Le Conflit Dans Le Cid

"Le Cid" de Corneille Les personnages Don Rodrigue (Rodrigue) : fils de Don Diègue et amant de Chimène. Cid est un surnom de guerre qui ne sera rappelé qu’aux actes IV et V et uniquement par le roi et l’Infante. Le personnage s'inspire de Rodrigo Díaz de Vivar. Chimène : fille de Don Gomès et maîtresse de don Sanche et de Don Rodrigue dont elle est aussi l’amante. Don Gomès (le comte) : comte de Gormas et père de Chimène. Don Diègue [de Bivar] : père de don Rodrigue. Doña Urraque (l’Infante) : Infante de

propre mort. Les termes employés expriment la grandeur : v.26,« la foi », 27, « majesté sacrée » des « Dieux », v.29, « serments ». La gradation finale rappelle l'appel aux armes de Don Diègue à Rodrigue (« Va, cours, vole et nous venge ! ») dans le Cid de Corneille. Ce rappel ironique montre bien l'attitude combative d'Hermione : inutile de traîner, s'il doit l'abandonner de toutes façons ! Elle ne laissera pas celui qu'elle aime à quelqu'un d'autre et elle saura s'en débarrasser... III - Conclusion

Dans le registre tragique le héros est au centre de la situation tragique qui sont les conflits de l'homme avec les dieux, entre les hommes eux-même, ou encore le conflit intérieur du héros. Le héros peut se distinguer par sa force, ses vertus et et ses valeurs, lié à une fatalité. Le héros cornélien aspire à la plus complète réalisation de lui-même, dans le bien en général mais parfois dans le mal. C'est une âme forte, à la personnalité puissante, en qui nulle médiocrité ne subsiste et qui,

ARIAS, DON ALONSE, gentilshommes castillans. CHIMÈNE, fille de don Gomès LÉONOR, gouvernante de l'Infante. ELVIRE, gouvernante de Chimène. UN PAGE DE L'INFANTE. *Résumé : Rodrigue et Chimène sont sur le point de se marier , mais un grave conflit oppose leurs pères , suite a une rivalité ou le père de Rodrigue fut nommé gouverneur du prince de la Castille, Don Gomès , le père de Chimène gifle Don Diègue , le père de Rodrigue , alors pour venger son honneur, Don Diègue trop vieux pour faire

terme "baroque" est péjoratif, synonyme de "bizarre" ou "d'excessif". Ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle que les critiques emploient ce terme pour qualifier certaines œuvres d'art de la fin du XVIème et XVIIème siècles, période de violence et de conflits d'ordre idéologiques. Le développement de la tragédie classique à l'époque de la monarchie absolue repose, quant à lui, sur les bases de la tragédie grecque antique et suit certaines règles assez strictes comme celle des trois unités. Quelles sont

Cloris, la sœur de Tircis, de fausses lettres d’amour que Mélite aurait écrit à ce Philandre. Philandre quitte Cloris pour Mélite et montre ces lettres à Tircis * 1637 Le Cid : C’est une pièce de théâtre en vers (essentiellement en alexandrins). La pièce se déroule en Espagne dans le royaume de Castille à Séville. Le Cid est le fils de don Diègue et l’amant de Chimène, elle-même fille du comte de Gormas, lequel a giflé don Diègue suite à une querelle qui les opposait sur la fonction de gouverneur

contribue ainsi au divertissement des spectateurs, grâce aux décors , aux costumes, aux éclairages, aux lieux ... Les avancés technologiques permettent de poussés de plus en plus l'illusion Ainsi de nombreux metteur en scène revisitent les classiques. Le Cid de Corneille en version flamenco, une mise en scène de Thomas Le Douarec avec un magnifique duo décor-lumières. Et Don Juan de Molière, une mise en scène de Mesguisch qui grâce aux décors, costumes et lumières apporte de la féerie a cette pièce. Le

DOCUMENTS | ORIENTATION 11 | ORIENTATION 21 | ORIENTATION 31 | Document 1Extrait théâtral, P. Corneille, Le Cid, 1637. Confrontation père/fils sur la question de l’honneur, valeur transmise de génération en génération. | La transmission porte sur des valeurs, notamment celle de l’honneur. Ces valeurs viennent des ancêtres. Elles sont inhérentes à une caste et leur respect se traduit par des actes : venger l’honneur bafoué d’un père. À la transmission de la vie doit répondre

de dialogue: - La réplique: on appelle réplique chaque intervention d'un personnage dans le dialogue. - La sentence: c'est une formule qui fait choc et a une valeur généralisante. Exemple: à vaincre sans péril on trimphe sans gloire (Corneille, Le Cid, II, 2, v.434). - La répartie: réplique brève qui produit un effet, elle peut se présenter comme une formule, un trait d'esprit à mettre au compte de l'auteur lui-même. Exemple: un grand nous fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal (Beaumarchais

Exprimer une pensée profonde et créer une complicité avec le public. Repartie : réplique courte souvent cinglante/acerbe, souligne la vivacité de l’affrontement, prise de paroles unique La stichomythie : succession de réplique brève, scène de conflit et montre que le dialogue menace de rompre à tout moment. Quiproquo : malentendu, les personnages comprennent mal une phrase, il souligne la fragilité du langage. 2. Le dialogue et les didascalies La double énonciation : Le dramaturge s’adresse