Le Comique De Maupassant

arrachent pas un regard ? De toute évidence, c’est que, dans ces pommes, dans cette rue lepic, dans cette Verdurin, dans cette Cousine Bette, l’artiste a vu et exprimé quelque chose que nous n’avons pas été capables de voir, un sens, une beauté, un comique, un pathétique qui nous échappaient, et qui peut-être même n’y étaient pas – qui n’étaient que chez lui, chez le peintre ou le romancier. F. Marceau, Le Roman en liberté, 1978 (1) (2) Pharmacien pédant dans Madame Bovary de Flaubert Bourgeoise

arrachent pas un regard ? De toute évidence, c’est que, dans ces pommes, dans cette rue lepic, dans cette Verdurin, dans cette Cousine Bette, l’artiste a vu et exprimé quelque chose que nous n’avons pas été capables de voir, un sens, une beauté, un comique, un pathétique qui nous échappaient, et qui peut-être même n’y étaient pas – qui n’étaient que chez lui, chez le peintre ou le romancier. F. Marceau, Le Roman en liberté, 1978 (1) (2) (4) Pharmacien pédant dans Madame Bovary de Flaubert

SÉQUENCE 1 Nouvelles de Maupassant q Découvrir un auteur et son œuvre TEXTES & IMAGES OBJECTIFS • Textes documentaires sur Guy de Maupassant • Toine, EXTRAIT 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • Toine, EXTRAIT 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • La Folle TEXTE INTÉGRAL . . . . . . . . . . . . . ŒUVRE INTÉGRALE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

dénouement comme la mort. A cette liste, s’ajoute ensuite la comédie qui a pour but de faire rire le lecteur. Molière a écrit de nombreuses comédies comme L’Avare ou encore Le Malade Imaginaire. Mais il a aussi écrit quelques farces, c’est une pièce à « comique grossier », comme La Jalousie de Barbouillé avec un docteur plus énervant que jamais et un Barbouillé plutôt rongé par le vin. Et enfin, le drame, souvent romantique, ayant parfois pour héros un homme passionné. Le drame comme pour la tragédie, est

personnes prient, deux autres sont penchées par-dessus bord. Quels sentiments lit-on sur leurs visages ? On lit la peur, l’effroi, la panique. Cette histoire te paraît dramatique comique II.: LE PAYSAGE Un tableau qui représente un paysage Pour évoquer un paysage, l’écrivain utilise LA DESCRIPTION. Et le peintre ? Parmi les grandes toiles de Joseph Vernet, cherche le tableau intitulé : Matin sur terre : La pêche en rivière

[Un mouvement de ce fait ne peut en aucun cas se confondre avec un registre !] Exemple en clair : le comique est un registre parce que l’effet à produire est explicite ; les thèmes (situations/fonction du langage) peuvent être recensés ; les procédés identifiés (quiproquo, etc.) et le genre premier (la comédie) incontestable. Les huit registres pertinents s’avèreraient ainsi : l’épique ; le comique ; le tragique ; le lyrique ; le pathétique ; l’élégiaque ; le fantastique et le burlesque (= le contre

du boulevard ; atmosphère d’un dimanche d’été àdes personnages bien ancrés dans la réalité sociale du temps : employés de bureau, ils sont issus de la petite bourgeoisie, classe qui prend tout son essor au XIXème siècle (cf. romans de Balzac, de Maupassant). Souci du détail caractéristique. 3) Mais il faut nuancer àBouvard et Pécuchet sont des personnages de caricature (cf. ci-dessous l’analyse des portraits croisés) àla description du décor (l. 1 à 5) porte la marque du narrateur : l’espace, géométrique

GUY DE MAUPASSANT _Départ pour Paris 1 – Quels arguments emploie Lebrument pour rassurer son beau-père à propos de l'argent de la dot ? 2 – Notez les réactions de Jeanne et de son mari, à la vue des vieilles dames dans le compartiment ? 3 – Quels détails nous indiquent que le voyage se passe à la fin du XIX° siècle ? _Arrivée dans la capitale 4 – Quelles notations nous font comprendre qu'e Jeanne, elle, n'est jamais venue à Paris. 5 – Comment

car leurs enjeux se recoupent. 1) Les descriptions sont nécessaires à la mise en place de l’action - Rôle de l’incipit = présenter les lieux et les personnages. Ce n’est en aucun cas inutile, au contraire. Dans Pierre et Jean de Maupassant la mer n’est pas qu’un cadre : elle est presque un personnage. Ses bruits et ses vagues semblent répondre aux questions de Pierre. C’est sur la mer qu’ont lieu les événements importants de l’action. Sa description met en place le cadre et annonce

de violence, femmes devenues bêtes de somme ou bêtes de plaisir, enfants abrutis, battus, dans les yeux desquels ne passe qu'un éclair louche, signe de leur appartenance aux damnés de la Terre, les disciples se détournent: Huysmans cherche Dieu, Maupassant explore, aux confins du fantastique, les limites où se confondent folie et raison, vie et mort. En 1892, alors qu'est publiée la Débâcle, l'une des dernières œuvres des Rougon-Macquart, c'est celle du naturalisme que l'on peut constater. La formule