Le Corbusier Utopie

d’inspiration divisionniste ou fauve, parfois marquée par des sources d’un « langage pictural universel ». Entre 1912 et 1920, il mène progressivement naturelle à la réalité abstraite ». modulaires. opposition à une autre position ». pictural à une utopie sociale, spirituelle et poétique. De Stijl, Abstraction-Création, etc...) de particuliers). Au début du siècle, il peint régulièrement, dans une veine symboliste, Partant de l’analyse et de la décomposition de la forme, il aboutit à la plastique pure

s’oppose au courant architectural ou urbanistique de l’après guerre, le courant architectural moderniste, fonctionnaliste ou uniformiste international. Courant qui valorise la rationalité et l’utilité. Le grand architecte français de ce courant Le Corbusier (=barre de béton, bâtiments ou on met un max de personnes…) 1972 : échec de cette architecture moderniste jugée invivable. Or pour que la structure soit vivable il faut respecter l’histoire, la tradition et la culture de la ville. Le modernisme hante

pas si équitables qu’elles ne paraissent. L’économie produit de l’argent, mais ce sont pourtant ceux qui ont de l’argent qui contrôlent l’économie. Tant que l’Etat est détenant des pouvoirs, seuls les biens classés socialement en bénéficieront. Le Corbusier : « la première preuve de l’existence de l’individu c’est d’occuper l’espace ». L’Homme ainsi vit dans l’espace pour l’espace et avec les gens en partageant l’espace. L’espace est ainsi à l’image de l’Homme, et celui-ci se base sur l’utopie pour

Ses travaux avaient une portée mentale. Il intègre dans son projet l’esthétique du pittoresque. Il les présente dans un cadre de paysages. Lotissements Hostein : opération d’un type nouveau pour l ‘époque – apparition des sociétés immobilières. Utopies de Ledoux, filières de contraintes et la tradition classique= le jeu de figures géométriques simples à l’origine de l’architecture. Les propylés : de Paris et les 60 barrières de l’Octoi de l’enceinte des fermiers Généraux. Il rentre dans une logique

Dans la ville idéale à laquelle songent de nombreux acteurs (ingénieurs, planificateurs,...), les espaces verts ont des fonctions multiples (embellissement, hygiène, sociabilité). A l'époque, de nombreux hommes politiques vont s'inspirer de ces utopies et réaliser nombre de projets qui constituent le patrimoine naturel de la ville d'aujourd'hui. 1. Les planificateurs donnent aux espaces verts des fonctions hygiénistes et paysagères - Des espaces verts pour embellir la ville Le fort développement

en réaction contre la prédominance trop exclusive d'un individualisme de com­ pétition et d'un économisme destructeur"". L'urbanisme moderne leur apparaît comme ayant soutenu l'émergence d'un in­ dividu calculateur et rationnel. Ainsi, pour Le Corbusier, la base était l'unité d'habitat conçue comme un monastère avec ses cel­ lules et ses équipements collectifs internes, ou comme un paquebot avec ses cabines et ses services intérieurs. Dans ces bâtiments, des ensembles d'individus ou de familles

..................................................................................... 146 Le modèle naturaliste .............................................................................................................. 146 Objectivation des utopies dans des modèles ...................................................................... 148 viii Rémanence du paradigme albertien et caractère unitaire de l’urbanisme......................... 150 L’intégration des apports de Cerdà et de Sitte

coupole posée sur un tambour en colonnade circulaire. Parmi les architectes visionnaires du temps, Boullée et Chalgrin n’ont pu voir réaliser leur vastes programmes vu les défaites militaires. La mégalomanie architecturale correspondait bien aux utopies de Napoléon. Ils ont communiqués alors leur conception par leur talent graphique : * ETIENNE-LOUIS BOULLEE (1728-1799) : formation de peintre, auteur de compositions imaginaires publiés dans un traité inédit Architecture, essai sur l’art - PROJET

entrepris une analyse critique des grands récits de la modernité dans une confrontation rigoureuse des discours et des sources historiques. De nouvelles lectures apparaissent qui montrent une modernité vivante avec ses contradictions et ses écarts entre utopie et réalité. Pour exemple l’analyse du « décalage entre les intentions de la municipalité, la conduite du projet en temps de crise et le caractère de “laboratoire architectural” (…) », mais aussi du décalage entre des techniques pionnières et les

à l’individualisme car il le considère comme une source de déchirement et de schisme. Il privilégie le bien-être de la société tout entière. 2) L’île d’Utopie paru en 1516 de Thomas More (1480-1535) C’est la description d’une île appelée Utopie dont la communauté de biens et la démocratie sont les principes fondamentaux. Cette île est en fait une image idéalisée de l’Angleterre. Les villes sur cette île sont toutes identiques, tant sur le plan morphologique, de leur organisation sociale