé par Firmin à l’hémistiche : « Oui, de ta suite, ô roi ! de ta suite 

1984, p. 147-163. RHLF, 2002, n° 3, p. 443-459 Document téléchargé depuis www.cairn.info - univ_larochelle - - 79.90.17.36 - 05/02/2012 14h05. © P.U.F. J E A N -PIERRE L A N DRY * 444 REVUE D’HISTOIRE LITTÉRAIRE DE LA FRANCE et un acte d’une portée morale profonde, qui révèle toute une philosophie de l’existence. La première remarque qui s’impose au spectateur de Cinna concerne le poids du passé, un poids qui marque tous les protagonistes et qui finit par les écraser. Parmi

je fis souffler un vent révolutionnaire » ? | |- Hugo, « Réponse à un acte d’accusation » v. 61-80, |Commentaire : Du Bellay, « Sonnet XII », Les Regrets | |Les Contemplations |Dissertation : La poésie ne doit pas décrire mais seulement suggérer. Vous | |- Mallarmé, « Plusieurs sonnets », Sonnet IV, Poésies |discuterez cette affirmation… | |- Rimbaud