Le Comique Dans Gargantua

| | L'œuvre de Rabelais | | Dès 1532, Rabelais entreprend une vaste épopée burlesque dont les premiers volumes, Pantagruel, Gargantua, attirent les foudres "sorboniques". Beaucoup plus tard, il publie un Tiers Livre, puis un Quart Livre, qui furent aussi vivement discutés.Pantagruel (1532) et Gargantua (1534) content les aventures mirifiques du géant Gargantua, de son père Grandgousier et de son fils Pantagruel.Le Tiers livre (1546) et le Quart Livre (1552) sont consacrés à Panurge, l'ami

Le thème éducatif chez Rabelais -Une analyse de quelques idées pédagogiques dans Gargantua Table des matières Introduction........................................................................................................................................1 Les principes de l’éducation rabelaisienne ......................................................................................2 L’éducation scolastique vs l’éducation humaniste............................................................

le comique au théâtre ne sert-il qu’à faire rire ? L’homme aime rire et a besoin de rire pour être un être épanoui et équilibré. Rabelais dans son prologue au Gargantua ne nous dit-il pas dans une formule devenue célèbre que « le rire est le propre de l’homme » En effet l’homme rit volontiers et spontanément et le théâtre peut lui offrir, grâce au rire, l’occasion de se libérer de ce qui l’inquiète ou l’attriste, de mettre entre parenthèse la monotonie de son existence. Certains aspects du

d'Edmond Rostand 1897, Gargantua de François Rabelais 1534, Les Misérables de Victor Hugo 1862, L'Assommoir d’Émile Zola 1877 et enfin Petits Poèmes en prose de Charles Baudelaire. C'est cinq textes on pour thème l'ivresse ou l'ivrognerie. Dans ce corpus nous étudions les différents sens du terme d’enivrement, ces causes et ces effets. On distingue deux manière d'utiliser le mot « ivresse ». On peut exploiter le mot au sens propre, c'est le cas dans les extrait A de Gargantua et B des Misérables de

HISTOIRE DU THEATRE Antiquité : En Grec (Sophocle & Euripide). Le théâtre est souvent de nature tragique. ( Ils se soit d’entraîner la terreur & la pitié (Catharsis). Parfois de nature comique. ( En lien avec les Dieux Dionysos (de la vigne, du vin .) Auteur Aristophane. Moyen-Age : Le théâtre comique, La farce de maître Pathelin (1464) Le théâtre du mystère, représentations de passages bibliques. ( Théâtre de rue, rudimentaire. Pas de vraisemblance. 17ème siècle : Le siècle du théâtre

détails comme l’habit et la manière de manger et imposent donc de nombreuses règles). Il se fait connaître avec des romans comiques dans lequel il met en scène des géants. Cependant, dans sa préface, il dit que des messages sont cachés dans cet humour: il appelle cela la substantifique moelle. Le texte que nous allons étudier est extrait de Gargantua. Dans ce texte, Gargantua, le roi, remercie Frère Jean, qui a été décisif dans des batailles en lui faisant construire l’Abbaye de Thélème (du bon vouloir

philosophie cachée qui vous révélera de très hautes arcanes et d’horrifiques mystères, en ce qui concerne tant notre religion que, aussi, la situation politique et la gestion des affaires. » Intro : Nous allons analyser un passage clef du prologue de Gargantua, écrit par François Rabelais. L’extrait étudier démarre de « N’avez-vous jamais attaqué » et se termine à « la gestion des affaires ». Nous allons voir en quoi Rabelais, par son portrait du lecteur idéal donne les clefs pour comprendre l’œuvre

comédie dans les différents genres littéraires est un instrument utilisé par les auteurs afin de porter une critique tout en distrayant le public. Cependant nous pouvons nous demander si le comique est vraiment le genre le plus adapté pour critiquer ? Pour cela nous commencerons à montrer comment le comique parvient à divertir tout en éduquant les lecteurs par le biais d’une critique indirect sur la société mais aussi pour mettre en abyme les défauts des êtres humains. Par la suite, nous nous

lexical du nombre « comptant », « trois », « deux », « cinq » « dix », « vingt » dévoilent un personnage obsédé par la comptabilité. Il rejoint ainsi également le type comique de l’avare. ● Ce caractère obsessionnel transparaît dans la répétition : « Trois et deux font cinq ». Ce comique de répétition inscrit la pièce dans le registre comique. ● Argan, qui est seul sur scène, imite son apothicaire Monsieur Fleurant, comme l’indique l’ouverture des guillemets : « Plus, du vingt-quatrième… ».● Il mène un

diplomate et écrivain. C’est en 1534, à Lyon, qu’il publie La Vie très horrifique du géantGargantua sous le nom de Alcofribas Nasier. Parodie des romans arthuriens de chevalerie, il met en scène le personnage populaire du géant Gargantua depuis sa naissance, tout en proposant une réflexion érudite sur son temps, derrière l’apparent burlesque. Le texte a étudié est un extrait du chapitre XXVII consacré au combat de Frère Jean contre l’armée envoyé par Picrochole à l’abbaye de Seuilly