Le Comique Effrayant

d’influencer ses convictions. Il recourt avec l’ironie à la persuasion, notamment aussi avec l’emploi du registre comique. →C’est par l’emploi des paroles rapportées : « mon petit cœur n’avez-vous fait donnez la question a personne aujourd’hui ? » qui fait sourire le lecteur alors que la question de la torture reste un sujet grave, Voltaire joue donc sur un décalage entre ce comique et le tragique de la torture avec l’expression « mon petit cœur » décalée dans le contexte tragique. → Gradation

physiques et morales particulières. Lorsqu’il apparaît à Nausicaa pour la première fois, son apparence est pitoyable et effrayante : « Effroyable, il parut, défiguré par la saumure,/et toutes s’égaillèrent » (chant VI p.103 v.137-138). Par cette description, Ulysse apparaît au lecteur avec un physique repoussant, péjoratif. De plus, son apparence est parfois comique, risible. En effet, lors de sa rencontre avec la jeune Nausicaa, Ulysse est nu et seulement vêtu d’« une branche feuillue

« s'il eut pleuré.. ». Destin tragique (l.8-9) / G. enfermé dans sa diffformité comme le bronze des masques des comédiens antiques (l.18) C. misère de l'humanité Prisonnier du rire (l.25-26) + registre tragique/ invertion progressive de l'apparence comique en tragique terrifiant/ allégorie de le Comédie est un détour métaphorique pour decripter le portrait physique de G. rire mécanique → délivrance de l'angoisse / comédie → rôle d'exutoire et G. en porte le fardeau / il incarne sur sa farce la misère

il mourra transpercé par l’épée de Don Juan. Egalement juste après ceci, Don Juan devenu le père Ambroise, se faisait tous les matins frapper par le cuisinier et n’hésiter jamais à ce faire frapper une deuxième fois, cela peut être vue de manière comique, «  (…) l’abbé lui avait ordonné de se présenter chaque matin au cuisinier du couvent, qui devait lui donne un soufflet. Après l’avoir reçu, le frère Ambroise ne manquait jamais de tendre l’autre joue (…) ». Question 4 : Situation initiale :

aux cartes sur la scène tandis que d'autres encore discutent avec le public. c)Un second rôle indispensable: Rôle: Je joue le rôle de Monique qui est une personne extravertie, maladroite et un peu simple d'esprit. Pour ce rôle, basé sur un comique de caractère, la difficulté était de trouver ce qui ferait de ce personnage un déclencheur du rire. Dès le début, Patricia a confié à Monique les partitions que celle-ci doit distribuer aux chanteurs de cette étrange chorale. Mais Monique, très vite

de la publication © Éditions Flammarion, 2010. ISBN : 978-2-0807-2244-7 ISSN : 1269-8822 SOMMAIRE ■ Présentation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 La comédie du vaudeville Deux carrières de vaudevillistes à succès Le comique Deux comédies sur le mariage 7 9 15 21 ■ Chronologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 Labiche, Embrassons-nous Folleville ! 39 Feydeau, Notre futur 91 ■ Dossier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuéesQui hante la tempête et se rit de l'archer;Exilé sur le sol au milieu des huées,Ses ailes de géant l'empêchent

pas une règle explicite du comportement qu'il faudrait suivre : n'y aurait-il donc dans cette fable aucun enseignement moral? L'art du récit pour susciter l'intérêt du lecteur L'aspect dramatique de la confrontation La situation effrayante du loup est décrite en un seul vers (V.1) et s'oppose à l'état du chien, plein de santé (V.3 « dogue aussi puissant que beau »). Deux vers donnent un complément d'information : le loup est chassé par les chiens (V.2), le dogue a perdu son chemin

Chertoff n’eut jamais rencontré l’homme dont il admet être, possiblement un lointain cousin. Pour les complotistes, la seule mention de ce lien suffisait pour passer l’article à la trappe. «C’était intéressant. Un peu effrayant pour Ben, je pense, mais également assez comique», raconte Meigs. «Vous voyez le tableau: disons que quelqu’un chez Slate est parent de Dick Cheney, et il lance “Eh, j’ai besoin d’un coup de main: on va tous se mettre au boulot pour étouffer le meurtre de masse le plus

pas moins les grands problèmes existentiels de l’humanité. Dans son voyage à travers les mots, utilisant l’humour comme médiateur, Queneau exprime une grande tolérance et fait rire de nos propres misères. Il rejoint ainsi les plus grands auteurs comiques de notre littérature : « Y a pas qu’la rigolade, y a aussi l’art. » Esprit universel, Queneau comme Rabelais invite le lecteur à un certain effort (à éplucher « l’oignon » ou « rompre l’os »), afin que celui-ci découvre que le monde fantaisiste dans