Le Cid Bataille

apparaître une nébuleuse d’imagerie de femmes légendaires où les mythes ne sont plus qu’une façade. c r Enfin, d’autres personnages emblématiques de la passion amoureuse sont mentionnés dans des poèmes: Chimène, qui incarne la fidélité au Cid («Contre la poésie pure»), Bérénice, l’amour face au pouvoir représenté par A «Rome» («Les Belles») et les «filles-fées» du Rhin («Les larmes se ressemblent»), ces ondines séductrices évoquées par Apollinaire dans Alcools. Nous le voyons

nombreuses tragédies et également une comédie. C’est lui qui a été le véritable fondateur de la tragédie classique. Ses tragédies les plus célèbres Pg No. 36 Pg No. 37 et les plus belles sont : ‘‘Le Cid’’, ‘‘Horace’’, ‘‘Cinna’’ et ‘‘Polyeucte’’. Le Cid (1636) Rodrigue, appelé Le Cid, est le fils d’un grand capitaine espagnol. Il aime Chimène, fille d’un autre grand capitaine espagnol. Mais le père de Rodrigue se querelle avec le père de Chimène. Rodrigue doit venger son père qui a reçu un

notamment Marguerite qui guide Marie : « C’est moi qu’elle a écoutée ». B Sujet I : COMMENTAIRE Vous ferez le commentaire des vers 28 à 49 d’Hernani de Hugo Introduction : Victor Hugo rédige « Hernani » en 1829. Cette pièce déclenche une bataille à laquelle vont prendre part Théophile Gautier et Alexandre Dumas en menant les troupes des romantiques dans les salles de spectacle. Les romantiques souhaitaient contrecarrer les attaques et indignations des classiques qui critiquaient les premiers

�loign�e de la froideur et de la vanit� parisienne. Le commissaire des guerres pour lequel il travaille, Louis Joinville, lui pr�sente sa ma�tresse, Angela Pietragrua, femme magnifique dont il tombe �perdument, et silencieusement, amoureux. La bataille de Marengo, est livr�e le 14 juin 1800. � la suite de la victoire, Henri doit accompagner Pierre Daru � la citadelle d�Arona, sur le lac Majeur. Il en profite pour visiter les �les Borrom�es. � son retour � Milan, il fr�quente � nouveau les bals

deux amis, affrontement qui est peut-être finalement le véritable sujet de la pièce. Ces tensions pour l’esthétisme permettent de renouer avec un passé glorieux où il y avait de vrais affrontements au sujet de l’Art (exemple : La Bataille d’Hernani ou encore La Querelle du Cid). Œuvre – auteur époque | Genre du texte ou sous-genre | Art en question | Quelles conceptions de la Beauté, de l’Art ? | Moyens littéraires | 1. Salons de 1761 de Diderot (XVIIIème siècle) | Argumentation directe : compte-rendu

meurtrière : 620 000 soldats et nombreux civils ; 1ère guerre industrialisée, armes produites en masse ; on emploie les trains pour procéder à de vaste mouvement de front des soldats) * La levée des troupes en masse : de plus en plus de soldats (ex : bataille de Solferino 1859 ; 330 000 soldats voire plus) = Liée au dvlpt technologique. Grâce au train, les français n’ont mis que 4 jrs pour atteindre le Piémont. * Changement dans le système international : « Concert des nations » (gestion des relations

exercices Chapitre 3 A. La tragédie grecque, source de la tragédie française B. La tragédie classique et ses règles C. Héros et héroïnes de tragédies Corrigés des exercices 2 Chapitre 2 A. Cruels dilemmes Texte 1 : Corneille, Le Cid, III, 4 Texte 2 : Corneille, Polyeucte, 1643, IV, 3 B. Un dénouement inhabituel Texte 3 : Jean Racine, Bérénice, V, 7. C. Bilan : tragédie et comédie D. Le devenir de la tragédie aux XIXe et XXe siècles Fiche lecture cursive  Corrigés des

grecque, source de la tragédie française B. La tragédie classique et ses règles C. Héros et héroïnes de tragédies Corrigés des exercices Chapitre 4 Groupement de textes n° 2. Autour de la tragédie classique A. Cruels dilemmes Texte 1 : Corneille, Le Cid, III, 4 Texte 2 : Corneille, Polyeucte, 1643, IV, 3 B. Un dénouement inhabituel Texte 3 : Jean Racine, Bérénice, V, 7. C. Bilan : tragédie et comédie D. Le devenir de la tragédie aux XIXe et XXe siècles Fiche lecture cursive Corrigés des exercices

Richard III. L'usurpateur règne par la terreur, multipliant les infamies et les crimes, épousant sa nièce, Élisabeth. Mais une révolte éclate : le comte de Richmond prend la tête de ceux qui contestent la légitimité du roi et ses abus de pouvoir. À la bataille de Bosworth, en 1485, hanté par les spectres de ses victimes, il est réduit à combattre à pied, lançant son exclamation célèbre : «Un cheval ! un cheval ! Mon royaume pour un cheval !» (V, 4) ; il est vaincu et trouve la mort. Lancastre par sa mère

V. Hugo évoque la bataille de Waterloo (Châtiments). La plaine, où frissonnaient les drapeaux déchirés, Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge, Qu'un gouffre flamboyant, rouge comme une forge ; Gouffre où les régiments, comme des pans de murs, Tombaient, où se couchaient comme des épis mûrs Les hauts tambours-majors aux panaches énormes, Où l'on entrevoyait des blessures difformes ! Carnage affreux ! moment fatal ! L'homme inquiet Sentit que la bataille entre ses mains pliait