Le Courant Monétariste

LES COURANTS DE PENSEE ECONOMIQUE - EVOLUTION ET SITUATION ACTUELLE - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - I. HISTORIQUE DES DIFFERENTS COURANTS DE PENSEE 1) Le mercantilisme Le mercantilisme regroupe un ensemble d’auteurs espagnols, italiens, français et anglais qui, au cours des XVIe et XVIIe siècles, élaborent des règles de politique économique ayant pour but essentiel d’affirmer la puissance nationale ayant marqué cette époque dans les domaines économique, institutionnel et culturel

que la plus  importante partie des dépenses de consommation n'est pas reliée au revenu courant,  comme le croit Keynes, mais à sa composante principale appelée revenu permanent, qui est le revenu sur lequel comptent  à long terme les individus et qu'ils considèrent comme normal et habituel. Il en  déduit que la demande de monnaie est plus  stable que ce que pensent les keynésiens.   2. La croisade monétariste Sa renommée mondiale, Friedman la doit  surtout à l'actualisation de la théorie  quantitative

cadre que le SEBC, Système Européen de Banques Centrales, se fixe comme objectif principal de maintenir dans la zone euro une croissance de l’indice des prix à la consommation « au dessous mais proche de 2 %[1] ». Rappelons que dans une vision monétariste de l’économie, il s’en assure en surveillant les agrégats monétaires, en contrôlant la masse monétaire et en définissant des taux d’intérêt directeurs ; et le pacte de stabilité monétaire (déficit inférieur à 3% du PIB, 60% pour la dette) participe

du mercantilisme due aux taux exorbitant des actions ruinant tous les actionnaires et chute démographique. Ere des physiocrates Mi 18ème fin 18ème Libéralisme économique (pas d’intervention de l’Etat ) Liberté de commerce, laisser faire le courant économique par le travail mais le monarque est tout de tout sollicité afin de faire régner cet ordre naturel (auxquels il est lui-même soumis) Physiocratie gouvernement par la nature (Quesnay) Divise la société en trois classes et deux secteurs

de côté la théorie monétariste. Les taux d'intérêt Taux longs auxquels les états se financent (obligations à long terme). Les taux courts administrés avec des taux d'intérêts très bas fixés par les banques centrales aux banques commerciales. Les taux courts interbancaires (libres mais très liés). Les marchés gagnent sur le vole, on gagne sur l'écart type. On joue sur des couples de monnaies. Des couples ne sont pas rentables quand des pays font des politiques monétaristes (Angleterre, Suisse)

keynésienne a été élaborée dans las années 1930 puis mise en pratique à la sortie de la seconde guerre mondiale. Mais au moment de l’entrée en crise des économies dans les années 1960, de nombreux courants critiques se sont formés. On constate donc un renouvellement de la pensée Néo-classiques avec plusieurs courants et un renouvellement de la pensée keynésienne. Le renouvellement des pensées Néo-classique : Tout d’abord, selon les théoriciens de l’offre, les politiques keynésiennes sont

Chapitre 1.2. Histoire de la pensée économique Modifié le : 21/10/07 Section 1 Le courant fondateur des classiques Section 2 Les grands courants de la pensée économique contemporaine (néoclassique, keynésien, marxiste) Section3 Repérage des orientations théoriques récentes Section 4 Analyse des divergences et des convergences Prolégomènes : quelques définitions de base I. L’économie Économie signifie en grec les règles (nomos) de la maison (oikos). Elle s’intéresse aux

CHAPITRE II : BESOINS, BIENS, RARETE ET GRANDS COURANTS DE PENSEE ECONOMIQUE INTRODUCTION I. NOTIONS DE BESOINS, BIENS ET RARETE I. NOTIONS DE BESOINS, BIENS ET RARETE I. NOTIONS DE BESOINS, BIENS ET RARETE Le bien de consommation intermédiaire est un bien non durable qui entre dans la fabrication de biens destinés généralement destinés à la vente. Exemple : lait, farine, beurre. Par contre, le bien de consommation finale est un bien est un bien durable ou non durable destiné à la satisfaction

leur contenu. Le Document de travail paraît chaque fois que des travaux sont reçus à la direction du Centre. 3 Table des matières Résumé Introduction 1. L’inflation dans la théorie économique. 1.2 Inflation et masse monétaire L’approche monétariste L’approche keynésienne L’approche des nouveaux classiques 1.2 Seigneuriage, gestion de la monnaie et inflation 1.3 Ouverture économique, chocs externes et inflation 1.4. Chocs d’offre, l’écart de production et inflation 2. Gestion de la monnaie

les keynésiens, en revanche, les agents peuvent vouloir de l'argent pour ellemême. La demande de monnaie dépend tout d'abord du niveau de revenu courant. Comme les classiques, les keynésiens admettent que les agents détiennent de la monnaie pour effectuer leurs transactions. La demande de monnaie de transaction est une fonction croissante du revenu courant. Keynes distingue pour cela trois motif de demande de monnaie de transaction : motif revenu. motif d'entreprise. motif de précaution. Mais