Le Cid Décision Finale Rodrigue

| |Tâche demandée |Partie 1 : Rédiger l’introduction, une partie argumentative et la conclusion d’un commentaire composé traitant le sujet de rédaction proposé à partir d’un extrait du Cid de Corneille | | |(325 mots). | |Durée de la

(1629 première œuvre) ; Clitandre ou l’Innocence persécutée (1631) ; La Veuve (1632) ; La Galerie du Palais (1633) ; La Suivante (1634) ; Médée (1635) ; L’Illusion comique (1636) ] • 2-nde étape- 1636-1674- une création intense de tragédies[Le Cid (1636 connu aujourd'hui universellement) ; Horace (1640) ; Cinna ou la Clémence d'Auguste (1641) ; Polyeucte (1642) ; La Mort de Pompée (1644) ; Le Menteur (1644) ; Rodogune (1644) ; Théodore (1646) ; Héraclius (1647) ; Andromède (1650) ; Don Sanche

Développement rédigé – commentaire du monologue final de Bérenger. En fait, ce texte est un monologue, type de texte de théâtre bien connu des lecteurs. Ce monologue a toutes les allures d'un monologue classique. Tout d'abord définissons : "monologue". L'on parle de "monologue" au théâtre lorsqu'un personnage s'exprime sur scène lorsqu'il est seul ou se croit seul. Le terme de "monologue" signifie étymologiquement "discours à un seul" (personnage, ou à une seule voix). La littérature dramatique

Le Cid, Corneille. · Biographie : Né à Rouen dans une famille de la petite bourgeoisie, excellent élève il se passionne pour les stoïciens. À vingt-deux ans, il devient avocat et l'année suivante, on représente sa première comédie : Mélite, véritable Succès Il abandonne ainsi sa carrière de juriste pour se consacrer authéâtre. C'est le Cid qui en 1637, lui apporte la gloire. Il en sera à

temps, démesurément allongé par rapport au reste de la pièce. L’expression n’en est souvent pas naturelle : ces scènes peuvent alors paraître artificielles, car, dans la vie, ces moments n’existent pas vraiment sous cette forme (les stances de Rodrigue dans Le Cid). Cela nuit à la vraisemblance de l’action dramatique, donc à l’illusion théâtrale nécessaire pour qu’un spectateur se sente pris dans le spectacle et y adhère. [Exemples personnels.] 3. Des moments de confusion qui parfois brouillent les

je m’enrichis ». De même pour Caligula : « Gouverner, c’est voler ». Quant à Créon, s’il ne prend pas cette attitude à son compte, il est bien obligé de constater que « l’équipage ne pense qu’à piller la cale » ; - le règne de l’arbitraire : les décisions sont prises en fonction du seul bon vouloir du souverain, sans aucune considération de justice ni de morale. Avec Ubu, cet aspect est poussé jusqu’à l’absurde et Caligula l’analyse lucidement : « À raison de nos besoins, nous ferons mourir ces personnages

de « drame » est l’action pour comprendre où peut se placer cet intérêt. Avec Le Cid, Corneille revisite la légende médiévale de ce héros espagnol auquel il confère une dimension mythique. On s’intéresse à la geste de Rodrigue qui vainquit les maures venus aux portes du royaume et s’acquit ainsi la reconnaissance de son peuple et de son roi. On se passionne aussi – et surtout – pour la romance impossible de Rodrigue et de sa bien-aimée Chimène, dont il a tué le père pour laver l’offense commise à

passionnelles, conception de l’amour par le personnage du héros. L’amour est antagoniste à l’héroïsme. L’amour est vu comme une force donc anti héroïque - 1637, déflagration du Cid. Il s’agit d’une histoire d’amour infiniment chevaleresque qui s’achève dans le scandale (épouse le meurtrier de son père) ensuite parce que le Cid fait du héros un être pris entre deux types de pouvoir, l’honneur – ce devoir qui pousse à assurer la vengeance de son père – puis à) apporter la victoire contre les morts

souvent réduit au silence. Dans Anouilh, Créon s’épuise à expliquer à Antigone qu’elle doit comprendre sa décision politique, mais elle ne veut rien entendre. Le débat est intérieur chez Racine, car l'amour et la haine sont deux thèmes profondément liés, l'amour est passion mais aussi souffrance, chacun aime qui ne l'aime pas. Mais on le voit aussi avec le dilemme cornélien chez Le Cid, Rodrigue est partagé entre sont amour pour Chimène et son honneur. Le monologue de la Reine, dans Ruy Blas, est délibératif

Pierre Larthomas) : faire connaître les pensées, les intentions et les sentiments d’unpersonnage. Fonction explicitante : explicite l’intériorité du personnage. Le monogue de Titus, comme les stances de Rodrigue dans le Cid, est le lieu d’un conflit intérieur qui aboutit à une prise de décision. ( dilemme) Pour Racine, il s’agit de rendre le dilemme le plus éloquent possible et le plus efficace pour l’action, en ancrant le discours dans l’enchaînement de l’intrigue ( nécessité d’un pause méditative