Le Comique Sert La Critique Des Moeurs

ressortir un enseignement. En effet, l’apparition de morales sur la quasi-totalité des fables de La Fontaine contribue à créer une réflexion au lecteur. Par exemple, dans la fable du Lièvre et de la Tortue , la morale « rien ne sert de courir, il faut partir à point » fait réfléchir le lecteur. Dans cette fable, souvent lue aux enfants, la réflexion sur la précipitation dans un travail ou dans l’exécution de tâches quotidiennes peut permettre d’en tirer un enseignement. De même

médecins. Des personnages aux traits excessifs sont présents dans cette pièce qui rend la pièce comique notamment le personnage de Toinette qui est présenté comme étant impertinente et insoumise ce qui la rend comique dans les scènes ou elle se moque de son maître, mais aussi la folie d'Argan notamment du à son hypocondrie qui rend la scène comique et fait rire le spectateur. L'hypocrisie de Béline sert à semer la discorde dans la scène notamment lorsque qu'Argan fait le mort, elle se ridiculise en

spectateur : double énonciation caractéristique du théâtre, et particulièrement évidente lors d’une scène d’exposition. L’enjeu de la scène n’est toutefois pas seulement informatif : il faut aussi séduire le spectateur, capter son intérêt. La présence du comique remplit cette seconde fonction. Le portrait du maître par son valet Pour expliquer la conduite scandaleuse de son maître, Sganarelle fait de lui une description particulièrement péjorative où il apparaît sous trois aspects essentiels : impie

scolaire : 2014-2015 SOMMAIRE INTRODUCTION Problématique : En quoi l’œuvre de Molière l’Avare est-elle une pièce comique ? I-Présentation de l’œuvre et de l’auteur 1-Fiche d’identité de l’œuvre 2-Biographie de l’auteur : Molière 3-Bibliographie 4-Mouvement littéraire 5-Présentation des personnages II-La Comédie 1-Définition de la comédie 2-Les procédés comiques au théâtre 3-L’Avare une pièce comique 4-Résumé de l’œuvre III-Analyse de l’œuvre 1-Etude des personnages 2-Etude thématique 3-Cadre historique

oeuvre, vient du grec ancien "ἥρως" heros, et signifie "Homme de grande valeur", nom commun d'abord utilisé pour parler des personnages exceptionnels, des demi-Dieu qui brillent par leur bravoure et leur force. Pourtant, l'histoire a fait évoluer les mœurs et peu à peu les héros légendaires aux nombreuses qualités se sont transforéms en des personnages aux défauts aussi nombreux qu'impensables à l'époque classique ou antique, mais pourtant beaucoup plus humains. Puisqu'un héros est le centre de l'action

pièce de Marivaux, le Jeu de l'amour et du hasard, a pour unique fonction de rendre la pièce plus comique ? Autrement dit Marivaux poursuit-il d'autres objectifs que provoquer le rire du spectateur en incluant le procédé de théâtre dans le théâtre dans son oeuvre ? Nous verrons tout d'abord qu'en effet la mise en abyme de l'oeuvre a pour seule et unique fonction de rendre la pièce plus comique. Puis dans un second temps, nous discuterons de l'affirmation opposée soutenant que la mise en abyme

→ Étudier les sources du comique dans la pièce :Le comique visuel : comique de gestes (cavalcades = courses-poursuites ; bastonnades, etc.) et déguisements (Cléante en maître de musique, Toinette médecin, carnaval final) = procédés farcesques.Le comique de langage : jeu sur les noms des personnages (Béline, Purgon, Fleurant, Diafoirus, nom construit sur “foire”, synonyme de “diarrhée”) ;le comique de mots : le jargon médical et le latin ; le comique de répétition (“le poumon”), la cacophonie

provoqué chez lui un état d’épuisement). Son jeu d’acteur, au début, était assez mauvais : à l’époque un grand acteur joue dans des pièces tragiques mais lui fut reconnu pour ses talents comiques. Déjà, il avait des problèmes physiques qu’il a incorporés à ses personnages (hoquet, toux fréquente). De plus, il se sert de modèles comme la Comedia dell arte (dont les artistes avaient une véritable formation d’acteur, une formation corporelle, et qui déterminaient un canevas préalable à l’improvisation ;

les auteurs utilisent. S’ils appartiennent à des époques différentes – le XVIIe siècle pour le texte A et le XVIIIe siècle pour les textes B et C -, les textes du corpus présentent en revanche la même situation : un regard étranger rend compte des mœurs d'un « pays » lointain dont il a entendu parler ou qu'il visite. Ce sont des œuvres de fiction : la naïveté ou tout simplement le regard neuf qui est porté sur ces contrées en fait ressortir l'originalité : c'est la cour de Louis XIV, avec ses dignitaires

corpus : il est extrait du Rire, Essai sur la signification du comique, publié en 1899 par Henri Bergson. Le deuxième document est intitulé "De la ville", c'est un extrait des Caractères ou les mœurs de ce siècle de 1688, dans lequel Jean de La Bruyère dénonce ceux qui passent leur temps à rire des autres. Les deux derniers documents de ce corpus sont très récents : Axel Kahn montre dans L'Homme ce roseau pensant de 2007 que le rire sert à faire voir la misère aussi bien que la grandeur. Pour Dominique