Le Clonage Humain Point De Vue éthique

l’intelligence et plus l’instinct. L’homme s’est donc détaché du statut animal dès qu’il détient l’intelligence, la technique. (Intelligence : faculté de fabriquer des objets artificiels) B. La technique agit comme le prolongement du corps humain * Grâce à la technique, l’homme prolonge son corps par l’outil. Ainsi, on peut parler des exosquelettes, mais aussi des leviers (qui confèrent force), des armes (qui remplacent les griffes de l’animal), de la couture (qui remplace la fourrure)

Notre choix c’est rapidement porté sur le clonage, car il ne soulève pas seulement des interrogations sociales et économiques, mais aussi des problématiques politiques. Tout au long de ce sujet, nous avons tenté d’expliquer l’ambiguïté entre la procréation et la reproduction artificielle d’un être. À travers cela, nous avons soulevé plusieurs problématiques issus de domaines très varié, mais qui ont tous pour lien commun la naissance de l’être humain. Afin que notre étude soit compréhensible

même point de vue et ont donc abordé la question d'une manière différente. Mark Hunyadi est un chercheur en éthique appliquée, qui n'est pas favorable à l'HGM. Il défend sa position en parlant du point de vue du clone. Dans son article « Dans la peau d'un clone », il juge que dans la plupart des débats, le clone est considéré comme un objet quelconque. Seulement, étant « humain », il possède une conscience et un esprit, capable de réfléchir et d'analyser. Mark se penche sur le point du vue

 Dissertation finale PHI Éthique et politique Mario Dufour 1.Instructions générales 2. Plan de texte et consignes d’écriture 1. Instructions générales -Texte écrit à la maison de façon individuelle d’environ 1000 mots (4 pages ou un peu plus), saisi sur support informatique (à conserver en cas de perte), double interligne, fonte normale de 12 points, paginé, broché, avec une page de présentation . - La date limite de remise de la Dissertation finale est fixée au plus tard

inventée grâce aux progrès extraordinaires connus par la génétique depuis les années 1970. À cette époque sont apparus les premiers outils du «génie génétique», appelé aussi «technologie de l'ADN recombinant» : enzymes de restriction*, sondes et clonage moléculaires, grâce auxquels le génome des organismes supérieurs (eucaryotes*), y compris celui de l'homme, devenait enfin accessible à une analyse détaillée. Se livrant à un incroyable essai sur l'ADN, les chercheurs peuvent désormais isoler, purifier

particulièrement tentante dans le cas de l’organisme, et en particulier dans le cas du corps humain qui a, depuis l’Antiquité, servi d’argument pour prouver l’existence de Dieu. Une telle proportion de formes, une telle disposition d’organes, une telle harmonie de parties en vue de la conservation du tout, voilà autant de faits qui prouvent qu’il ne s’agit pas d’un effet du hasard mais que la nature du corps humain répond à une intention précise, qu’il n’est pas simplement l’objet d’une production mais

DU CORPS HUMAIN Rapporteur: Dr. Jaap Gerhard Sijmons, Professeur à l’Université d’Utrecht (Pays-Bas) Monsieur le Professeur dr. Jaap Sijmons, Molengraaff Instituut Nobelstraat 2A, 3512 EN Utrecht, Pays-Bas Tél.: +31 30 253 71 53, Fax.: +31 30 253 72 03 Courriel: j.sijmons@law.uu.nl ET j.g.sijmons@nysingh.nl Questionnaire 1. Le statut juridique du corps humain Le

Où conduit l’utilisation des sciences: progrès ou catastrophes? Introduction Vache folle, Bombe atomique, Tchernobyl, veaux aux hormones, OGM, clonage, amiante, antennes de téléphonie mobile, pesticides, etc... Tous ces termes sont, dans l’esprit du public, associés à “la Science”. Le chercheur apparaît comme un manipulateur, pour ne pas dire un sorcier doté de pouvoirs secrets et quelquefois inquiétants. Cela provoque rejets et anxiétés dans tout ou partie de la société, nostalgie du temps

sont immenses. Nous pouvons modifier les gènes et les introduire dans un organisme pour modifier son information génétique. Nous sommes capables de produire des clones et ce qui n’existe pas dans la Nature. Nous sommes en passe de considérer le corps humain comme une machine dont on peut changer les pièces. Le corps médical applaudit au progrès de la génétique en y plaçant des espoirs immenses de mettre fin à des maladies qui résistent aux traitements chimiques ordinaires. Les industriels de l’agroalimentaire

part de son dû à la société spécialisé dans le génome humain. Ce texte va nous emmener sur les difficiles questions de l’éthique puisque nous voyons ici une société s’approprier plusieurs vies humaines au titre du bienfait pour l’humanité. La réflexion n’est pas dénuée d’intérêt à une période où le génome est au centre de toutes les questions d’éthique avec notamment la naissance récente du premier « Bébé médicament ». Mais ce n’est pas le seul point sur lequelle Pierre attire notre attention puisque