Le Conflit Entre Antigone Et Créon

après l'entrée triomphale d'Oedipe, vainqueur du Sphinx. Structure de l'œuvre 5 parties : - La malédiction de la peste s'abat sut Thèbes -début de l'enquête, conflit entre Tirésias, devin, et Créon, frère de Jocaste et prétendant au trône -Jocaste rassure Œdipe les  doutes du roi concernant le coupables se renforcent -Confrontation entre le messager corinthien et le serviteur de Laïus -La catastrophe : mort de Jocaste, Œdipe se crève les yeux Structure de l'œuvre 4 parties : -Act I : Apparition

d’exposition Objet d’étude : le théâtre, texte et représentation (toutes sections). Texte 1 : Musset, On ne badine pas avec l’amour (1834), Acte I, Scène 1 Texte 2 : Hugo, Ruy Blas (1838), Acte I, scène 1, v. 1-30 (Il se lève) Texte 3 : Anouilh, Antigone (1947), extrait du Prologue Annexe : Entretien avec Ezio Toffolutti, scénographe et costumier (mise en scène de Ruy Blas à la Comédie-Française, en 2002) Texte 1 Musset, On ne badine pas avec l’amour (1834) Acte I, scène 1 Scène 1 Une place devant

ainsi de donner un meilleur éclairage sur un conflit. Le spectateur peut en effet se faire une plus juste vie du conflit qui oppose les personnages. Ainsi dans Antigone, Ismène et sa sœur présentent un portrait antagoniste et radicalement différent de leur oncle Créon. Ismène voit en son oncle un être puissant et soumis aux lois du pouvoir tandis qu'Antigone nie son pouvoir en le rendant inexistant dans ses répliques. On voit donc s'établir un conflit entre une âme soumise et faible et une femme forte

Flammarion » En somme, Montesquieu veut ici établir que l’ordre du droit ne peut procéder de l’ordre des faits. Or, la justice, par excellence, relève du droit et non du fait : « La justice est un rapport de convenance, qui se trouve réellement entre deux choses; ce rapport est toujours le même, quelque être qui le considère, soit que ce soit Dieu, soit que ce soit un Ange, ou enfin que ce soit un homme. Il est vrai que les hommes ne voient pas toujours ces rapports; souvent même, lorsqu'ils

Iphigénie de Racine par CÉCILE LIGNEREUX Vers le bac À l’écrit Objet d’étude : Corpus bac : dialogue et conflit au théâtre TEXTE 1 Racine, Iphigénie, acte V, scène 2. TEXTE 2 Albert Camus, Les Justes, acte II. [Dans Les Justes, Camus met en scène un groupe de révolutionnaires russes qui préparent un attentat contre le grand-duc. Kaliayev est chargé de lancer la bombe sur la calèche où se trouve l’aristocrate. Mais au moment de passer à l’acte, il aperçoit, à côté du grand-duc

divers, renferme la notion de possibilités, de prérogative, de facultés mais également la notion d’obligation, de devoir. Le rassemblement de ces sens forme l’ambivalence du droit. Droit est un système qui a pour objet d’arbitrer entre des facultés d’agir et entre des contraintes des devoirs. 2 LES EXPRESSIONS DU LANGAGE COURANT QUI UTILISE LE MOT DROIT Le langage courant n’est pas le langage juridique, le vocabulaire juridique est un vocabulaire technique. Le langage courant est un langage

personnage principal, humain ou demi-dieu, d'une œuvre et il est plus précisément mis en valeur dans les récits tragique. Dans le registre tragique le héros est au centre de la situation tragique qui sont les conflits de l'homme avec les dieux, entre les hommes eux-mêmes, ou encore le conflit intérieur du héros. La question est de savoir quels sont les spécificités d'un tel personnage qui se distingue par sa force, ses vertus et ses valeurs, lié à une fatalité. Tout d'abord, nous analyserons la grandeur

en soi (problème du relativisme et de l'universel) ? Enfin, La conformité aux lois et coutumes suffisent-elles (problème du jugement et de la bonté) ?Nous étudierons donc tout d'abord la valeur des lois et des coutumes en nous appuyant sur Œdipe, Antigone et Socrate, puis nous nous pencherons sur les Droits de l’Homme et l’Etat de Droit avec Kant et Eichmann, enfin nous verrons que le juste est au-delà des lois et des mœurs selon les principes d'équité et de charité, de jugement et de volonté.[ ]

relation de jalousie par rapport au pouvoir . Revenons avec Sako et Danga qui s'entre-tuent car l'un est passé dans le camp ennemi. Ensuite, il y a le mythe de l'errance . Tout d'abord avec l'inspiration pour le personnage du roi Tsongor qui erre entre le monde des vivants et celui des morts. Katabolonga lui refuse en outre de donner la pièce qui lui permettra de passer de l'autre coté, cela pourrait l'aider . Il y a donc une référence au coordonnier du mythe. Le terme « errer » signifie que c'est

tragique plus moderne : la dimension tragique antique (c’est-à-dire que le tragique repose sur la lutte inexorable du héros contre la fatalité imposée par les dieux) est ici remplacée par un tragique existentiel qui repose sur le conflit éternel auquel est en proie l’Homme entre son idéal et la réalité qu’il doit vivre - Il donne une signification universelle à sa pièce: de nombreuses questions restent sans réponses à la fin de la pièce notamment avec le thème ambigu de « l’aurore » qui conclut et amènent