Le crime était presque parfait

comme idéale. Montrez-le. Le début du texte donne une image idéale de l’amitié qui unit les deux garçons : superlatif (« le meilleur ami de ma vie ») ; enfance et épreuves partagées dans une entente presque parfaite (« nous nous diputions très rarement »). Cette amitié idéale les amène à une entreprise presque chevaleresque : « identifier ceux qui dénoncent et battent » le père de Luo afin de « se venger d’eux » plus tard. b. Le geste de Luo est brutal et inattendu. Précisez comment vous pouvez l’expliquer

afin de montrer qu’une passion peut mener à un crime qui tue cette passion. Jacques Lantier, mécanicien de locomotive est le principal protagoniste de l’histoire. Il éprouve beaucoup de plaisir dans son travail, en compagnie de son ami Pécqueux, conducteur d’une locomotive baptisée la Lison. Mais Jacques Lantier rencontra Séverine dont le mari Roubaud, chef de gare au Havre vient d’assassiner Grandmorin, le parrain de la jeune femme car elle était devenue sa maîtresse. Ne pouvant tuer Roubaud,

 à la science­fiction pure et dure  de type dystopique dans  la lignée d’œuvres telles  que 1984 (1948) de George  Orwell, Le meilleur des  mondes (1932) d’Aldous  Huxley ou de Fahrenheit 451  (1953)  de Ray Bradbury. Ira Levin nous décrit  donc  un  monde  parfait  qui  très  vite  s’avérera  pas  si  parfait   que  cela,  et  même  totalement inhumain.  L’individualité  de  chacun  est  inhibée,  et  cela  grâce  à  des  traitements  faits  à  base  de  dépresseurs. Et  comme  chacun  ne  peut  plus  s’exprimer,  il  ne  reste 

dans  la  lignée  d’œuvres  telles  que  1984  (1948)  de  George  Orwell,  Le  meilleur  des  mondes  (1932)  d’Aldous  Huxley  ou  de  Fahrenheit   451   (1953)  de  Ray  Bradbury. Ira  Levin  nous  décrit   donc  un  monde  parfait  qui  très  vite  s’avérera  pas  si  parfait  que  cela,  et  même  totalement  inhumain.  L’individualité  de  chacun  est   inhibée,  et  cela  grâce  à  des  traitements  faits  à  base  de  dépresseurs.  Et  comme  chacun ne  peut plus  s’exprimer,  il  ne  reste 

l'âge de deux ans n'est pas traité rapidement, la perte de l'acuité visuelle peut aller jusqu'à la cécité totale de l'œil atteint. En revanche, si un traitement est entrepris immédiatement l'enfant a de forte de chance de pouvoir recouvrer une vision parfaite. C'est également le cas lorsque les yeux ne focalisent pas également. Si un œil dévie du point de fixation, le cerveau peut ne pas tenir compte de l'image que cet œil lui transmet, ce qui empêche le développement d'une vision normale dans l'œil

Calas, un homme est soupçonnée et arrêté pour avoir tué son fils car il venait de renier la religion protestante de sa famille pour la religion catholique. Lecture analytique : 1ère partie *Parricide, explication du mot : crime le plus affreux qui soit. Un crime aussi affreux doit être puni, l est tellement affreux qu’il faudrait être sur, qu’il faudrait avoir une preuve incontestable. *Argument d’autorité : les grecs, plus sages. Lors d’un procès : différence de 50 voix en Grèce, aujourd’hui

elle relève donc de l’Idéal, ce que corrobore le sujet des pièces précédentes (en alternance d’ailleurs avec des poèmes spleenétiques, comme l’Ennemi ou le Guignon, voire le poème le précédant : Le Masque, au vu de la distanciation: «Elle , beauté parfaite» en second hémistiche du v. 29, alors que notre texte l’interpelle directement…): La Beauté, l’Idéal. Donc comme semblant clore ce sujet, vient cet hymne, qui annonce aussi le cycle consacré à la mulâtresse Jeanne Duval, celle qui a été la plus chère

 ce que  corrobore le sujet des  pièces précédentes  (en alternance d’ailleurs  avec des  poèmes  spleenétiques, comme  ​ l’Ennemi  ou  le  ​ Guignon​ ,  voire  le  poème  le précédant  :  Le   Masque,  au  vu  de  la  distanciation: «Elle  , beauté parfaite» en  second hémistiche  du v. 29, alors que   notre  texte l’interpelle directement…): La Beauté, l’Idéal. Donc, comme semblant  clore  ce sujet, vient  cet hymne,  qui annonce  aussi  le cycle consacré à la mulâtresse Jeanne Duval, celle qui a été la plus 

valorisation et une caractérisation hautement positives de Mme. de Volanges, de la part de la Marquise, qui cherche à la flatter, à la faire sentir l’objet de son estime et de son amitié, procurant un climat d’entière confiance entre elles ainsi que de parfaite entente. En effet, même dans les passages où la Marquise va à l’encontre des idées exprimées par Mme. de Volanges (les contre-arguments, voir ci-dessous), elle va employer la formule de la reprise des mots de Volanges pour se manifester « parfaitement »

sont dans ce livre, il y en avait quelqu'une qui, contre mon attente, pût offenser, il n'y en a pas du moins qui y ait été mise avec mauvaise intention. Je n'ai point naturellement l'esprit désapprobateur. Platon remerciait le ciel de ce qu'il était né du temps de Socrate; et moi, je lui rends grâces de ce qu'il m'a fait naître dans le gouvernement où je vis, et de ce qu'il a voulu que j'obéisse à ceux qu'il m'a fait aimer. Je demande une grâce que je crains qu'on ne m'accorde pas: