Le Conformisme Est Il Une Absence De Liberté

de chasseurs, mobilités, mises en récit et trouvailles de mots, mille pratiques inventives prouvent, à qui sait les voir, que la foule sans qualité n'est pas obéissante et passive, mais pratique l'écart dans l'usage des produits imposés, dans une liberté buissonnière par laquelle chacun tâche de vivre au mieux l'ordre social et la violence des choses. Michel de Certeau, le premier, restitua, voilà dix ans, les ruses anonymes des arts de faire, cet art de vivre la société de consommation. Vite devenues

tard : 29-30 ans pour H 25-26 ans pour F « droit canon » : peut se marier à la puberté 12 ans pour F 14 ans pour G +naissances première naissance : 1 an après mariage puis tous les 2 ans d’où mariage tardif pour éviter trop d’enfants : c’est le « conformisme social » fallait attendre d’avoir des biens matériels pour s’établir en attendant que le père meure +natalité 6-7 enfnats par famille considérable car mort frappe souvent un ou l’autre des époux mortalité très forte : 250 pour mille au XVIIe (0

motivation, conçue comme tendance à la réduction des besoins ou à l'expansion et à la croissance, qui peuvent parfois se payer cher : cf apprentissage de la marche pour l'enfant, qui quitte le confort du "4 pattes" pour apprendre , à ses dépens, la liberté de marcher. La notion du "Moi" Pivot de la théorie de la personnalité de Rogers. Le moi est une expression de la tendance actualisante, et non une "instance", un lieu psychique. La conscience d'exister et d'agir en tant qu'individu émerge

Ecriture est une photographie de la personne a un moment elle évolue et peut changer avec le temps ou un événement bouleversant . La première trace d’écriture est le gribouillis expression pulsionnelle du petit enfant. * Anarchique * Absence de but et de contenant donc pas de sens . * Activité motrice et tonique. * Simple production de matière et couleur sans représentation * Il s’exprime dedans * Valeur de communication d’où ne pas considérer comme rien faut le stimuler

progrès» note Régis MESSAC4. Ces contre-utopies apparaîtraient également comme des utopies « traditionnelles » («classiques») poussées à l’extrême, jusqu’au bout de leur logique : pour paraphraser le fascisme, « l’État y est tout, l’individu rien ». La liberté individuelle n’existe pas ; les personnes sont broyées ou conditionnées dans des sociétés enrégimentées, uniformes, brutalement égalitaristes ; le milieu ambiant est exploité au maximum et la plupart du temps ravagé... Des élites, des maîtres sans

du roman semblent multiplier les interventions d'un autre ordre (politq, moral, religieux). Enjeu du roman parait déplacé, tutelle morale, tyrannie du « devoir être » du roman accentuée par son irrégularité, son immoralité, son désordre naturel. Absence de règles seraient donc une donnée constitutive du roman, et donc une faiblesse théorique. Pour Mikhaïl Bakhtine, les époques où le roman s’est dvlpé (certains moments de l’Hellénisme, fin du M Age, Renaissance et surtout au XVIIè siècle) sont marquées

égalité et liberté. Mais ces 2 principes peuvent être antagonistes. La recherche de l'égalité peut se faire au détriment de la liberté. L'exercice de la liberté peut provoquer des inégalités. • Modèle démocratique américain → danger : tyrannie de la majorité. Opinion la plus forte : majoritaire. Risque pour les individus minoritaires qui ne s'expriment plus. Risque de conformisme. Majorité peut être manipulé. Les individus ont une telle passion pour l'égalité qu'ils sont prêt à nier la liberté. 2

projeter dans l’avenir. La mémoire assure une continuité de l’âge de soi dans le temps. Cela permet une stabilité permanente du sujet.A contrario il y avait une fracture d’identité → individu aliéné Aliénation : contraire d’identité et vient d’une absence de continuité· L’unité et/ou la cohérenceLa construction de l’identité individuelle exige qu’on soit en accord avec nous même, on peut dire que cette cohérence avec ses propres aspiration, attentes font parties de l’histoire et de la personnalité

Utopie, égalité et liberté : l’impossible idéal Jean-Marie Huriot | Lise Bourdeau-Lepage Résumé L’objet de cet article est de tirer les conséquences logiques mais imprévues, en termes de justice sociale, de l’ensemble des présupposés des constructions utopiques. Dans les conditions généralement en vigueur dans les utopies urbaines qui revendiquent une certaine justice sociale combinant diversement égalité, équité et liberté, l’égalité est susceptible d’entraver la liberté, voire de créer des

l’individu sont en train de se constituer en Angleterre et se diffuseront ensuite dans toute l’Europe. La subjectivité ne peut également prendre racine qu’à partir d’une base sociale telle que la propriété et les droits politiques. Sans la liberté de mouvement, la liberté de se marier librement, … : l’individualisme ne peut exister dans « support social » ( R. CASTELS). Ce que KANT nomme « l’autonomie de la volonté