Le Coeur Révélateur

des flux de matières énergétiques, matières premières et aussi agricoles. 2. flux immatériels, de capitaux, d’informations → Depuis 1970, explosion des Investissements directs à l'étranger (IDE) tableau p24 → Flux Nord/nord essentiellement, • révélateur de la puissance financière de la Triade, 85% des capitaux sont investis dans la Triade • mais de + en + de flux venant du Sud car émergence de nouveaux pôles de puissance financière : Chine par exemple. → L'essor de ces flux permet le fonctionnement

observer que dans les deux premiers quatrains le poète met en avant la douleur qu’il ressent « mon étoile est morte », « mon cœur désolé », et cette idée va être renforcée en plaçant « le veuf, à l’hémistiche du premier vers. - Le poète éprouve donc un manque de bonheur dans, sa vie comme le montre le champ lexical très présent du malheur « le veuf, l’inconsolé »v1 « mon cœur désolé » v7. B- Un désenchantement lié à des êtres chers - Nerval ne connut jamais sa mère, morte en Allemagne

n'était plus une haleine qui sortait de sa poitrine, mais un râle sourd, mais un rauque hurlement. La sueur et le sang dégouttaient de ses cheveux et coulaient confondus sur son visage. 
Bientôt son pourpoint devint trop serré pour les battements de son cœur, et il l'arracha. Bientôt son épée devint trop lourde pour sa main, et il la jeta loin de lui. Parfois il lui semblait que les pas s'éloignaient et qu'il était près d'échapper à ses bourreaux ; mais aux cris de ceux-ci, d'autres massacreurs qui se

sentiments enfouis (métaphore : « ensevelis ») au plus profond de la sensibilité, et exprimés jusque-lá par le transfert vers des personnages de fiction (œuvre littéraire : René). C’est une démarche de compréhension de soi-même (« expliquer mon inexplicable cœur » : quête du bonheur et d'une incapacité à le trouver, révélation des sentiments cachés, expression des rêves (citations à relever). Chateaubriand dramatise sa situation (expression du mal de vivre romantique) : absence de bonheur, différence, solitude

habitation, à la faible lumière d’une bougie, que nous est dépeint le portrait de ces personnages qui s’apparentent à de véritables monstres. Dans quelle mesure peut-on dire que Norine et Antoine sont monstrueux et en quoi leur portrait physique est-il révélateur de leur intériorité ? I. Des apparences disgracieuses. 1. Une silhouette tortueuse ou torturée. Le corps nous est donné à voir comme un espace de difformités. Brisé, cassé, tordu, plié, il est aux antipodes d’une silhouette droite

| |Dans son essai « Le Roman », préface de Pierre et Jean (1888), Maupassant écrit : « […] si le| |Romancier d’hier choisissait et racontait les crises de la vie, les états aigus de l’âme et | |du cœur, le Romancier d’aujourd’hui écrit l’histoire du cœur, d e l’âme et de l’intelligence | |à l’état normal. Pour produire l’effet qu’il poursuit, c’est-à-dire l’émotion de la simple | |réalité, et pour dégager l’enseignement artistique qu’il en veut tirer, c’est-à-dire la

dialogue révélateur d’un conflit de pouvoir. c. Seconde partie : réactions violentes de la mère, émotions fortes, accompagnées d’un monologue explicatif et introspectif ; mise en évidence de la récurrence du rapport de force (« la mal était toujours là » (l. 18) ; situation dégradée et illustration d’un conflit de pouvoir ancien et constant. 2. Le texte met en scène également les difficultés de la communication a. Les sentiments d’hésitation et d’incertitude sont au cœur de l’écriture

wagons inventaient, de minute en minute, un pays, celui de l’inhumanité, de la négation de toute humanité, dont le camp allait être le coeur. » (351) - « Notre geste, c’était le grand triomphe de nos bourreaux. » (355) - la foule - la barbarie - la faiblesse des êtres humains : - « Il y a quantité de choses qui ne sentent rien, mais qui carient les sens, le coeur et l’âme plus sûrement que tous les excréments. » (117) - (le curé Peiper) « « Je suis l’égout, Brodeck .Je ne suis pas le prêtre, je

de l'amour, de la passion (« cœur » à deux reprises, « plaisir », « trouble ») qui sert en fait à désigner ce qu'elle ne ressent pas pour lui. D'abord, il lui fait remarquer qu'elle n'a « ni impatience, ni inquiétude, ni chagrin » : le rythme ternaire, la reprise de la négation « ni » et l'effet de gradation renforcent cette idée de reproche. Un peu plus loin dans le texte, il lui reproche à nouveau ses non-sentiments : « Je ne touche ni votre inclination ni votre cœur, et ma présence ne vous donne

monsieur le docteur, je vous aimerai comme je pourrai. PERDICAN Oui, comme tu pourras ; et tu m’aimeras mieux, tout docteur que je suis, et toute paysanne que tu es, que ces pâles statues fabriquées par les nonnes, qui ont la tête à la place du cœur, et qui sortent des cloîtres pour venir répandre dans la vie l’atmosphère humide de leurs cellules ; tu ne sais rien ; tu ne lirais pas dans un livre la prière que ta mère t’apprend, comme elle l’a apprise de sa mère ; tu ne comprends même pas le sens