Le Comique Effrayant

immense et démesuré Cromwell (1827), il ne se contente pas d'attaquer la tragédie, ses règles et son style uniforme. Dans ce manifeste pour le mélange des genres, il développe une véritable théorie de l'art, en défendant la supériorité artistique du comique, des formes vulgaires et du grotesque. Il affirme que, par rapport à une conception optimiste et sentimentale de l'existence, le grotesque a vertu de révélateur de la vraie dimension de la vie, qui inclut le laid et le mal. Le héros de Ruy Blas (1838)

associée au bruit de l’enfer (cris et hurlements). Par conséquent, son état mental est proche de la démence, de la folie : perte du contrôle de soi, trouble majeur de la conscience jusqu’à l’évanouissement. II LE MELANGE DES REGISTRES TRAGIQUES ET COMIQUES 1 Le burlesque et le grotesque Déformation caricaturale de cet adieu alors que c’est un moment grave. Le « ricanement atroce » de l’un d’eux est en décalage avec la gravité de la situation. L’  « honneur » est bien dérisoire. 2 Les adieux

horrifique du Grand Gargantua→ Récit de vie , récit d'apprentissage→ « vie » : retracement chronologique de la vie de Gargantua→ « très horrifique » promet au lecteur un récit fort en action extraordinaire , fabuleuse mais portant également un caractère effrayant ● Grand Gargantua→ « Grand » interroge sur le genre de «grandeur » dont il est fait part ici .A quel genre de grandeur avons nous à faire ici ? Grandeur morale , physique , intellectuelle , morale ... ●

un automate, sanglé dans son uniforme qui lui fait une taille de "jeune fille" - oxymore qui, au lieu de le rendre effrayant comme il se devrait, en fait un personnage grotesque -, mais sa casquette lui donne un air de "chasseur d'un hôtel anglais" - le voilà maintenant associé à un serviteur -, sa moustache démesurée envahit une description dévalorisante. Grâce à son apparence comique et à son accent convenu, il n'est pas odieux au lecteur qui prend plaisir à s'en moquer. Maupassant le raille ouvertement

déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poëte est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant

Antoine-Joseph Van Rasbourgh et travaille principalement sur des décorations de bâtiments. Il exécute en 1874 une série de paysages de la forêt de Soignes où il aimait se promener en compagnie de sa femme, et réalise des lithographies pour Le Petit Comique. En 1875, il présente L’homme au nez cassé (qui avait été refusé en 1865) au Salon de Paris, œuvre qui est pour lui sa première bonne sculpture . Rodin entreprend un voyage en Italie en 1876 où il étudie les artistes italiens de la Renaissance avec

motif de l’emprisonnement notamment de la jeune fille est fréquent dans la littérature médiévale, Pensons par exemple au conte de Floire et Blanchefleur où la jeune Blanchefleur est enfermée dans une tour en attendant d’être mariée au puissant et effrayant Emir Babylonien. Dans le texte, a partir de la quatrième ligne, le narrateur pose un cadre local et nous plonge ainsi dans une atmosphère au climat tempéré (il fait ni trop chaud, ni trop froid), en effet il dit que nous sommes « el mois de mai »

description/inachèvement, élements vagues/nuances grisatres==>imprecision 3) Une description qui renovoie au genre de la “gravure”(eaux-fortes) Eaux-fortes:technique de gravure(ac plque de cuivre et d'acide) permettant de faire ressortir l'aspect sinistre/effrayant du réel;utilisé par des peintres tels que durer ou Rembrantd; Dans les sons/éléments visuels/sonorités utilisés ==> environnement fantastique II. Un poème dont la construction précise les choix poétiques de Verlaine ==>place dans les courant poetiques

d’amour et d’absolu qui se déroule dans un monde infernal[1], et qui puise abondamment dans les références du cinéma et de la culture populaire américaine. Toutefois, le mode ironique agit dans Wild At Heart comme un miroir déformant tantôt comique, tantôt effrayant, à travers lequel Lynch nous convie de plonger, à l’instar de ses personnages. Dans cette analyse du film de David Lynch, nous tenterons de démontrer, notamment à l’aide de la théorie des cinq codes de Roland Barthes[2], comment

— [son] semblable, — [son] frère ! » De même, à travers un dialogue fictif, c'est aussi le lecteur qui se trouve confronté à « Une charogne » ou à des « Remords posthumes ». Le poète est alors semblable à cette horloge : Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible, Dont le doigt nous menace et nous dit : Souviens-toi ! Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible, Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon […]. Un recueil condamné * Baudelaire