Le Couple Dom Juan Sganarelle

d’objets d’étude librement déterminés par le professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille

différents couples tels qu'il se manifeste au théatre Adjuvant/opposant: mobile, peut devenir l'un ou l'autre ou être les deux. Il peut être ambiguë par rapport au sujet, comme Sganarel dans Molière. Dest/dest: Les plus ambiguë, ce sont rarement des personnages, mais souvent des motivation qui détermine le sujet comme la cité. Texte 11, oedipe roi. Dans le Cid, il s'agit de la féodalité et du père de Rodrigue. Parfois, il n'y a pas de destinateur: Qu'est ce qui fait courir Dom Juan ? L'absence

les questions rhétoriques lignes 91 à 99, les affirmations fortes aux mêmes lignes et dans celles qui suivent jusqu'à la ligne 112 qui clôt la réplique par une tournure hyperbolique:" je me percerai le coeur de mille coups"); il prend à témoin Sganarelle et le Ciel (le recours au Ciel fait de cette rencontre un décret divin auquel il faut obéir, il sert également d'intimidation >crainte de Charlotte ligne 128) -l'éloquence démonstrative (l.69 à 79: flot de paroles, suite de propositions - "et"

comte Almaviva) - Cette Espagne est plus folklorique que réaliste (stéréotype de la guitare) - Le respect d’une tradition de fidélité : tout comme Le Cid de Corneille, Ruyblas de Victor Hugo et Dom Juan de Molière, la pièce de Beaumarchais se déroule en Espagne. Quoi ? Une intrigue galante et amoureuse - On retrouve la Précaution inutile inspirée

-> mise en relief d'événements importants -> rupture totale avec le passé " on me met un jour dans la rue ", " je reprends ma trousse et mon cuir anglais " 2. Mise en scène et cette alternance récit - discours Les passages de discours sont couplés avec la position levée : " (Il se lève) Que je voudrais bien tenir un de ses puissants de quatre jours… " " (Il se lève en s'échauffant) On se débat ; c'est vous, c'est lui, c'est moi… " -> Cette gestuelle permet de combattre la monotonie d'un

l’exécution du couple Rosemberg. On pense aussi à la pièce de Brecht La Bonne âme de Sé Tchouan qui montre la cruauté du double de Shen té, Shui ta, double que cette commerçante se crée pour échapper à l’égoïsme des gens qui abusent de cette bonne âme. Dans cette pièce Shui Ta est odieux et incarne ce que l’homme a de mauvais : l’égoïsme, l’amour de l’argent, la propension au capitalisme. En outre sur le plan social, il y a de nombreuses pièces qui montrent les travers de l’homme. On pense à Dom Juan et à

= Ces deux personnages représentent l’émancipation sociale de la Haute société sous la Régence.Renoncour : C’est l’Homme de qualité qui retrace l’histoire de Des Grieux Tous les autres personnages contribuent à exclure le couple de l’ordre moralTiberge : représente l’ordre morale et en particulier l’ordre religieux. Son pardon peut symboliser le pardon divin qui s’applique malgré toutes les erreurs. Généreux et bienveillant, il croit en le triomphe de

son neveu, de mettre en scène une petite comédie à l’impromptu pour célébrer l’événement, mais ce en cachette de Madame Argante, la mère de la promise. Pour ce faire, Merlin engage son amante, Lisette, et un autre couple de valets, Colette et Blaise. Il leur propose un canevas où les couples sont bouleversés, où lui-même et Colette jouent les amoureux aux dépens et au dépit de Lisette et Blaise dont ils veulent en fait mettre l’amour à l’épreuve. Jusqu’à la scène IV, les répétitions avancent, mais elles

débauche florentine La pièce s'ouvre sur un duo, le duc Alexandre de Médicis, qui règne sur Florence, et son cousin Lorenzo, qui se présente ici tout d'abord comme un complice, voire un valet. Ce dialogue peut tout d'abord évoquer le traditionnel couple maître-valet omniprésent dans la théâtre français. Pourtant rapidement le volume respectif des répliques, le niveau de langue et les thèmes abordés indiquent que cette hiérarchie ne tient pas : le duc jure « entrailles du pape », « sacrebleu », parle

Éducation l’envers, veut la diriger vers un autre chemin, la pervertir. Le libertinage Se comprend dans une société aux règles morales fortes, car c’est pour se lever contre l’autorité. Dom juan: « Grand seigneur, méchant homme » et Sganarelle Valmont et son valet ici complice de son maître Mais différence car Valmont se sent bien a la campagne(lieu clos, serviteur plus libre en ville -Triomphe du libertin mis en évidence dans la lettre 81 : Merteuil montre