Le Consommateur Irrationnel

ÉTUDE La prise en compte du comportement du consommateur dans le marché automobile Prise en compte du comportement du consommateur dans le marché automobile Le comportement d’achat du consommateur dépend de plusieurs facteurs. Il y a des facteurs rationnels, tels que : le prix, les caractéristiques techniques, la robustesse… Mais il y a d’autres facteurs qui vont d’avantage appel à l’émotion qu’à la raison, ce sont les facteurs irrationnels tels que l’esthétique, la communication sensorielle

une communication rationnelle se repose sur la raison du récepteur, sur des arguments logiques, clairs et rigoureux. La publicité doit être objective et s’appuie sur le réel. L’avantage de cette communication c’est de donner des preuves à des consommateurs exigeants. Elle utilise une apparence rationnelle pour se donner un alibi sur un achat douteux. Rarement créative, elle ne joue pas sur le plaisir mais sur la logique et n’est pas adaptés à tous les produits. Une campagne de communication est

medias, les politiques et des consommateurs. Cet évènement d’ordre mondial, a une très forte influence sur la consommation et sur le marketing. ; (L’écoute et l’analyse des habitudes du consommateur, ainsi que la réponse proposée). Quel est donc l’influence de la crise sur les modes de consommation ? PLAN I/ l’écoute du consommateur *II/ la réponse du *marketeur III/La crise est une transition pour le marketing IV/ Bibliographie L’écoute du consommateur. Le consomateur moyen

rationnel. L’électeur est peut-être mal informé, mais il demeure rationnel (c’est-à-dire, pour retenir une définition consensuelle, cohérent avec ses préférences). Il est même « rationnellement mal informé », comme le disait Downs : il faudrait être irrationnel pour payer le coût de s’informer parfaitement en politique, vu le faible rendement qu’on en retirerait. En effet, le vote individuel modifie très marginalement la décision publique, son utilité marginale est donc très faible au regard du coût d’acquisition

sociologie. Développée surtout aux Etats-Unis elle utilise les progrès de l’imagerie cérébrale, technique qui permet entre autre de détecter l’activité précise des différentes régions pour décrire voir même expliquer les comportements financiers des consommateurs ; c’est ce qu’a appelé l’américain Paul W. Glimcher : la Neuro-économie Pour en donner une définition plus précise, la Neuro-économie, étudie en fait l’influence de plusieurs facteurs comme notamment le facteur émotionnel dans la prise de décision

fonction d'un ordre de préférence complet, avec une information parfaite. - Le consommateur est rationnel, le producteur est rationnel dans la théorie néo-classique. - Ce postulat d'une rationalité absolue qui est un des fondements de l'analyse économique classique doit cependant être nuancé. Un simple regard sur la réalité suffit à trouver des exemples où le consommateur fait des actes qui peuvent sembler irrationnels. THEORIE DE LA RATIONALITE LIMITEE Pour SIMON la rationalité absolue se trouve

déterminer le choix du consommateur : nous verrons ce que nous apprend le mécanisme du marché et nous présenterons la réalité qui nous apprend qu’il existe d’autres comportements. Ensuite nous montrerons que le marché est censé créer l’abondance : nous dévoilerons ce que dit la théorie puis nous exposerons des contre-exemples qui ne sont pas pris en compte par les mécanismes du marché. I : Le prix sur le marché est censé déterminer le choix du consommateur Le consommateur est un agent économique

comme un être logique au comportement dicté par la raison et le calcul. Il n’agit pas de façon gratuite ou irraisonnée mais pour satisfaire des « besoins objectifs » ; c’est un être sage. En réalité il n’est ni totalement rationnel ni totalement irrationnel. Cf. : Pyramide de Maslow Les besoins « supérieurs », d’estime et d’accomplissement ne sont ressentis que lorsque les besoins « inférieurs » sont comblés. Le besoin oriente l’individu vers tout ce qui peut le satisfaire. Connaître les besoins

décision est dictée par la nécessite et le hasard. Exemple : Bouygues SFR avec FREE. Cette approche couple donc un processus rationnel avec des évènements irrationnels. Fez va plus loin en estimant que toute les décisions sont irrationnelles mais qu’elles le deviennent une fois réalisées. Exemple, le lancement de voitures en Inde semblais irrationnel dans la théorie classique mais ce comprennent parfaitement dans le modelé de la poubelle. II. Les facteurs d’influence de la direction des entreprises

l'électeur rationnel ou consommateur, sont autant d'appellations pour exprimer cette réalité. Toutefois, la rationalité de vote semble être un concept particulièrement ambigu ou polysémique : la rationalité doit-elle être comprise comme la simple capacité de calcul coût/avantage et donc être réduite à un aspect d'ordre économique ? ou bien peut-on imaginer d'autres formes de rationalité, plus complexe, faisant intervenir des éléments plus subjectifs ou à première vue irrationnels (la personnalité d'un