Le Comique Effrayant

supplications du policier de prendre encore plus d’ampleur. II/ Quand le cinéaste s’amuse avec le spectateur 1) Entre une violence dédramatisée… Avec des situations burlesques, des personnages démesurés et des répliques cocasses, l’aspect comique et théâtral est clairement présent dans cette scène de violence de Reservoir Dogs. Tout d’abord, le comportement de Mr. Blonde participe grandement à l’aspect ironique de la scène, la dédramatisant dans un premier temps. Ainsi nous pouvons remarquer

retrouver la liberté dans l’art : affranchissement des règles contraignantes Hugo fait de l’alliance des contraires le principe majeur du drame (idée de totalité, de peinture totale de l’homme et du monde) -> esthétique du mélange Mélange des genres comique et tragique Dans Ruy Blas : Acte IV : bouffon de la sc. 2 à la sc. 8, puis tragédie à l’acte V Mélange du grotesque et du sublime Le sublime : « part sans cesse élancée vers le ciel » p.39, expression de sentiments humains nobles, qui dépassent la

long tableau des négociations entre de Gaulle et « l'homme d'acier ». Ce passage est fait de références au lexique théâtral mettant en lumière les intimidations et enjeux politiques. Aussi, en quoi les négociations franco-russes sont-elles « tragi-comiques » ? Ces négociations sont peignées d'une mise en scène avec ses décors et ses acteurs. Surtout, à travers elles sont visibles les enjeux cruciaux de ce rapport de force. Justement, le dénouement est inattendu, à la fois grave et étonnant.  I]

de Jean de la salle de bains à sa chambre permettent d'une part de réaliser « techniquement » le processus physique de la métamorphose, d'autre part de rendre perceptibles au spectateur les différentes étapes de ce processus comme l'« apparition effrayante » de Jean à la p. 164. b) Les éléments sonores Ils concernent d'abord le langage de Jean. S'opère une déconstruction progressive de son discours, une dislocation de la syntaxe : – répliques brèves, parfois réduites à un mot ou deux (« Chaud.

Faux | | Dans le récit fantastique, l’événement perturbateur | * est totalement explicable par le raisonnement Vrai / Faux | * est un phénomène que la raison peut difficilement expliquer Vrai / Faux | * est généralement effrayant Vrai / Faux | * fait partie des choses qui peuvent arriver dans la vie quotidienne Vrai / Faux | * constitue une irruption insolite dans le monde réel Vrai / Faux | Dans le récit fantastique, le héros | * accepte d’emblée l’événement

la première scène, Sganarelle apparaît d’emblée comme un personnage qui aime parler et se donner de l’importance. Face à Gusman, il prend plaisir à développer un discours fleuve, qui le met en valeur auprès de l’écuyer de Done Elvire. Le caractère comique du personnage est tout de suite évident. La présentation de Dom Juan est progressive. Comparez le portrait qu’en fait son valet dans la première scène de l’acte I et le personnage tel qu’il apparaît à la scène suivante. Molière choisit de présenter

des ambitions vaines et démesurées, une fuite dans l'imaginaire et le romanesque. 35. Bucolique - Poème pastoral qui évoque la vie des bergers, mais sous une forme idéalisée, églogue, idylle. 36. Burlesque - Genre littéraire ou un style dont le comique naissait du contraste entre le sujet qui se voulait noble, et le style familier et amusant dans lequel il était traité; autrement dit, il s'agit d'une parodie populaire d'un personnage, d'une situation, d'un genre noble. 37. Calembour - Le calembour

physique reflète la laideur morale. Le monstre est donc celui qui fait rire, mais qui produit un rire de cruauté. Il en est ainsi de son premier monstre, Habibrah, esclave bouffon, dont l’oncle du narrateur se sert comme objet de moqueries et de comique. C’est un nain hideux, cruel et pervers, dont l’expression faciale couvre tous les degrés de la grimace. Voici son portrait. Extrait : Bug-Jargal, p. 9-10 « – Entre tous ces esclaves, un seul avait trouvé grâce devant mon oncle. C’était un nain

annonce aussi le futur conflit cornélien : l’héros souffre d’aimer car l’amour aliène sa liberté. Enfin, dans La Veuve aparaissent des stances pour la première fois dans l’oeuvre de Corneille. Puis il s’éloigne du genre comique avec Médée, mais il y revient avec L’Illusion comique. Avec le Cid, Corneille n’épiloque plus la magie du théâtre, il la met en action. Il prend conscience de son véritable génie au contact du drame espagnol. Corneille doit beaucoup à l’Espagne et aux écrivains d’origine espagnole

D’autres indices de brouillage des repères spatio-temporels peuvent être relevés : * Gargantua se rend à paris en quelques galops de jument * Il est de retour auprès de son père en un instant Ces dispositions burlesques produisent des effets comiques, comme le pipi de la jument qui provoque un véritable déluge C’est le symbole d’un monde en pleine mutation où les repères sont brouillés : l’univers n’a plus la même taille. On peut ici se référer à l’analyse de Butor (Répertoire II Ed. de Minuit