Le Courant Monétariste

doit pas hésiter à mettre son budget en déficit volontairement. Ceci permet de générer plus de production ce qui va ramener de nouveau à l’équilibre du budget. Section 4 : Les monétaristes La pensée Keynésienne devient la pensée dominante des économies d’Etat. En opposition à celle-ci se développent les monétaristes qui critiquent cette théorie, notamment dans l’université de Chicago, qui regroupe des économistes qui voudraient renouer avec la théorie classique (Smith). Le chef de file de

généraux. 6.5 Le Courant Socialiste Courant réformiste : Ils acceptent le système et veulent le reformer. Le Courant Socialiste : Ils n’acceptent pas le système. Ils différencient le courant associatif (= un monde heureux, s’entre aide, partage … sans argent), le courant technocratique (=les gouvernants politiques, n’arrivent pas à faire fonctionner la société, il faut laisser ce pouvoir à ceux qui en sont capable et qui sont dans cette « activité »), le courant anarchiste (= on autorise

théories. Ainsi, pour pouvoir traiter ce thème, on va déceler dans un premier temps la nature des théories monétaires dérivées de l’école classique. Conséquemment, dans un deuxième temps on va repérer le fondement de la théorie keynésienne et ses courants dominants aujourd’hui. I. Les théories monétaires dérivées de l’école classique Une théorie ancienne qui a joué un rôle très important dans le développement de l’analyse économique d’aujourd’hui, c’est la théorie quantitative de la monnaie. I

pas dans l’éco (ex DTS, ECU) : ne mesurent pas la valeur des biens ni l’intermédiaire aux échanges : pas un instrument d’échanges II – POURQUOI DEMANDER DE LA MONNAIE ? 3 théories s’opposent : 5. Selon les grands courants de pensée (libéraux, keynésiens, monétaristes), la monnaie influence-t-elle l’économie ou son rôle est-il simplement de réguler et de faciliter les échanges ? Libéraux : SMITH-SAY : la monnaie est neutre, elle n’a aucune incidence sur l’éco réelle. Le domaine monétaire

Espagne) appliquent la décision. Les banques commerciales vont donc répercuter cette baisse. II. Quelles politiques monétaires appliquées par la BCE ? A. La politique monétariste de la BCE La politique monétaire de la BCE est conforme à la théorie monétariste. La pratique de la BCE est légitimée par un courant de pensée (les théories quantitatives de la monnaie) faisant de l’inflation un phénomène d’origine monétaire. Analyse de Jean-Baptiste SAY (1903), de John Stuart Mil 1948, Milton

par une autre grande figure du néolibéralisme : Friedrich Von Hayek. Ce « club » a pour vocation de dénoncer les effets pervers des politiques interventionnistes tout en prônant un ultralibéralisme. Friedman va devenir la principale figure du courant monétariste et le chef de file de l'université de Chicago dont il fera un « bastion anti-keynésien ». Une première opposition à la pensée keynésienne portera sur l'interprétation de la crise de 1929. Là où Keynes voyait l'insuffisance de la demande effective

la monnaie centrale à la disposition des banques commerciales, la Banque Centrale joue bien un rôle dans la création monétaire, mais elle n'est pas pour autant à l'origine de la monnaie scripturale existante, celle que l'on trouve sur les comptes courants des clients. La monnaie dématérialisée relève donc d'un processus de création propre aux banques commerciales, et sans ce processus cette monnaie n'existerait pas. Créer de la monnaie est très facile pour une banque commerciale, car cette opération

Auteurs économistes et leurs concepts -Adam SMITH (GB, Écosse) (1723-1790). Fondateur du courant classique 1776. "Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations" Cet auteur est très important car il inspirera la science économique avec son livre-clé "Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations" (1776). Il y montre notamment que l'égoïsme individuel peut mener à l'harmonie collective. C'est la "main invisible" de la concurrence qui permet de s'assurer que

d’Irving Fisher 4 c. L’analyse de l’école de Cambridge 5 II. L’ANALYSE KEYNESIENNE : Monnaie active 6 1. Le motif de transaction 6 2. Le motif de précaution 6 3. Le motif de spéculation 7 III. REACTIONS AUX ANALYSES KEYNESIENNES 9 A. L’ANALYSE DES MONETARISTES 9 B. LES NOUVEAUX CLASSIQUES 12 1) Les hypothèses des nouveaux classiques 12 2) La politique monétaire des nouveaux classiques 14 C. L’ECONOMIE DE L’OFFRE 14 CONCLUSION 15 BIBLIOGRAPHIE 15 INTRODUCTION Peut-on utiliser la monnaie pour stimuler

riches (ceux qui ont le plus de monnaie) le sont du fait de l'endettement de tous les autres agents . Mais toute la monnaie créée ne reste pas sous la forme de dépôt à vue, un partie des dépôts va être transformé en billet pour les transactions courantes. De même les banques sont obligés d'avoir un compte auprès de la BF et d'y maintenir un certain montant de leur liquidité il s'agit des réserves obligatoires qui est fixé par la loi. Cela veut dire que les banques doivent tenir compte des billets