Le Comique De Marivaux

Etude comparative de L’école de mères de MARIVAUX et L’école des femmes de MOLIERE Introduction Deux grandes figures de la dramaturgie classique en France, Jean-Baptiste POQUELIN dit Molière et Pierre Charlet Chamblain de MARIVAUX étudiaient d’une plume avisée les différents aspects d’une société hiérarchisée et cloisonnée. Ils décrivaient avec humour les travers de leurs contemporains. Ils précisaient leurs propres conceptions esthétiques, leurs goûts pour une écriture spontanée

même qui rend la scène comique. Il en est de même pour la scène de Racine, du registre comique également mais qui elle met en scène une ironie de la rivalité politique et amoureuse. Les deux textes suivants sont « le jeu de l’amour et du hasard » de Marivaux (acte II scène 8) et « Zaïre » de Voltaire. Ils sont tous deux du XVIIIème siècle. Ils mettent en avant des scènes de drames romantique sui correspondent totalement au courant du XVIIIème siècle. Dans le texte de Marivaux, c’est un amour que les

superlatifs => langage de séduction. b) Jeu d’Arlequin Investissement moindre de la part du personnage. Il est incapable de jouer le rôle en continu et quand il est acteur il redevient vite spectateur (qui s’applaudit lui-même). On comprend que Marivaux veut montrer aux spectateurs les rouages du théâtre (=fonctionnement), ainsi un spectateur du XVIII découvre les jeux possibles d’un acteur. II) Parodie d’une scène de séduction a) Imitation Les deux valets jouent une scène de galanterie comme

LES ACTEURS DE BONNE FOI Scènes V à VII Les Acteurs de bonne foi, une pièce écrite par Marivaux en 1747 et jouée pour la première fois sur un théâtre public en 1757, soit six ans avant sa mort, est souvent considérée comme l’œuvre d’un auteur qui jette un regard rétrospectif et distancié sur son œuvre, ses procédés dramatiques, et plus largement sur la pratique du théâtre dans la société de son temps, sur ce qu’on y joue, comment et pour qui, et sur l’esthétique théâtrale, sur la théâtralité du

Lecture analytique n°1 « Le jeu de l’amour et du hasard » ~Introduction~ Marivaudage: ce mot qui désigne des propos galants d’une grande finesse est dérivé du nom de l’auteur dramatique qui en est l’inventeur, Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux (1688-1763). Il est l’auteur de comédies dans lesquelles le discours amoureux occupe une grande place (La double inconstance -1723-, Le jeu de l’amour et du hasard -1730-, Les fausses confidences -1737). Cependant, ce contemporain de Voltaire et des

ion BAC Correction type bac théâtre. QUESTION Les textes de Marivaux et Beaumarchais sont comiques et le jeu avec la lettre renforce les effets comiques : le refus de Dorante d’écrire se manifeste d’abord par sa mauvaise volonté à trouver du papier, puis dans les interruptions de la dictée d’Araminte, obligée de le contraindre à poursuivre (l. 20). Elle remarque enfin : « Je crois que la main vous tremble » (l. 26). Il finit par avoir un malaise. L’image montre le face à face, Araminte observant

maîtres à analyser la situation Le comique va naître des mimiques exagérées et des contorsions de Cléanthis pour jouer la grande dame mais aussi de l’incapacité d’Arlequin à tenir son rôle. Le rire d’Arlequin est communicatif et sur scène il ne peut se retenir « je m’applaudis » on dira qu’il est bon public et comme d’habitude c’est un peu un homme orchestre : il joue le jeu au point de se dédoubler puisqu’il se fait spectateur de lui-même. Il ya donc comique de caractère puisque arlequin joue

mais aussi celui des gestes et des apparences (costumes, acteurs, décors, mouvements, musique,...). La fonction du théâtre n'est pas radicalement différente de celle des autres genres littéraires ; elle tente de provoquer des effets sur le public, comique, pathétique... Même si le théâtre permet de dénoncer cette noirceur, il permet au contraire, dans certains cas, de la faire oublier et ainsi de divertir le public donc le théâtre peut aborder des aspects négatifs des hommes et du monde tout en divertissant

COMMENTAIRE ARGUMENTE DE FRANÇAIS sur la scène IX de La Dispute de Marivaux La Dispute est une comédie en un acte et en prose de Marivaux représentée pour la première fois le 19 octobre 1744. L’une des dernières pièces de Marivaux, la Dispute vient après les grands succès. Dans cette pièce, il s’agit de décider lequel des deux sexes a donné le premier l’exemple de l’inconstance en amour. On a eu l’idée de recourir à l’expérience : quatre enfants, deux du sexe féminin et deux

de la pièce. Tout ceci est nuancé, les aspects comiques ne servent-ils qu’à faire rire, à réjouir le public ? Nous verrons cette hypothèse dans une première partie, puis dans un second temps nous y verrons le cas contraire, c’est-à-dire que les aspects comiques ne font pas que rire La comédie est un moment que choisit le spectateur pour s'amuser, se détendre et surtout rire ! En effet Le théâtre est là pour faire rire grâce au registre comique qui est propice à la détente, et à l’amusement.