Le Compromis De Bretton Woods

Street en 1929, facteur déterminant de l’augmentation du protectionnisme. Ainsi, pour remédier à cette situation, 45 Etats s’étaient réunis dans la localité de Bretton Woods, sous la houlette des Etats-Unis, afin de trouver une résolution aux difficultés qui entravaient toute l’économie. Naquirent à l’issue de cette conférence de « Bretton Woods » en 1945, 1er accord mondial de ce genre, le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD

consommation 1983 : Plan de rigueur de désinflation compétitive 1986-1987 : Déréglementation des prix, des changes et du crédit. La France et l’Europe 1950 : Création de l’UEP. 1951 : Adhésion à la CECA 1957 : La France membre fondateur de la CEE 1966 : Compromis de Luxembourg 1969 : création du consortium Airbus 1972 : Accords de Bâle 1979 : Le franc intègre le SME 1986 : Acte unique européen 1992 : Le Traité de Maastricht. 1791 : La loi d’Allarde sur la liberté du commerce et de l’industrie supprime les

élevé pour les pays en développement, car ceux-ci étaient forcés d’adopter des réformes majeures de leurs politiques intérieures. De plus, tout au long de cette période, les acteurs-clés à l’origine de ces prescriptions étaient les institutions de Bretton Woods (Banque mondiale et Fonds monétaire international), qui ont monopolisé le programme d’action en matière de développement international. En conséquence, lorsque le CAD et la CE ont commencé à promouvoir le concept de la CPD, ils ont semblé contester

DOLLA GAP » EN EUROPE - Grave crise éco en Eu (il faut bcp importer et tout reconstruire; profond manque de devise : « dollar gap » on a pas assez de dollar car on s’approvisionne auprès des USA pour remettre sur pied leur éco. - Accord de Bretton Woods (juill. 44) car américains on peur que l’u tombe dans les bras du communisme → retour au Gold Exchange Standard => primauté du $ ; création du FMI ; Création de la BIRD(banque intern pr la reconstruction et le dév : banque mondiale) - Nouvel ordre

Depuis la fin de la 2nde GM, plus aucun conflit armé ne s’est produit, Les EU interviennent dès lors d’un conflit semble se dessiner. Cela s’apparente à une régulation monopoliste et étatique. Les EU vont faire régner leur manière de penser. Après Bretton Woods, le GATT, le plan Marshall et l’OECE, ils se payent une extension avec l’Europe, un nouvel ordre éco s’installe. 1.3 La dynamique mondiale. Des tensions inflationnistes vont apparaître et il est quasiment impossible de les arrêter, il est préférable

l’intermédiaire de son Conseil économique et social auquel sont rattachées les multiples organisations spécialisées évoquées ci-dessus comme l’OMS, l’UNESCO ou l’UNICEF. Ce conseil coiffe également les institutions financières et monétaires prévues à Bretton Woods dès juillet 1944 à savoir la BIRD et le FMI. Par ailleurs, responsable du maintien de la paix, le Conseil de sécurité peut prendre des mesures militaires ( en recourant à des forces d’interposition composées de Casques bleus), diplomatiques ( enquête

s’accumulent entre les 2 grands. Février 45, la conférence de Yalta a lieu. Churchill, Roosevelt et Staline décide de constituer 4 zones d’occupations en Allemagne. Staline est en position forte. Il ne fallait pas que l’Allemagne redevienne un pays fort. Compromis entre l’US qui a des annexions territoriales en échange de la promesse d’organiser des élections libres. Juillet 45 : conférence de Postdam. Le climat est beaucoup plus tendu. C’est Truman qui représente les EU. Il veut la bombe atomique. On décide

pourrait nommer « un intérêt général international » et donc cet intérêt général international ne peut pas se définir de façon théorique, il faut faire avec les situations existantes. Exemple : * Proposition d’un système monétaire à Breeton Woods en 1944, * La question des réparations de guerres, * L’opposition au système de l’étalon-or. Les ouvrages de Keynes sont nourris d’une expérience concrète, tout jeune entre 1906 et 1908, Keynes séjourne au bureau des affaires indiennes,

Stiglitz, économiste en chef de la Banque mondiale, épingle, depuis le début de la crise, les prescriptions de politique économique qui constituent ce qu'on appelle le consensus de Washington entre les institutions soeurs nées de la conférence de Bretton Woods, en 1944, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale. Il rappelle que le débat d'idées dans la science économique est fondamental, car le pouvoir de décision dans ce domaine engage la vie de millions d'êtres humains. Et ce débat

mondialisation doit être perçue non comme un état, mais comme un processus long et, sans doute, chaotique. Le premier chapitre situera l'OMC par rapport à son héritage historique et institutionnel : la création du GATT dans la foulée des accords de Bretton Woods, la mise en oeuvre de ses principes, mais aussi, simultanément, ses dérives puis, enfin, le "dépassement" du GATT par l'Organisation Mondiale du Commerce. 3 Voir Guillochon (1997). L'OMC et la mondialisation des économies. 3 Le GATT, puis