Le Cri Du

Le travail finalEdvard Münch Sommaire Biographie 3 L’enfant malade 5 Inger au bord de l'eau 7 La voix 9 Vampire 11 Madonna 14 Le cri 17 La danse de la vie 20 Conclusion 21 Bibliographie 22 Biographie "J'étais au bord de la folie. Il ne s'en fallait plus que de très peu." E.M. Né en Norvège. De son enfance, Edvard Münch retiendra surtout la maladie et la mort qui endeuillèrent sa famille, puisqu’il est à peine âgé de cinq ans lorsque sa mère et sa sœur décèdent des

-Lyrisme exagéré lorsq P parle de l'amour, "perle si rare" Amour intense des personnages qui laissent place à un cri. Témoin caché, quiproquo amusant, mais les personnages ont joué trop longtemps, la scène bascule dans le registre tragique,drame. La comédie est à l'origine de la tragédie. Cri, élément perturbateur coincidant avec le baiser des jeunes gens. "Il l'embrasse, on entend un grand cri derrière l'autel". 2) le rythme de la scène bascule dans le registre tragique. Musset utilise les règles de

Comprendre un écrit. ( J’avais encore dix ans. Un soir vers six heures, je me promenais un jour avec mon frère dans les bois. Le ciel était bleu et un silence total régnait dans cet endroit. Soudain, nous entendîmes un cri horrible. Je sursautai et me tournai vers l’origine du cri. J’avais la chair de poule et mon cœur battait très fort. D’abord, je ne vis rien. J e m’approchais doucement et j’entendais une voix sourde qui appelait à l’aide: « Au secours! Aidez-moi! ». Alors, j’aperçus un grand

le petit visage » (l37) • L52 à 70 Rieux partage la souffrance. Par le toucher, il cherche à transmettre sa force à l’enfant Imparfait de répétition « vide » = inutilité • L71 à 105 Les souffrances se matérialisent par le cri. C’est le point le plus insoutenable parce que la douleur se sent. 1. Decrescendo Tout s’arrête brusquement. « les autres malades se turent » l106 Le « mais » (l106) montre l’opposition, la rupture. Euphémismes : «

frappante de la chose dont on veut donner l'idée grâce à : •Une évocation à syntagmes nominaux juxtaposés offrant au regard une succession d’images expressives « terre embarrassée, rognée, réduite », « ville trébuchée ». Une emphase hyperbolique d’un cri épique de l’émotion. •Le jeu sur les énumérations et la typographie du poème, apparenté au poème en prose créent un rythme inhabituel qui procède par éruptions successives, les unes brèves, les autres prolongées. •Les scènes évoquées en appellent

d'autosatisfaction : « Ils ont leur conscience pour eux. » Daumal conclut sur l'inefficacité du poète, qui écrit trop tard pour lui et pour les autres et se trouve condamné. Il traduit son échec par l'allégorie finale : « Au-dessus de sa tête tourne son dernier cri, qui n'a personne où se poser. » Travaux d'écriture Sujet 1 : commentaire de texte Introduction Après avoir brièvement fréquenté les surréalistes, Daumal fonda le mouvement poétique Le Grand Jeu. L'écrivain est mort de tuberculose en 1944, à l'âge

campagne ». Survient une barque supportant quatre lesbiennes, qui suscitent des réactions enthousiastes de la foule :  « Un cri partit de la Grenouillère : « V’là Lesbos ! » et, tout à coup, ce fut une clameur furieuse ; une bousculade effrayante eut lieu ; les verres tombaient ; on montait sur les tables ; tous, dans un délire de bruit, vociféraient : « Lesbos ! Lesbos ! Lesbos ! » Le cri roulait, devenait indistinct, ne formait plus qu’une sorte de hurlement effroyable, puis, soudain, il semblait s’élancer

plus à faire passer de message « gosier » (= voix) métonymie « sa voix » = ma voix > il parle de son âme à distance personnification > cloche = poète > son = poème = message comparaison cloche = soldat = poète chant ǂ cri « son cri », « gosier », assonance en [i] « fidèlement son cri religieux » aspect spirituel « bienheureuse », « religieux », « fidèlement » cloche = âme du poète « cloche fêlée » > « âme fêlée » affaiblissement du son de la cloche = agonie du poète 2. Spleen : Nostalgie &

volaient, tournoyaient et l’ombre semblait prendre une place plus grande. Je me rappelle avoir entendu un cri, un cri effroyable. Quand soudainement le silence avait remplacé le bruit. L’ombre qui m’avait apparu plus humaine les minutes auparavant avait laisser place à une silhouette plus large et plus petite, plus animal. Quand la silhouette m’avait apparue plus nette et j’avais laissé échapper un cri de stupeur, elle avait comme disparu. Et dès lors, chaque nuit, sous cet arbre, si on regardait avec

humain. C’est à travers de deux postures helléniste, grecques que Meursault le trouve : le stoïcisme et l’épicurisme. Enfin on ara pris compte du lyrisme très efficace du dernier mouvement d’autant plus touchant qu’il est le dernier cri d’un homme, cri paradoxal (cri d’amour et de vie) Dans ses Carnet, Camus écrit «  la mort ! À continuer ainsi je finirais bien par mourir heureux ». C’est ce même paradoxe que l’on retrouve dans l’épilogue, ainsi qu’un autre présent dans les carnets « pessimiste