Le Consommateur Est Il Toujours Rationnel

répond à une volonté d’explication « Un commerçant vend son produit à un consommateur qui donne la plus grande somme et deuxième au consommateur qui donne la plus petite somme ». Cela ne va pas nous étonner pour la première mais on va être plus étonné pour la deuxième (vendre pour la plus petite somme). Les explications que l’on cherche sont intentionnelles car on a des aprioris sur les intentions. En économie on peut toujours tourner les faits comme provenant d’intentions. La différence tient à la

donc suffisante (situation ou l’offre est en force). Il n’y a pas encore de concurrence. Toujours pas ici de marketing, le producteur seul détient la vérité, l’offre est à prendre ou à laisser. Eclatement géographique des marchés, (plusieurs centaines de Km), apparition d’un enjeu de distribution et de communication : apparition de la Réclame. Ce système s’appuie sur une vision simpliste du consommateur comme quelqu'un dont il suffit de conditionner les réflexes « mécaniques » en montrant l’offre

Les spécificités du modèle classique : L'école classique et l'école néoclassique font partie de l'analyse globale classique. De plus l'analyse monétariste développée par Milton Friedman ainsi que les théoriciens de l'école des anticipations rationnelles ont enrichit la théorie classique. Pour les classiques l'équilibre global (macroéconomique) résultant des équilibres sur les différents marchés est assuré par la parfaite flexibilité des prix. Cet équilibre global rend inutile voire néfaste

services non marchands 3 III - La consommation productive 3 Remarque : 3 Section II : Le consommateur et son comportement 3 I – Les déterminants extra-économiques 3 1 – Les déterminants psychologiques : 3 2 – Les déterminants sociologiques : 4 3 – l’action des entreprises 4 II- Les déterminants économiques de la consommation et la rationalité du consommateur : 4 1- Le calcul en termes d’utilité cardinale : 4 2- L’approche en termes d’indifférence :

biens ou le consommateur des biens) déterminent leurs choix. * Le producteur choisira : * Comment techniquement produire un bien. Le producteur est maître de choisir ce qu’il veut acheter, combien de personne il va embaucher, s’il va souscrire un crédit. Il faut comprendre pourquoi il utilisera telle ou telle technologie de production * Quelle quantité sera produite. Le producteur est maître de la quantité qu’il produit dans cet univers là. * Le consommateur choisira :

le consommateur ne connait pas. Ils ont donc l’obligation de fournir à ce dernier les informations relatives à ses caractéristiques, à ses utilisations possibles et recommandées et aux différents engagements qu’entraine le contrat de vente. L’obligation d’information intervient également dans le concept de concurrence pure et parfaite. En effet le consommateur, s’il dispose de toutes les informations relatives aux produits ou services qui l’intéressent, il peut effectuer un choix rationnel pour

menaces. L’avantage concurrentiel Toute entreprise doit tenter d’acquérir une position de force qui lui permette de se démarquer de ses concurrents. Cette position sera obtenue grâce à un élément distinctif qui, s’il est perçu positivement par les consommateurs, constituera un avantage concurrentiel. Cet élément peut être, entre autres, une particularité du produit, une façon différente d’utiliser les réseaux de distribution, un outil de promotion ou une politique de prix avantageuse. Pour l’entreprise

économistes de l’époque victorienne. C’est une mesure numérique du bonheur individuel et le consommateur ce reporte à cette maximisation afin d’optimiser son choix. La mesure de l‘utilité d’un bien demeure inexpliquée par les classiques. De ce fait, la mesure du bonheur ne se fait plus par l’utilité mais par une nomenclature dite de préférences du consommateur, une théorie selon laquelle le consommateur préfère un bien à un autre même s’ils procureraient la même satisfaction. On en conclut alors

Ils ont des caractéristiques techniques et des caractéristiques symboliques. Toutes les caractéristiques techniques n’ont pas d’importance pour le vendeur, seules compte celles qui ont des utilités pour le consommateur. Elles doivent valoriser le produit, il n’est pas utile pour le consommateur de les comprendre. Exemple : Une voiture 16 soupapes à injection Turbo D est une voiture de sport, on ne comprends pas forcement ce que sont des soupapes mais on sait que ce sont des caractéristiques valorisantes

produit Libre entrée, libre sortie ⟶ Si Offre > Demande : Prix ↘ Si Demande > Offre : Prix ↗ ⟶ Equilibre : Offre = Demande ⟶ Situation Optimale Rationalité : Egoïste (Pas d’acte gratuit), Matérialiste (argent), Parfait (optimisateur), Libre arbitre (toujours savoir). Exemple : Le marché du travail O,D O O=D D Equilibre Prix Contre-exemple : Marché du travail avec salaire minimum O,D O>D : Chômage 20 ⟶ Irrationalité des comportements ⟶ Déséquilibre sous optimalité 50 40 30 7 Saire mini 9 Prix