Le Corps De La Femme Description

de pouvoir épouser l’épouse de celui-ci, Thérèse, se rend chaque jour à la morgue, afin de reconnaître le corps. Laurent, avec la complicité de Thérèse, a en effet, lors d’une promenade en barque à Saint-Ouen, poussé Camille dans l’eau, alors que celui-ci ne savait pas nager. Le corps du noyé n’a toujours pas été retrouvé et Laurent s’est engagé auprès de la mère du défunt de récupérer le corps. Nous verrons dans une première partie en quoi le réalisme de Zola est particulièrement expressif et saisissant

acteur de la disparition des corps qu'il transportera et brûlera, ainsi que de la cruauté inégalable des nazis. En 1945, il survit à la "Marche de la Mort" et est envoyé à Buchenwald. A Ebensee il sera libéré par l'armée américaine. Il meurt le 2 aout 1985 en France Les inaptes au travail Présentation : C’est une peinture de David Olère de 1,31 m sur 1,62 m. Réalisé dans les années 50, il est aujourd’hui exposé au Mémorial de l’héritage juif à New-York. Description : Au premier plan, six personnes

opposés par leur tempérament. Thérèse qui a pour mère une femme d’origine ‘’indigène’’ ce qui ramène à une tempérament solaire et nerveux. Elle détient au fond d’elle des pulsations sauvages et dynamiques qui sont étouffées intensément par l’éducation qu’elle reçut par Madame Raquin. Thérèse est une femme de nerfs. Tandis que Laurent est un homme de sang. Un homme au tempérament sanguin, ce qui le caractérise comme brute, selon la description du narrateur. Leurs tempéraments sont clairement imprégnés

sensibilité romantique européenne. Description : Sur un lit, une femme blonde vêtue d’une chemise blanche est étendue sur le dos, sa tête et ses bras tombant à la renverse. Est-elle morte ou simplement endormie ? Une forme qui ressemble à un nain est assise sur son ventre. Elle nous fixe avec ses yeux globuleux et son rictus. Deux rideaux encadrent le lit. Celui de gauche laisse passer la tête d’un cheval qui semble regarder la scène en ricanant. Le corps de la femme est posé sur deux couvertures, une

colère ou de l'enthousiasme. Le visage était d'ailleurs singulièrement flétri par les fatigues de l'âge, et plus encore par ces pensées qui creusent également l'âme et le corps. Les yeux n'avaient plus de cils, et à peine voyait-on quelques traces de sourcils au-dessus de leurs arcades saillantes. Mettez cette tête sur un corps fluet et débile(4), entourez-la d'une dentelle étincelante de blancheur et travaillée comme une truelle à poisson(5), jetez sur le pourpoint(6) noir du vieillard une lourde

Balzac | | I) Séance 1 : A quoi devons-nous nous attendre ? Un livre suscite en nous un certains nombres de pensées, d’hypothèse et d’intuition Cela commence par : • Le nom de l’auteur : BALZAC ( Récit réaliste avec beaucoup de descriptions • Le titre du livre : ( Incompréhension ( Personnage chef d’un groupe inquiétant ( Symbolique du nom de Ferragus : Fer = armes épée / gus • Dédicace : Hector Berlioz :

anadyomène » INTRODUCTION : - situation : sonnet qui est précisément daté du 27 juillet 1870, écrit lors du séjour de Rimbaud à Douai chez son ancien professeur Izambard. Ce poème a pour sujet le corps féminin mais notons que « Vénus anadyomène » fait suite à plusieurs poèmes qui explorait déjà la thématique de la femme comme « Ophélie » ou encore « Comédie en trois baisers ». Néanmoins la « Vénus anadyomène » fait entendre une discordance qui contraste fortement avec les deux poèmes que l’on vient de citer

mouvement pour changer les visions du monde autrement que par la photographie.III) Description : En bas au centre une nature morte (des fruits) posée sur un tissu. Dans ce tableau nous pouvons voir 5 femmes nues. A gauche, une femme de profil repoussant avec sa main unrideau. Au centre, deux femmes debout de face, les draps s'enroule autour des personnages. A droite, une femme debout de ¾ . En bas à droite une femme assise, elle présente à la fois son dos et sonvisage. Son nez est rabattu sur

Pour ce qui est du deuxième lien du contenu qui est l’expressivité et l’émotivité, je croie que non seulement le visage de la femme voilée est très expressif, mais tout son corps l’est. Sa position, surtout son poing dans les airs en signe de victoire montre qu’elle a gagner, qu’elle a réussi son but quel qu’il soit. C’est une sorte de pied de nez à tout ceux contre qui elle s’est rebellée. De plus, ces yeux, sont très expressifs voir même agressifs. Elle regarde droit dans les yeux du spectateur

horreurs de la guerre. Description : Il s’agit d’un tableau composé de couleurs monochromes (blanc, gris, noir) qui représente une scène intérieure où l’on voit différents animaux et personnages aux traits déformés Le centre est occupé par une lampe en forme d’un oeile il, qui domine toute la scène. Au-dessous, la silhouette d’un cheval, dont les violentes contorsions traduisent une immense frayeur. Au sol, le corps écartelé d’un soldat : au bout du bras, détaché du corps, la main tient encore