Le Comique D Alceste

le plus cette impression de mouvement, il est plus adapté de mettre en avant ces scènes de séparation brutales et poignantes. Néanmoins, on note aussi la présence de beaucoup d'autres parades attirant l'attention des spectateurs, notamment par le comique, le burlesque, la farce, ou encore le mélodrame et autres exagérations émotives. Néanmoins, cette procédure de constantes scènes de ruptures amènent à se demander s'il est possible d'aboutir à une œuvre terminée et cohérente. Les scènes de rupture

du bac p.588-fin -Exercices d’entraînement à l’expression écrite : p.187 II-Au manuel de méthodes : La tragédie et la comédie du XVIIe p.82-85 ; le texte théâtral et sa représentation p.90-93/ Sujet d’entraînement p. 98-99 ; les registres comique, tragique et pathétique p.292-93, p.299-300 Entraînement au bac p.322-fin Vous pouvez individuellement et selon vos propres besoins, faire les exercices du manuel et me les envoyer par mail pour correction. INTRODUCTION Etymologie : du grec

l'écrivain. Les relations résumées par le schéma ne se confondent pas avec celles classiquement étudiées mais Racine n'est pas réduit à un schéma. La psychocritique d'une oeuvre comique pose des problèmes distincts qu'illustre le cas de Molière. Celui de Corneille nous permettra d'aborder les rapports des genres tragique et comique. Ces rapides sondages prouvent que la méthode psychocritique appliquée à des oeuvres épiques ou dramatiques obtient des résultats comparables à ceux obtenus dans le genre lyrique

parce qu’il reste une figure « ouverte », une figure infiniment polymorphe. Il n’est pas seulement riche de ses déterminations, il est riche de ses potentialités. Ainsi, Dom Juan ne saurait se restreindre, comme Tartuffe, comme Harpagon, comme Alceste, au personnage de Molière. En créant son Dom Juan, Molière a contribué au mythe, mais son héros en a reçu en retour un pouvoir de séduction inégalé. Il y a entre le mythe et l’œuvre de Molière échange réciproque de services. On ne saurait traiter

(Michaux, « Clown » in Peintures) Figures portant sur la composante sémantique du discours : Antithèse Opposition terme à terme « aux uns portant la paix, aux autres le souci » (Baudelaire, Recueillement) Épanorthose Correction, souvent à effet comique « une citerne, ou plutôt un égoût » (Jean de Léry, VI, p. 164) « elle en avoyt dedans le dos, dy je, dedans le ventre » (Bonaventure des Périers, NRJD, 5 p. 32) Paradoxe Affirmation contraire à l’opinion courante ou au bon sens « Les crimes engendrent

parce qu’il reste une figure « ouverte », une figure infiniment polymorphe. Il n’est pas seulement riche de ses déterminations, il est riche de ses potentialités. Ainsi, Dom Juan ne saurait se restreindre, comme Tartuffe, comme Harpagon, comme Alceste, au personnage de Molière. En créant son Dom Juan, Molière a contribué au mythe, mais son héros en a reçu en retour un pouvoir de séduction inégalé. Il y a entre le mythe et l’œuvre de Molière échange réciproque de services. On ne saurait traiter

été considérée comme un spectacle léger : le but qu'elle affiche, faire rire le spectateur, l'a souvent reléguée au rang de simple distraction. Et pourtant, Molière, précurseur et fondateur du genre, est la preuve en personne de la portée morale du comique. Dans un courant marqué par l’idéal classique de l’honnête homme, Molière devient célèbre pour ses comédies de caractères ou il traite de diverses obsessions à travers ses personnages principaux. L’avarice, le libertinage amoureux, l’idée de sincérité

accordé la part d'éloges qu'elles méritent. Boileau a été plus loin et beaucoup trop loin en faisant choix d'une situation purement comique et chargée des Fourberies de Seapin, situation qu'il cite mal, avec le sans-façon dédaigneux d'un critique maussade qui s'est à peine donné le temps de lire la pièce, pour refuser à Molière le premier rang parmi les fauteurs comiques- Etrange erreur où, par une---.rare exception, Boileau se montre presque "aussi pédant et gourmé que M. Lysidas, le poète de la Critique

identité (Michaux, « Clown » in Peintures) Figures portant sur la composante sémantique du discours : Antithèse Opposition terme à terme « aux uns portant la paix, aux autres le souci » (Baudelaire, Recueillement) Épanorthose Correction, souvent à effet comique « une citerne, ou plutôt un égoût » (Jean de Léry, VI, p. 164) « elle en avoyt dedans le dos, dy je, dedans le ventre » (Bonaventure des Périers, NRJD, 5 p. 32) Paradoxe Affirmation contraire à l’opinion courante ou au bon sens « Les crimes engendrent

impressionnante des portraits comprend, entre autres, l’ambitieux, l’hypocrite, le faux-dévot, le pédant, le parvenu, le bourgeois, la précieuse, mais chacun d’entre eux est non seulement tout en nuances, mais approfondi, bien que sa base soit un type comique : L’ambition, l’hypocrisie, la pédanterie prennent plusieurs visages, elles sont donc exploitées de multiples manières. Ainsi, la nuance vient de l’observation aiguë des différents degrés des vices, et des capacités à voiler le défaut, pour faire