Le Coeur Révélateur

des personnages, roi, reine, nobles, danseurs, et les acteurs eux-mêmes, qui prêtent leurs corps, leur visage, leur voix et leurs gestes aux personnages qu’ils incarnent pour quelques heures. B) Nous plonge au cœur du réel Ainsi le théâtre nous plonge-t-il plus qu’aucun autre art au cœur même du réel, de sa matérialité, de son épaisseur vivante et concrète. De plus, une grande partie de la production théâtrale a pour visée une approche réaliste du monde : le théâtre se donne alors pour but de représenter

réfléchir, tout en lui apportant un soulagement. C’est ainsi que le fait de s’épancher, le fait de s’exprimer, sont considérés depuis longtemps comme des moyens de se libérer du poids oppressant du chagrin, ou du moins comme une façon de soulager le cœur. L’assouplissement du pouvoir des passions trouve donc son fondement universel dans le fait que l’homme se libère de la captivité immédiate d’un sentiment et en devient conscient comme de quelque chose qui lui est extérieur, envers lequel il

client à dévoiler l’ensemble des options qui s’offrent à lui. * Aider le client à produire ses propres solutions et ses stratégies 2) QUI EST LE COACHE : * Un Accompagnateur * Un Passeur * Un Miroir * Un Révélateur de Talents * Un Partenaire * Une Boussole * Un Facilitateur * Un Co-Pilote 3) ce qu’il n est pas : * Un Conseiller * Un Consultant expert * Un Thérapeute * Un Gourou * Un Mentor

riche, belle et sensuelle c’est la femme que Joseph attendait. Le caporal sourd et miséreux, unique serviteur de la famille. IV – Appréciation positive de l’œuvre Il m’a plu car il aborde divers thèmes très intéressants. 1. L’argent Au cœur des attentions de cette société contrastée (riche à la ville, pauvre dans la plaine). Tout se marchande, en particulier Suzanne. Mais les marchandages et les espoirs débouchent sur des réalités décevantes. Le crapaud en est le symbole. 2. Le monde

cafard et les idées noires, un soleil brûlant, l’amour… « La fleur tombe…moi, je meurs » ; dans ce poème l’automne, Lamartine fait le parallèle entre la nature et son état intérieur. La nature est toujours décrite en fonction des battements du cœur de l’auteur romantique ; selon l’humeur un même paysage peu paraitre amical, indifférent, ou hostile. L’écrivain suisse Amiel écrit : « Un paysage quelconque est un état de l’âme ». Le spectacle de la nature est aussi le reflet de l’état physique

contexte géographique, politique et économique, une source de conflits, ou du moins, une source additionnelle parmi d’autres dans la naissance d’un conflit. En s’appuyant sur des faits historiques en préambule, l’auteur montre que l’eau a déjà été au cœur de certains conflits, qu’elle a été la raison ou le moyen de faire la guerre. M. Bouquet se place alors dans une perspective africaine pour évaluer l’importance d’une telle ressource et surtout, quels problèmes peut-elle engendrer aujourd’hui et demain

profusion de personnages historiques. Il doit donc rester très attentif, au risque de se perdre dans les méandres de l’histoire. Et même si Chéreau a pris quelques libertés avec la réalité historique, le portrait qu’il brosse de cette époque est très révélateur des mentalités du XVIème siècle à la cour du roi de France. La condition des femmes à cette époque est vraiment lamentable : La misogynie omniprésente, qui rabaisse les femmes au rang de bestiaux et de machines à féconder m’a indignée. Elles étaient

avaient conseillé la paix heureuse. Ses sens de femme ardente, ses caprices de femme blasée s'éveillaient. Et, au-dessus d'elle, le grand Sphinx de marbre noir riait d'un rire mystérieux, comme s'il avait lu le désir enfin formulé qui galvanisait ce cœur mort, le désir longtemps fuyant, « l'autre chose » vainement cherchée par Renée dans le bercement de sa calèche, dans la cendre fine de la nuit tombante, et que venait brusquement de lui révéler sous la clarté crue, au milieu de ce jardin de feu

que masqués, sont fidèles à leur identité première, même si Hamlet semble se rapprocher de Lorenzo dans le sens où l'on peut croire parfois que son masque a transformé son identité. Cependant nous voyons que pour Lorenzo le masque est doublement révélateur : il révèle une fausse identité que le masque affiche (Lorenzo comme débauché) mais il révèle aussi que le masque est devenu la véritable identité. La question de la peau et du visage se révèle alors être plus importante que celle du masque. L'identité

se plante devant l'ombrelle". • La multitude des verbes souligne le caractère agité et désordonné de sa conduite. Le sens de cette attitude est que Frédéric se dissimule sous un grand nombre de stratagèmes compliqués et naïfs, ce qui est révélateur d'une grande candeur. La scène est révélatrice de sa jeunesse et de son inexpérience. B. M. Arnoux • Il y a peu de notations : "elle était assise au milieu du banc", "quand il passait, elle leva la tête", "elle brode", "elle garde la même