Le Crépuscule Du Soir

Des jets d'éclairs mêlés 329 1, comme un siècles, (III, xxx, 3). duvet. IV, 73 (XLIX, vi). des plumes de cygne, à Des flammèches rayant dans Lombre les flocons. /*.,74- Tous ces nids dans D'où le souffle ses tours abrités et du soir fait couvés sur les noirs pavés Neiger des plumes de colombes. Les Voix intérieures, 341 (IV, vi). Souvent, pour bien comprendre une comparaison, où est placé l'objet comparé, et de quoi il est environné. Les fleurs du pommier sont la neige

de l’œuvre, en particulier dans la célébration de la nature et dans les sentiments qu’elle génère, qui vont jusqu'au sublime et au sacré. I) Une célébration de la nature sauvage mais paisible L’harmonie du soir C’est un paysage maritime tranquille, vu d’une grève, au crépuscule. Le cadrage est horizontal : trois plans horizontaux se superposent, la terre, la mer et le ciel, qui se complètent et s’unissent dans un dégradé de couleurs et de lumière qui tient lieu de perspective. Ce dégradé

fleurs sur des étagères, Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux. Usant à l'envi leurs chaleurs dernières, Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux, Qui réfléchiront leurs doubles lumières Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Intro

détermination. a) La progression dans le temps Le poème débute par l'indication insistante du moment du départ (tout le vers 1 : trois notations de temps formant un groupe ternaire selon le rythme 2/2/8). Il se termine au crépuscule comme le souligne la métaphore du vers 9 ("l'or du soir qui tombe"). Le voyage occupe ainsi une journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans l'espace Elle est exprimée par une série de compléments de lieu soulignant le

Le tombeau est évoqué à plusieurs reprises, et avec lui, des indices de mort : les boutiques " laissant échapper des souffles froids de caveau ". Le soir, le passage ressemble à " une galerie souterraine [...] éclairée par trois lampes funéraires ". La mort est également évoquée par l’adjectif " pendu " qualifiant les becs de gaz et par le " crépuscule morne " qui laisse apparaître " des vieillards ". L’aspect fantastique est présent tant le jour, où " les vitrines [...] moirent étrangement les marchandises

la route de Duros » donc une ville. Quant aux indications temporelles, elles sont assez floues et le lecteur semble être contraint de situer l’action un soir d’automne ou d’hiver : « la brume » ; « les marches mouillées » ; « des fleurs de platane étaient colées aux bancs trempés de pluie » ; « les jours avaient bien diminués » et « le crépuscule ». Le lecteur est amené à se poser des questions : « Que s’est-il passé ? De quoi l’accuse-t-on ? ». C. Un incipit descriptif Manque d’information :

ensemble de quatre quatrains formés d’alexandrins, et des rythmes et sonorités organisés. Lecture Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir; Valse mélancolique et langoureux vertige! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir; Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige; Valse mélancolique et langoureux vertige! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon

Baudelaire, Harmonie du soir Introduction Ce poème des Fleurs du mal de Baudelaire fait partie du cycle de l’amour : c’est l’avant dernier poème consacré à Mme de Sabatier. Il est fondé sur l’harmonie, avec un ensemble de quatre quatrains formés d’alexandrins, et des rythmes et sonorités organisés. Nous étudierons en premier temps l’effet qu’apporte la forme particulière du pantoum puis nous verrons le vertige des sens et des sensations dans ce poème et enfin nous verrons le spleen baudelairien

l’histoire. A) Où ? Quand ? -> Cadre spatio-temporel _Indices temporels : au couloir du palais de justice, d’une petite place, de la route de Budos, de la sous-préfecture, d’une petite ville -> Où. Les jours avaient bien diminués, le crépuscule, l’odeur du soir, une saison de pluie, la boue, la terre endormie; herbeuse; mouillée, donc il s’agit de la saison d’automne -> Quand. B) Qui ? (3personnages) _L’avocat Duros _Le père de Thérèse _Thérèse : fille de Larroque L’avocat Duros et le

l'expression du sentiment amoureux d'une part, et son inscription dans le temps d'autre part. · L'expression du sentiment amoureux : →L'amour universel : le poète n'est pas présent comme "amoureux", il s'adresse à tous. - "Crépuscule" de V. Hugo : détachement du poète, aucune présence du "je", amour universel : allusion au printemps saison des amours : PSR "le mois où les fraises sont mûres" (v.25), interpellation du lecteur donc de tous : utilisation du pronom personnel "vous"