Le Cid Meurs Ou Tue

CORNEILLE, Le Cid, acte I scène 6 * Cette pièce, écrite au 17ème siècle (époque classique), est une tragi-comédie (car l’histoire se finit bien) inspiré de l’arabe et de l’histoire chevaleresque. Ca se passe pendant la reconquista espagnole. * L’histoire est un mythe mais le personnage principal, Don Rodrigue, appelé par la suite Le Cid, a réellement existé. LES PERSONNAGES : * 1ère famille Le personnage le plus âgé s’appelle Don Diègue (DD), c’est un vieux monsieur, retraité, qui

du plaisir de m’empêcher de vivre » au vers 860 montre davantage que la mort de Rodrigue serait un apaisement pour Chimène. Celle-ci est dans l’incompréhension et panique, elle pose plusieurs questions à Elvire sur la présence de la personne qui a tué son père dans sa maison. Le vers 862 « Rodrigue en ma maison ! Rodrigue devant moi ! » souligne la gêne de Chimène ainsi que l’absence de bienséance de Rodrigue qui ne devrait pas être présent en ces lieux après son parricide alors que le corps de Don

.) Cette phrase dresse un portrait caricaturé d’Eugénie dans le but de se moquer d’elle. c/ l’hyperbole consiste à exagérer fortement la réalité de façon à frapper l’imagination. Ex : Je meurs de faim. (La personne qui parle a très faim.)« La plaine où frissonnaient les drapeaux déchirés,Ne fut plus dans les cris des mourants qu’on égorge, Qu’un gouffre flamboyant, rouge comme une forge. »Victor HUGO, « Waterloo »L’hyperbole

Thèmes annuels croisés : -dire l’amour-individu et société (la confrontation des valeurs) Séquence 7 : Pierre Corneille, Le Cid (1637) Extrait n°1 : « un devoir filial », p.68-69Lecture et copie des éléments biographiques de CorneilleLecture collective de la synthèse sur le théâtre classique (p.71)Séance 1-Quels sont les éléments spécifiques du texte théâtral ? Corneille est un dramaturge célèbre du 17e.

très attaché à sa patrie. Corneille se sert des valeurs sociales de son époque, le pouvoir de père, pater familias sur ca famille, il possède le droit de vie ou de mort sur ces enfants, et les intègre dans ces pièces. Don Diegue dans le Cid dit a son fils «  meurs ou tu » et la réplique du vieil Horace » qu’il mourut en parlant de son fils acte III scène 6 V.1009. Lorsqu’il apprend par Julie la fuite d’Horace lors du combat contre Albe v1005 acte III scène 6, il renie alors sont fils et utilise un

Le Cid Don Diègue et le comte de Gomès acceptent l’union de leurs enfant Chimène et Rodrigue. Mais le comte regrette que le roi ait choisi Don Diègue au poste de gouverneur du prince de Castille. De là un duel entre Don Diègue et le comte de Gomès est lancé, le comte Gomès humilie celui-ci. Le père de Rodrigue trop vieux pour se battre supllis son fils de le venger. Rodrigue, son fils, est tiraillé entre son amour pour Chimène et la vengance de son père. Il finit par écouter la voix du sang, il

l’instrument, l’objet : faire du piano, jouer aux cartes ;  la cause et l’effet : boire la mort pour boire le poison ;  l’écrivain et son œuvre : lire un Flaubert ;  etc. « Ah ! quelle cruauté, qui tout en un jour tue Le père par le fer, la fille par la vue ! »  Corneille, Le Cid, acte III, scène 4 Une synecdoque est une variété de métonymie qui consiste à donner à un mot un sens plus large ou plus restreint qu’il ne comporte habituellement. Plus simplement, il consiste à désigner un objet par

|— Corneille, Le Cid, acte I, scène 4 | | | | |ex.2 : | | | | |« Ah ! quelle cruauté, qui tout en un jour tue

Pierre Corneille Le Cid - Collection Théâtre - Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.inlibroveritas.net Table des matières Le Cid ...........................................................................................................1 ACTE PREMIER................................................................................2 SCENE PREMIERE............................................................................3 SCENE II...............................

Avocat général de la Table de Marbre à Rouen. Il donna sa première pièce, Mélite, en 1625. ➢ Son œuvre, le Cid, joué onze ans après, obtint un immense succès. Le cardinal Richelieu imposa à l’Académie de la juger. ➢ Il publie une première fois l’Illusion Comique en 1639, puis en 1660 ; la dédiant à Madame M.F.D.R. ➢ Corneille fréquentait l’hôtel de Rambouillet ; il y donna quatre ans après le Cid, la première lecture de Polyeucte que l’on applaudit par déférence pour l’auteur, mais que l’on trouva