Le Colbertisme

artisanaux. Au 17ème siècle les marchés s’élargissent, les capitaux s’accumulent, période d’évolution des techniques, spécialisation de la main d’œuvre. La royauté décide dans ce contexte d’intervenir, on va promouvoir le modèle manufacturier, c’est le colbertisme (1664-1671). Il prend des formes classiques, l’état va prêter voir donner de l’argent pour l’installation des usines. La monarchie va recruter des techniciens à l’étranger, la France va décider de contrôler la main d’œuvre, interdiction des grèves

privatisation des grandes entreprises industriel : l'etat se charge du dvlpt indus, paysans ont payés un lourd tribut pour le changement débouchant sur des tensions. Il nationalise les entreprises, les prend à sa charge, mercantilisme japonais (= Colbertisme japonais) : crée des entreprises dans les secteurs moteurs ( chantier naval, textile, sidérurgie, métallurgie, chemin de fer). Pour Gerschenkron, l'état s'est totalement substitué à l'initiative privée, fonctionne sur les bases privées mais l'état

souverain à des personnes privées pour exploiter certaines richesses - les colonies - certains ouvrages publics ). Mesures prises pour protéger l'économie nationale contre les produits étrangers, soutenir l'exportation des produits nationaux = le colbertisme. - la puissance publique a essayé de prendre des mesures d'organisation de la vie économique affectant la production, la commercialisation. Cependant, l'organisation de l'économie comme fonction de la puissance publique ne s'est véritablement

d'une classe bourgeoise (colbert). La production doit être encourager afin de permettre d'augmenter les exportations dans le but d'attirer le métal précieu (l'or). Cette politique s'intitule : le mercantilisme Français et plus précisemment le 'colbertisme' qui peut se résumer par : « Ne disposant pas d'une production coloniale d'or, la France ne peut opérer autrement. » , les manufactures d'Etat, les privilèges à la classe bourgeoise et les aides accorder aux manufactures royale, aux companie commerciales

contradiction ac la coutume du royaume, c’est pr cela qu’il ne sera pas enregistré en Fce métropolitaine. Au 18e, on estime 30 millions, le nb de personnes réduites à l’esclavage, un tiers d’entre eux seront déplacés vers l’Amérique. A. Le colbertisme et les manufactures royales A partir du 16e, on a recours à d’autres modèles eco qui se développent (commerce triangulaire, manufactures royales), notamment le mercantilisme. Selon cette théorie, la richesse de l’Etat ne peut provenir que de

Jean-Baptiste COLBERT (France, 1619-1683) Il commença sa carrière en gérant la fortune de Mazarin. Son système (que l’on appellera le colbertisme) repose sur des principes mercantilistes énoncés par Montchrestien et Laffemas : le commerce international devait permettre de dégager un excédent de la balance commerciale afin que les métaux précieux entrent dans le royaume. Le colbertisme donna un essor à l’industrie : l’État, en investissant, encouragea la création de manufactures d’État (Gobelins, Beauvais, la

de rattrapage et d’équipement du territoire, qui donne naissance à des champions nationaux (CGE, Thomson, Aérospatiale, …) qui seront à l’origine des plus beaux fleurons de l’industrie française (Concorde, TGV, …). On désigne par le terme de « colbertisme High Tech » cette politique de grands projets dans le secteur des industries de pointes, menée par l’Etat français pendant les Trente Glorieuses. Problème : cette politique a un coût qui se paye par l’inflation. A partir de 1983, rejoignant

développées qui possèdent encore un secteur public important. Les problèmes qui se posent dans les deux cas de figure ne sont pas sans similitudes. Il est, à cet égard, significatif qu’en France les "grands commis de l’Etat" aient été fascinés par le "colbertisme" coréen et japonais, et qu’ils y aient vu, jusqu’à une date récente, l’illustration du rôle moteur que peut jouer l’Etat dans l’économie.L’expérience asiatique montre que l’Etat peut avoir un rôle décisif dans le décollage des économies en développement

961 emplois sur 70 909 postes menacés. Avec mon autre jambe, nous rebâtissons, comme à l'époque des grands plans pompidoliens. On renforce tous nos points forts et on unifie les forces par filières autour de projets d'avenir. J'appelle cela le colbertisme participatif. Nous avons, par exemple, l'ambition de promouvoir le TGV du futur, le véhicule deux-litres dans l'automobile ou encore le biofioul pour l'aéronautique. Et puis, il y a toutes ces innovations du quotidien, ces objets de la nouvelle

l'économie, les thèmes du libre-échange et du protectionnisme sont l'objet d'une longue réflexion historique. Au XVIIe siècle, le mercantilisme — « économie au service du prince » — énonce de manière pragmatique et parfois assez formalisée (ainsi le colbertisme en France) les premières considérations et théories économiques censées correspondre aux besoins des nations et royaumes. En 1776, un auteur libéral comme Adam Smith est partisan19 d'un État-gendarme capable d'assurer d'une part des prérogatives