Le Cid Récit épique

et préciosité ne suffisent pas à donner un sens au “commerce des muses”. Le lyrisme trouve alors à se loger hors de la poésie: il n’est absent ni des Oraisons funèbres (1667-1687) de Bossuet ni des tragédies de Corneille, où il anime les stances du Cid, ni de celles de Racine qui comptent quelques-uns des vers les plus mélodieux de la langue française. Il faut attendre le milieu du XVIIIème siècle pour assister à un renouveau du lyrisme. Le préromantisme dans la prose sentimentale, puis le romantisme

intellectuelle. | | | |- La littérature du Xe au XIIIe siècle | | | |+ courant épique; | | | |+ courant courtois; | | | |+

FIGURES DE SUBSTITUTION 1. La métonymie Elle remplace un mot par un autre mot, qui entretient avec le premier un rapport logique qui peut être : -L’effet pour la cause Exemple : « Oh mon fils ! ma joie ! oh l’honneur de mes jours… » (Le CID) -La cause pour l’effet Exemple : 11 « Il a une belle plume » (Art d’écrire) « Il a choisi le pinceau » (La peinture) -Le contenant pour le contenu : Exemple : « AFRIQUE, lève-toi et dit NON. » (B. B. Dadié) « Il a bu toute une bouteille

Musicalité : rythme binaire/ternaire, allitérations/assonances… • Ponctuation expressive : exclamations, points de suspension… > Le registre épique Associé au mot "épopée", le registre épique exalte les valeurs héroïques liées à de grandes actions comme la guerre, le sacrifice de victimes, la gloire de Dieu. On peut le reconnaître par : • Une forme de récit descriptif : point de vue omniscient et parfois recours au merveilleux. • Des figures de style : hyperboles, effets de gradation et d’ accumulation

Ex : « Prenons le métro », déclara Louis XIV à son valet. | Alliance de mots | Rapprochement de deux termes contradictoires, dont le regroupement donne un sens ; paradoxe. Cette expression est synonyme d’oxymore. | EX : Corneille, Le Cid : Cette obscure clarté » | Ampoulé | Quelque chose d’emphatique, prétentieux, pompeux. | | Barbarisme | Faute grossière de langage, de vocabulaire, emploi de mots ou de forme qui ne font pas partie de la langue, qui sont forgés

l’analyse servait à expliquer le comportement des personnages ; elle ornait une intrigue qui pouvait se passer d’elle. Au contraire, dans La Princesse de Clèves, pour la première fois, l’analyse devient un moyen de progression et la substance même du récit . C’est parce que Mme de Clèves réfléchit sur ses sentiments, parce qu’elle cherche à les comprendre et à les dominer que l’histoire avance. L’échec de ses réflexions, l’impuissance où elle se trouve d’enrayer le développement du mal font le tragique

d’Athènes. Il a un fils, Hippolyte, puis, après la disparition d’Antiope, il épouse Phèdre, dont il a eu deux fils, Acamas et Démophon (jamais mentionné par Racine dans la pièce). Thésée a donc un passé glorieux. La pièce retentit, par allusion ou récits épiques, de ses exploits. Thésée, comme Hippolyte, a sa « faiblesse », et ce point faible, ce sont les femmes. Ses aventures galantes sont évoquées à plusieurs reprises dans la pièce, comme un thème récurrent, au vers 23 (« jeunes erreurs »), aux vers

qu'individualité, ce sont leurs histoires privées qui intéressent. La fin est souvent heureuse mais ce n'est pas obligatoire, il n'y a pas de règle absolue. Le style est très varié, il est quelque fois très proche de celui de la tragédie : Le Cid, style très proche de la tragédie et Corneille n'a pas eu grand chose à modifier lorsqu'il en a fait une tragédie. Donc proximité avec le style tragique. Cependant il arrive que le style soit bien plus bas et beaucoup moins élevé. Passages tragiques

la comédie. En général, les pères ont une autorité exagérée, comme ici. Alcandre propose à Pridamant de voir la vie de son fils sous une illusion, un tour de magie. Il l’emmène donc dans sa grotte pour voir cela. Cette illusion est précédée d’un récit narratif. Dès le premier acte, la pièce renvoi à un mot du titre « Illusion » qui est le mot le plus important du titre. Le titre : comique a le sens de amusant, plaisant, touche au théâtre. L’illusion c’est ce qui a l’apparence du vrai mais qui ne

Révisions du bac écrit LES GENRES : -Les récits d’histoires vraies : le texte sera sous la forme d’un compte-rendu historique ou journalistique, une autobiographie ou une biographie - Le théâtre : il est normalement destiné à être représenté sur scène (sauf pour Musset et son recueil Un théâtre dans un fauteuil). On y voit des personnages, un décor. Les didascalies viennent préciser les gestes ou l’expression des personnages. - les genres rattachés au discours argumentatif : L’argumentation prend