Le Contraire De L Absolutisme

pouvoir impériale se re^mos sur l’Europe orientale ET RESTAURE LE Principe de l’hérédité. Au sein du règne de la maison des Habsbourg, on passe par différentes grandes lignes politiques : La recherche/restauration de l’unité. Centralisation d’un absolutisme d’une autorité impériale Politique de réformes impériales L’autorité de l’empereur habsbourgeois est totalement effacée. Certains territoires en dehors de l’Autriche, relève encore de la justice de l’empereur qui connait de tous les grands litiges

officis ». Il reprend les principes de l’équilibre dégagés par Polybe en assignant comme objectif à l’organisation politique le maintient de la situation existante, pour y parvenir il pose les bases d’une théorie du juste milieu rejetant les excès contraires et faisant reposer la direction des affaires publics sur l’auctoritas (autorité politique fondé sur la vertu la tradition et la morale) B_ La pensée politique Cette période est marquée par deux faits: Le recul de la pensée politique et le

saison s’avèrent fondatrices d’un genre dramatique et matrices de l’œuvre moliéresque. Elles s’inscrivent à la croisée des âges : en leur sein se joue, à des degrés divers, la guerre des ordres (et des désordres) qui écartèle le siècle. Pouvoir : Absolutisme contre Fronde aristocratique Au plan politique, deux ordres s’affrontent, normalisation absolutiste contre fronde aristocratique. Baptisée dans les eaux lustrales de la monarchie française, une logique multiséculaire de centralisation de l’État

Richard est vaincu et tué à Wakefield (1460). Mais, 4 mois plus tard, la victoire de Towton (mars 1461), remportée par Warwick, donnait la couronne au fils de Richard, Édouard IV. À sa mort, son frère lui succède sous le nom de Richard III. Mais son absolutisme sanguinaire est fatal à la cause yorkiste. La défaite et la mort de Richard III à Bosworth font monter sur le trône le dernier héritier des Lancastres, Henri Tudor (1485), qui va régner sous le nom de Henri VII. Guerre de 100 ans Conflit

17e siècle: L'histoire prends aussi le jugement de véracité Réflexions par rapport aux institutions (pouvoir, justice et religion) - Elargissement des sources - Textes religieux soumis à la philologie - Aide de scientifiques 2 obstacles : absolutisme Royal et raidissement de l’Eglise (ébranlement de leurs principes) Bella diplomatica: polémiques autour de l’autenicité de chartes contenant les privilèges des villes. > Diplomatique étude des documents officiels. ! Hypercritique: doute excessif

le vassal et le suzerain et l’autorité sur les Hommes est liée à la propriété des terres et se transmet avec celle-ci. Le régime féodal consacre donc l’appropriation privé avec le pouvoir politique. Le droit privé et public y sont confondus. Au contraire, dans la société politique moderne, le pouvoir n’est plus un objet de propriété. Entre les individus qui gouvernent et ceux qui sont gouvernés s’intercale une institution, une personne morale que l’on nomme l’Etat. Les gouvernants ne sont que les

destination? L'effet principal est la soumission au régime juridique des immeubles de ce meuble par nature considéré fictivement comme un immeuble par destination. Lorsque l'immeuble par nature fait l'objet d'une vente, cela emporte, sauf convention contraire, la vente des immeubles par destination. → Pour les meubles : meubles par nature : catégorie très hétérogène et vaste meubles incorporels : catégorie très vaste. Il ya les droits réels qui portent sur un meuble corporel. Tout les droits de

(p39). -Les régimes politiques libéraux : - Le libéralisme d’un régime se reconnaît d’abord à l’existence d’une constitution (contrat qui fixe relation entre pouvoirs) > pensée libérale juridique. – Constitutions veulent limiter le pouvoir =/ absolutisme mais pas de la monarchie, deux chambres pour équilibre des pouvoirs. Le libéralisme n’adopte pas le suffrage universel : suffrage censitaire, 300 F de cens > on peut voter, on attribue à une certaine catégorie le droit de vote, donc pas définitif

an, ou Louis Napoléon est prince-régent, il se fait sacrer empereur le 2 décembre 1852, et devient Napoléon III. Le Second empire montre la force qu’on pris les acquis révolutionnaires chez les Français, qui ne peuvent envisager la retour à un absolutisme. Pierre Rosanvallon décrit le Second Empire comme une démocratie illibérale. En effet, malgré le fait qu’il y est un régime d’assemblée, il y a des candidats officiels, validés par le régime, et les députés doivent prêter serment à l’empereur. La

profit quelconque pour lui-même auquel l’autre ne pourrait prétendre aussi bien que lui. Le principe de l’égalité par nature des humains entre eux ne repose pas sur une observation empirique des facultés des uns et des autres. Il s’agit au contraire de l’affirmation de l’égalité selon un droit pas nature. Ce qui peut faire qu’on ne puisse croire à une telle égalité n’est que la vaine idée que chacun se fait de sa propre sagesse ; chacun se croyant supérieur aux autres, tous sont égaux