Le Contrôle Social Déviance

L'essaie de Robert K. Merton veut poser les bases d'une analyse des sources sociales et culturelles de la déviance en se demandant comment des structures sociales peuvent dans des cas déterminés, pousser certains individus à adopter un comportement déviant au lieu d'une conduite conformiste. Ceci en se basant sur le postulat que ce sont les situations sociales des individus, et non pas une question d'anormalité psychologique, qui les poussent à adopter des comportements déviants. Plus précisément

que nous en avons, Michel Foucault décrit une société dans laquelle les individus sont sous surveillance et sous le contrôle d’une grande hiérarchie afin de les conformer à un modèle. Tout cela relève de ceux qui possèdent le pouvoir. Dès lors quelle idée du pouvoir donne l’auteur dans ce texte ? Il le définit tout d’abord comme une puissance permettant que lutter contre les déviances des individus. Pour cela, il s’appuie sur le modèle de la peste. Puis il détaille les mécanismes utilisés par ce pouvoir

Question sur les Documents Document 2 p. 274 1. Le contrôle social sert à ce que le comportement des individus soit adapté aux attentes de la société. 2. Pour assurer le contrôle social, la société dispose de ressources qui peuvent être matérielles et symboliques. 3. Cette définition se distingue de la précédente car elle insiste sur la sanction des individus qui ne respecte pas le comportement attendu. Cette définition est donc davantage portée sur l’idée de répression. Les mots-clés sont

ce qui n'est pas "normal", ce qui n'appartient pas à la norme social. Ici, la norme est une manière de faire, de se comporter ou de penser. Elle est socialement définie et sanctionnée de façon implicite (idéo, valeur) et explicite (le droit, la loi). (=repère qui permet de comparer, d'évaluer et svt de juger.) Renvoie à la notion de déviance = conduite qui s'écarte des normes sociales. Par conséquent, on peut dire que la déviance ou la folie existe en raison d'une forme d'ethnocentrisme = tendance

articles. Howard Becker a été étudiant à l’université de Chicago dans les années 1940. Il a ainsi suivi les enseignement des maitres de l’Ecole de Chicago, notamment Everett Hughes, dont l’œuvre le marqua en particulier. Il a réuni autour de la revue Social Problems dont il devient le rédacteur en chef en 1961 plusieurs des sociologues américains hostiles au courant fonctionnaliste, alors dominant aux Etats-Unis (Erving Goffman, Aaron Cicourel…). Il est l’auteur de deux ouvrages Outsiders et Les

Etude de sociologie de la déviance, Paris, édition A. M Metailé, 1985 (première édition 1963). INTRODUCTION : Le domaine de la vie sociale étudié dans OUTSIDERS est désigné sous le terme de déviance ; sont qualifiés de déviant, au sens de la sociologie américaine, les comportements qui transgressent des normes acceptées par tel groupe ou telle institution. Cette recherche de BECKER constitue une étape importante du développement récent de la sociologie de la déviance, puisqu’elle élargit les

“Structure sociale, anomie et déviance.”Robert K. Merton [1910-2003] Sociologue américain (1965) [1970] “Structure sociale, anomie et déviance.” LES CLASSIQUES DES SCIENCES SOCIALES CHICOUTIMI, QUÉBEC http://classiques.uqac.ca/ http://classiques.uqac.ca/ Robert K. Merton, “Structure sociale, anomi et déviance.” (1965) [1970] 2 http://classiques.uqac.ca/ Les Classiques des sciences sociales est une bibliothèque numérique en libre accès, fondée au Cégep de Chicoutimi en 1993 et développée

Le contrôle social vise a assurer la conformité du comportement des individus aux normes prescrites par la société. Le contrôle social passe par des sanctions, il en existe deux types : la sanction formel, c'est-à-dire celle qui sont données par des institutions juridiques (amende, prison...) et la sanction informel, celle-ci concerne plus la stigmatisation (moquerie, mise à l'écart d'un groupe). On dit qu'une sanction est dissuasive si l'anticipation de la sanction suffit pour que l'individu renonce

Aucun acte n’est déviant ou délinquant par nature. Vendetta : venger la famille, devoir social, donc crime n’a pas tjrs été cons=idéré comme acte

Criminologie et Science Pénitentiaire Introduction : La criminologie englobe la psychologie du criminel, sa condition économique, son milieu social, sa physiologie etc. La science pénitentiaire va s’intéresser aux institutions de lutte contre le crime (les tribunaux, la police) Il existe un phénomène de fascination et de répulsion en même temps vis a vis du crime. Mais le crime est un phénomène exceptionnel. La criminologie provient du mot crime et ce mot, il faut le préciser, car