Le Corps Et L Espace Chez Merleau Ponty

textes écrits par des écrivaines marocaines. Cela est lié essentiellement à la liberté d’expression qui commence à se mettre en place lentement à travers la presse écrite et audio-visuelle. D’ailleurs, cette libre expression est tellement présente chez les romancières marocaines francophones à partir de leur influence tant réelle que fictionnelle par la revue ’’Souffles’’ même si elle reste inexistante. Mais : « Si aujourd’hui, l’impact social de ‘’Souffles’’ est presque inexistant, il n’en est pas

chercher et réfléchir sur les raisons de ce lien entre création et commencement. Mais cette initiation en elle-même n'est pas créative si elle ne conduit pas vers un ailleurs, si elle n'ouvre pas sur un espace qui est. Dans un second moment, nous verrons donc en quoi l'artistique ouvre, crée un espace et peut s'entendre comme création en ce sens. Cependant, il n'y a de création par excellence que celle qui conduit elle-même à d'autre créations, une création de vie. Nous nous demanderons donc en dernier

nécessaire chez un homme c’est qu’il demeure une substance pensante : ce qui subsiste nécessairement sous les accidents contingents ( x suit un cours de philo et porte tel tee-shirt…) Peut on dire que l’ADN détermine l’identité d’un individu ? (non car il peut changer)  Comment comprendre un traumatisme crânien quand la personne ne sait plus qui elle est ? La conscience est indépendante du corps, vérité métaphysique : ce qui est au-delà de la physique / substance corporelle : corps, matière,

pas juif ?). C. La médiation comme processus entre le réel et le symbolique. C'est un refoulement du réel (qui ne se partage pas) pour accéder au symbolique (qui lui se partage) afin d'être intégré dans un groupe. Le réel est lié intimement au corps. Si on s'oublie, si on oublie les intérêts particuliers pour une collectivité, on peut échanger sa place et se mettre à celle de l'autre. On peut appréhender l'intérêt commun. C'est donc un processus (la médiation) qui assure le lien du niveau individuel

des passions, dite tensive, atteignant sa formalisation au début des années 1990, a pour socle les préconditions phénoménologiques de l’apparition du sens et vise d’autres zones de signification impliquant notamment l’affect, la proprioception et le corps. Il s’agit d’une voix sémiotique parallèle, moins imprégnée de l’esprit cartésien que vouée à saisir l’évolution des grandeurs labiles en tant que problématiques associées à l’/être/ (Broden, 1995: 233). L’intuition d’A.J. Greimas est à la base de

inventant sa propre fin de l'histoire, en rajoutant des personnages, des événements, et des éléments dans le cadre où se déroule l'histoire. Avec ce film, il a aussi cherché à « faire ressentir que c'est « naturel » »7, et montrer un autre apport au corps, avec la représentation de la nudité, qui n'est pas naturelle de la France en XVIIIème siècle, à l'inverse dans la civilisation occidentale d'aujourd'hui. Dans le cas de l'adaptation, le choix d'une technique plastique et de la création d'un univers

humaine, considérée dans sa finitude. Pour-soi : adjectif : se dit de la manière d'exister de l'être conscient, se représentant lui-même : chez Sartre, se dit de la manière d'exister de l'être conscient ne coïncidant pas avec lui-même. Nom : 1) par opposition à l'être en soi, caractère de l'être qui a conscience de son existence ; 2) existentialisme : chez Sartre, tout particulièrement, manière d'être de l'existant humain, secrétant du néant et ne pouvant coïncider avec lui-même. Temporalité :

et est souvent prononcée de manière irréfléchie sans passer par la médiation : réflexion, dialogue, critique. Elle repose sur nos impressions et est donc nécessairement subjective 3. La réalité nous apparaît à travers un prisme perceptif : Espace-temps, Education/culture, facultés mentales, désirs/besoins, émotions etc. 4. Les préjugés jouent le rôle d’un ciment social, ils facilitent le jugement et l’action (catégorisation), ils permettent de mettre à l’écart la différence jugée dangereuse

puisqu’elle inhibe sans cesse ses instincts. De plus, la société apprend à l’homme à suivre des règles, ce qui fait que toute spontanéité y est brimée. La société est donc un phénomène culturel qui transforme la nature de l’homme. Elle va même opérer le corps de l’homme, en définissant elle-même ce qui est convenable ou non dans ce domaine, sous la forme des attitudes pudiques. Dans les sociétés humaines, le droit est donc omniprésent, sous forme de règles, de règlements, qui sont autant de bornes non

banlieue de Dublin en 1906, dans l’Irlande catholique. D’une famille protestante de la petite bourgeoisie aisée, il reçoit une éducation puritaine, nourrie de lectures de la Bible, qui développe chez lui une hantise du péché et de la culpabilité, autant qu’un dégoût profond pour tout ce qui touche le corps. Brillant élève, doué pour les langues (il apprend le français, l’italien, l’allemand), il découvre dès l’adolescence Pétrarque, l’Arioste, Dante, Descartes, Racine, Corneille, mais aussi des