Le Conte Moyen Pour Se Divertir

|LES FABLIAUX | | | |Littérature française du Moyen Âge | | | |28/11/2012 | |

travers ce devoir, nous allons donc voir si les romans ont juste comme fonction de divertir ou d'enrichir l'intelligence, la culture d'une personne. Dans un premier temps, nous étudierons l'aspect divertissant du roman, pour deuxièmement étudier le roman sous sa forme sérieuse et importante. Pour finir, nous étudierons le roman où il est à la fois sérieux en étant divertissant. Pour les romanciers, divertir les lecteurs est un des objectifs du roman. Un roman dit divertissant regroupe plusieurs

prise de Constantinople par les Turcs pousse les intellectuels et les savants à quitter l’empire grec d’orient pour l’Italie, en emportant avec eux des manuscrits grecs et latins. Cela favorisera la redécouverte des auteurs antiques. En effet, au Moyen-âge, ces auteurs étaient uniquement abordés pour y retrouver les principes chrétiens et leurs ouvrages étaient donc adaptés et commentés par les clercs de l’Église. Au moment de la Renaissance, on « nettoie » donc ces livres de tous ces commentaires

Raconter une histoire peut être un bon moyen de convaincre mais il y en a beaucoup d’ autres. Mais existe-t-il d’ autres moyens de convaincre ? Tout d’ abord on va montrer si une histoire est un moyen de convaincre, et apres on va chercher d autres moyen de convaincre. On arrive à convaincre de plusieurs façons différentes, mais raconter une histoire est un des méthodes les plus utilisés et

l’Antiquité ? Si la littérature, par la mise en forme et le travail sur le langage qu’elle implique, est un support privilégié pour explorer en profondeur les questions relatives à la condition de l’homme, c’est que les écrivains disposent de formes et de moyens extrêmement variés pour le faire. [Annonce des axes] L’argumentation directe, plus propre à convaincre [I], tient sa force de ressources différentes de celles l’argumentation indirecte, plus propre à persuader [II]. Ainsi la puissance des œuvres littéraires

pérennité que grâce, d’une part à la richesse et à la variété des contes merveilleux (les mille et une nuits’, les contes des frères Grimm, Le Compagnon… ) qui la composent et d’autre part aux conteurs qui exercent leur art , acquis sur le tas, pour divertir, amuser et surtout retenir l’attention de leur auditoire. La presse écrite, la radio, la télévision et, plus récemment Internet, malgré la sophistication de leurs supports, n’atteignent pas l’esprit et le cœur des gens avec le même degré

lumière Ex : en tant que consommateur, c’est l’émotion qui nous interpelle avant le reste. Au 18ème siècle, il y avait un important bouillonnement de disciplines. Les disciplines n’étaient pas cloisonné comme aujourd’hui. Candide ? Voltaire > Conte philosophique Marquis de Sade > Sadisme Aline et Valcour ou le roman philosophique Le cloisonnement des disciplines n’avait pas lieux d’être et tout était sujet à questionnement. Il N’y avait pas de limite au questionnement, ni à l’esprit. L’interrogation

et la corruption des mœurs. Le mythe du bon sauvage repose sur cette idée de pureté primitive. D’autres part, les philosophes des Lumières souhaitent remettre en question différentes tendances de l’époque. Ce fait est illustré par L’Ingénu, conte philosophique écrit par Voltaire et publié en 1747, qui raconte les aventures d’un Huron. Arrivé en France ce dernier porte un regard innocent sur notre civilisation et amoureux, se retrouve confronté à des plusieurs difficultés face au pouvoir religieux

pour convaincre ou persuader le lecteur. Généralement, les auteurs utilisent l’argumentation directe pour convaincre et persuadent à travers les œuvres de fiction, donc l’argumentation indirecte. Nous verrons que les œuvres de fictions sont un bon moyen de persuader (parfois même de convaincre) mais que l’argumentation directe est plus efficace. Nous allons étudier au travers de plusieurs exemples de quelle manière les œuvres de fictions permettent de convaincre ou persuader le lecteur. En général

Cependant, aux XIIème et XIIIème siècles, on appelle aussi "romans" des textes qui n'en sont pas tout à fait (Roman de Brut, Roman de la Rose, Roman de Renart), tandis que l'on continue de trouver en concurrence, pour désigner le genre romanesque, le mot "conte", qui en ancien français a le sens général de récit. En tout état de cause, le XIIème siècle est celui de l'invention du genre romanesque en langue française. Il voit fleurir des romans d'une grande diversité thématique, mais qui tous sont des romans