Le Clonage Humain

3: Clonage d’un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'ADN (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par exemple (voir exp4 pour une explication sur les plasmides). Le nouveau plasmide ainsi créé sera ensuite introduit dans une cellule hôte, en générale la bactérie Escherichia coli. Celle-ci sera alors sélectionnée et multipliée afin d’obtenir une grande quantité du plasmide d’intérêt. Cloner

énergétique considérable et aussi celle d’une formidable puissance de mort. Depuis, les controverses se sont intensifiées, diverses dans leur nature, différentes dans leurs enjeux, à l’occasion des OGM, de la crise de la vache folle, des débats sur le clonage, des révélations sur les changements climatiques : tout se passe désormais comme si les avancées accomplies dans l’étendue des savoirs ou la puissance des techniques devaient se payer, à chaque fois, de risques accrus, d’ordre sanitaire, environnemental

Paragraphe 2 : Les modalités exigées lors de l’exercice de la procréation médicalement assistée Section 2 : Interdiction de certaines techniques Paragraphe 1 : le don de gamète ou d’embryon Paragraphe 2 : la gestation pour autrui Paragraphe3 : le clonage reproductif Conclusion du 2ème chapitre CONCLUSION GÉNÉRALE 2 INTRODUCTION Comme un peu partout dans le monde, la procréation est ardemment souhaitée en Tunisie, aussi bien par les couples en difficulté de procréer, que par la société. La

Le clonage animal Introduction : L'embryologiste chinois Tong Dizhou, fut le premier à cloner un animal (une carpe) en 1963, 33 ans après le professeur Ian Wilmut clone le premier mammifère, Dolly, à partir d'une cellule d'une autre brebis de six ans son aînée. La même année une souris est cloné et ensuite on assiste au clonage d'une vache de cochons de lapins d'un chien d'un cheval etc. Principe Le clonage est la multiplication naturelle o artificielle a lidentique un etre vivant les

liberté de mouvement et la qualité de vie -domaine médical : interrogations morales. Où commence la vie? Qu'a-t-on le droit de faire au nom de la science? Des comités d'éthique se sont créés pour y réfléchir et légiférer sur les cas limites (cf le clonage, la congélation des embryons,....) => Progrès scientifique est incomplet ou dangereux quand il ne s'accompagne pas d'une réflexion morale sur ses conséquences Vrai progrès = progrès spirituel • Responsabilisation de l'individu dans la société

manipulations sur les embryons et le clonage. Pourtant, à lire les deux documents et en regardant les deux illustrations du dossier, on s'aperçoit que ces nouvelles maîtrises scientifique ne sont pas aux goûts de tout le monde. Ces techniques scientifique sont-elles bioéthique ? Pour analyser ce sujet de débat, nous allons, à l'aide des documents du dossier, définir les avantages et les risques, en premier lieu des manipulation sur l'embryon, puis ensuite, du clonage. Selon le document 1, extrait

tout ce qui est : Assistance à la procréation, greffes d’organes, recherches sur l’embryon, diagnostic avant la naissance et tests génétiques, clonage, neurosciences...  Elle cherche à : répondre le mieux possible aux questions soulevées par le progrès scientifique et technique, au regard des valeurs de notre société ; garantir le respect de la dignité humaine et la protection des plus vulnérables contre toute forme d’exploitation. Les sciences et techniques du vivant sont désormais capables de prouesses

qui n’auraient donc pas une vie forcément parfaite, heureuse… De plus, un autre grand progrès de la science est le clonage. Selon M-P. Virard, avec le clonage, la science pourrait nous donner l’espoir de vivre mieux et plus longtemps. En effet, le clonage pourrait permettre une autoréparation des corps malades ou encore une guérison beaucoup plus rapide des maladies graves. Le clonage pourrait permettre de reproduire des cellules du corps pour pouvoir les remplacer. D’après E. Morin les découvertes

division d'une règle graduée (1 millimètre) en 1 000 segments égaux. Chacun de ces segments mesure un micron. Les êtres humains sont constitués de billions de cellules, qui sont dix fois plus grosses qu'une cellule bactérienne (10 µm), mais qui ne peuvent être observées à l'oeil nu. Il faut un microscope. Les cellules appartenant à de grands organismes (comme les êtres humains) ne sont pas toutes pareilles. Ces cellules différentes ont une fonction et un aspect fort différents car elles se sont

vie de façon à ce qu'elles soient conformes à certains principes moraux et philosophique humainement acceptés par la société. Certains principes moraux : Égalité devant les acquis de la science. Respect de l'être humain dés le commencement de la vie. Respect de la dignité humaine. 3. Le comité consultatif national d'éthique (CCNE) Il est chargé d'éclairé les progrès de la science et de poser un regard éthique sur les évolutions. La mission principale du CCNE est de produire des avis et