Le Comique Et Le Divertissement

Il s'agit de s'interroger sur l'essence du comique qui permet de comprendre quels sont les différents ressorts du comique et quelles sont les différentes comédies. On peut définir le comique comme ce qui suscite le rire, mais le propre de la comédie est d'adord de procurer un sentiment de détente, de divertissement. Elle permet à l'individu d'échapper à la réalité de la vie quotidienne. Le premier critère de définition est celui du rang médiocre des personnages par opposition au rang élevé des personnages

Juste la fin du monde Étude d’ensemble : « L’intermède » Introduction Le terme même d’intermède renvoie au domaine du spectacle ou du divertissement. On peut faire référence à la comédie classique, notamment la comédie-ballet de Molière, à l’instar des intermèdes dansés du Malade imaginaire ou du Bourgeois gentilhomme qui peuvent rappeler des mises en scène de Lagarce. Par ailleurs, la présence d’un intermède dans Juste la fin du monde

de quoi?) est avant tout un phénomène social: on ne rit pas seul mais en groupe. C'est pourquoi le théâtre, divertissement social et collectif par excellence, accorde depuis la plus haute Antiquité - avec les comédies d'Aristophane par exemple - tant de place au comique. Auteurs, metteurs en scène, acteurs «jouent» des aspects comiques de leur création avec des intentions variées. Le comique au théâtre - et sur scène - répond d'abord au premier objectif du théâtre qui est de divertir le spectateur

A) Les différents types de comique : -Le comique de gestes : ou comique gestuel, est l'une des formes de comique. Il consiste à faire des gestes drôles dans une pièce de théâtre dans le but de provoquer le rire chez le lecteur ou le spectateur. -Le comique de mot : comique utilisé au théâtre. Il consiste à faire rire le public tout en parlant. -Le comique de répétition : Le comique de répétition est un procédé littéraire utilisé pour faire rire le spectateur. C'est la répétition d'un mot

de la comédie un miroir qui reflète la réalité, mais en la déformant, en la grossissant et en la transformant par exemple avec la création de types comiques. Le théâtre a permis à ces écrivains une diffusion très large de leurs idées. Les auteurs de comédies sont donc profondément engagés, la comédie, pour eux, est bien plus qu'un simple divertissement: c'est un moyen d'agir sur le réel. La comédie était très populaire au 16e/17e siècle : il arrivait que des rois, des seigneurs engagent des auteurs

Document 1 Marcel Pagnol Le schpountz 1938Roman | Document 2Nathalie simon «  de gad elmaleh à florence foresti, le rire fait recette » le figaro 23/04/2010Article de journal | Document 3Olivier mongin, « de quoi rions nous » ? Notre société et ses comiques, hachette littératures, 2006 essai | Document 4Affiche bienvenue chez les ch’tis 2008image | je ne les ferai pas rire, parce qu'ils ont l'âme assez haute pour être émus de pitié. Celui qui rit d'un autre homme, c'est qu'il se sent supérieur à

LE MALADE IMAGINAIRE de Molière (1673) Le parcours de Molière Molière a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Auteur le plus joué encore aujourd’hui, il s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il s'était donné pour objectif de "faire rire les honnêtes gens" et faisait alors du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Né à Paris en 1622 sous le nom de Jean-Baptiste Poquelin, Molière, à 20 ans

est depuis l’antiquité un accès à la transmission d’idée. On observe que le théatre a été une tribune pour les dramaturges désireux de transmettre leurs idées, parfois à ses risques et périls, malgré divers processus pour le camoufler, comme le divertissement. Peut-on défendre ses convictions à travers une pièce de théatre ? Nous verrons d’abord en quoi le genre théâtral est un bon espace pour transmettre des idées, puis en quoi il ne l’est pas. Le premier élément qui distingue le théâtre des autres

Françoise WEEBER-PARISI 16D107 Devoir facultatif n°1Heinsius, auteur d’une dissertation sur Plaute et Terence, écrit : « susciter le rire n’est pas l’âme de la comédie. » Qu’en pensez-vous ? vous prendrez des exemples à la fois dans le cours et dans vos lectures personnelles. Rire au théâtre a longtemps semblé vulgaire, dans le sens où ce n’est pas ce qui était attendu par l’élite. Nous retrouvons encore aujourd’hui très souvent un jugement de valeur latent sur la prétendue moindre qualité

 Séquence N° I : Le texte théâtral et sa représentation du XVIIème à nos jours. Fiche de révision N° 1 : Corneille, L'illusion comique pages 152 et 153, acte V scène 5 de « Ici on relève la toile » à «  le métier qu'il a pris est meilleur que le mien ». I) Corneille (page 630) a vécu de 1606 à 1684. Il a d'abord écrit des « comédies de mœurs » (sur la façon dont les gens vivaient à son époque) et s'est tourné vers la tragédie avec Le Cid en 1637. Ses héros sont toujours placés face à un