Le Compromis De Bretton Woods

oblige à développer les activités commerciales et maritimes. Dans le Sud, les terres fertiles permettent de développer une économie de plantation, produisant principalement du coton, très demandé dans la vieille Europe, et surtout en Angleterre. Un compromis doit être trouvé (la difficulté de la tâche inviterait à dire « conquis ») entre les partisans d’un pouvoir central fort et les défenseurs de l’autonomie des États. La Constitution propose une synthèse subtile, construisant une Union fédérale partageant

de renoncer définitivement à sa souveraineté économique. Ensuite, elle regroupe le droit de réglementation des investissements étrangers et d’expropriation et de nationalisation de leurs biens (des sociétés étrangères). Il a fallut attendre un compromis, le droit à nationalité et à exproprier mais avec une obligation d’indemnisation des sociétés étrangères. 1. Le caractère absolu de la compétence territoriale L’Etat peut exercer ses compétences exécutives, constitutionnelles, législatives,…comme

mais certains Etats, comme l'Italie, y étaient réticents, craignant que cette interdiction ne fasse monter le prix de leurs obligations d'Etat, rendant plus difficile le financement sur les marchés. Un accord a finalement été approuvé grâce à un compromis permettant aux Etats qui le souhaitent de ne pas appliquer ce règlement pendant une période donnée, en fonction de critères spécifiques. 4 L'agence d'évaluation financière Moody's a abaissé la note souveraine de l'Espagne de deux crans, de

instable et imprévisible 15 ; - la contradiction fondamentale entre une libération totale des mouvements de capitaux à court terme et l'autonomie des politiques monétaires nationales. • Une réforme du système monétaire international, un nouveau Bretton-Woods, est absolument nécessaire. Elle impliquerait notamment: - l'abandon total du système des changes flottants et son remplacement par un système de taux de change fixes, mais éventuellement révisables ; - des taux de change assurant un équilibre

pénaliser l'inefficacité par les pertes. Mais ce capitalisme idéal, où la liberté des échanges est naturellement régulée par la concurrence, n'existe nulle part au monde. Les systèmes économiques des pays occidentaux contemporains résultent plutôt d'un compromis entre libéralisme et interventionnisme étatique.     Histoire du capitalisme Beaucoup d'institutions caractéristiques du capitalisme existaient déjà dans l'Antiquité: commerce, prêts et assurances étaient monnaie courante chez les Grecs et

économiques, culturels et diplomatiques. Cette puissance suppose une capacité à innover en permanence, à dominer les marchés en s’appuyant sur des firmes implantées mondialement et sur des instruments monétaires, universellement acceptés (dans cadre SMI Bretton Woods), à diffuser ses propres valeurs, à disposer des moyens militaires et financiers pour imposer son arbitrage dans les conflits régionaux. ( Le Japon doit sa place de puissance mondiale à son exceptionnelle réussite économique amorcée au milieu

guerre un nouveau monde prospère, démocratique et en paix. Cette réflexion débouche, alors que les combats continuent, sur les accords de Bretton Woods et sur la création des Nations unies. On veut éviter le retour aux erreurs économiques des années 1930 (dévaluations sauvages, protections douanières…). Aussi le 24 juillet 1944 lors de la conférence de Bretton Woods (New Hampshire) est signé un accord entre 45 pays pour créer un nouveau système monétaire international. Les 1 000 délégués présents, fortement

Il y avait aussi un équilibre entre les syndicats et les antisyndicaux. Ce modèle a profité de la forte croissance économique d’après-guerre. La fin de Bretton-Woods et le choc pétrolier ont modifié la donne. Mitterrand proposera de nombreuses nationalisations, plus de pouvoirs aux syndicats, allant à l’encontre du modèle français et du compromis européen. Cela entraînera des problèmes au niveau de l’inflation et de la compétitivité. Mitterrand devra changer de politique pour rester dans le SME.

indique la présence d'un dessein organisé. Ensuite encore , l'identification claire des termes d'une opposition qui caractérise toute situation de crise. Enfin, la constatation que, lorsque la tension devient extrême , l'URSS recule et recherche un compromis. C'est cette logique générale qui provoque le passage à l'autre variante de la politique des blocs, la coexistence pacifique ou la détente. B-La détente. Le terme de "détente" est plutôt occidental tandis que l'expression "coexistence pacifique"

recours aux organismes ou accords régionaux ou par d’autres moyens pacifiques de leur choix » Quand le différend entre dans cette catégorie les parties concernées ont une obligation de règlement pacifique. Cette obligation permet d’aboutir à des compromis, les revendications de chaque parties seront modérés pour arriver à une solution commune. La négociation : Elle peut être informelle (sans utiliser de procédé juridique précis). Ex : 1ère Guerre du Golf, négociation de Perez Cuellar