Le Cuirassé Potemkine

Filmographie : « La Grève » : 1er long métrage d’Eisenstein. Le thème du film est l’avancement du pays vers la révolution populaire. En 1925 La Grève reçoit la médaille d’or de l’Exposition des arts décoratifs à Paris. « Le Cuirassé Potemkine » : Film classée dans le top 10 de la critique « Octobre » « La ligne Générale » En 1926 Eisenstein commence la préparation du film « La Ligne Générale ». Mais

Jean RENOIR La bête humaine 1938  Jean RENOIR La chienne 1931  Jean RENOIR La grande illusion 1937  Charles LAUGHTON La nuit du chasseur 1955  Robert ROSSEN L'arnaqueur 1961  Henri-Georges CLOUZOT Le corbeau 1943  Sergei M. EISENSTEIN Le cuirassé potemkine 1925  David Lean Le docteur Jivago 1966  Marcel CARNE Le jour se lève 1939  Jean Luc GODARD Le mépris 1963  Francis Ford COPPO LA Le parrain 1972  Marcel CARNE Les enfants du Paradis 1943  Alfred HITCHCOCK Les oiseaux 1963  Sidney LUMET

émouvant des films fascistes » Ce film met en scène Nevski, un autre Perceval ou Roland, un grand prince blond joué par Tcherkassov. La commande de ce film donne une bonne occasion à Eisenstein pour essuyer les nombreux échecs connus depuis Le cuirassé Potemkine. L'histoire du film nous place au 13ème siècle mais semble actuelle, voire même prophétique, avec le recul. Le prince Alexandre Nevski coalise toute la Russie autour de sa personne pour repousser l'envahisseur teutonique. Une véritable ode au

Romain Rolland un écrivain français publie le premier volume de « Jean- Christophe », Zweig lui obtient son doctorat de philosophie et voyage à Paris et en Belgique. En 1905 il séjourne en Espagne, en Afrique de Nord et à Florence, en Russie le cuirassé Potemkine se mutinent considérée comme un signe avant-coureur de la Révolution de 1917.En 1906 Dreyfus est réhabilité, Zweig séjourne à Londres et écrit « Les couronnes précoces » (un recueil de poème). En 1908, Zweig rencontre Freud le fondateur d’une

Saint-Pétersbourg. Dans ces deux films, la préoccupation essentielle de Poudovkine est d'exalter la cause révolutionnaire par l'étude des hommes qui se trouvent mêlés aux événements. Les deux chefs-d'oeuvre d'Sergueï Mikhaïlovitch Eisenstein, Le Cuirassé Potemkine en 1925 et Octobre en 1927 font de lui le plus grand des metteurs en scène soviétiques. On conserve aujourd'hui peu de films de cette période héroïque qui fut pourtant prolifique. La pellicule était souvent grattée et réutilisée, parfois plusieurs

est la possibilité qu’il offre, de par sa technique de reproduction, de toucher les masses. Cette possibilité, qui avait vu le jour au XIXe siècle avec l’apparition de la presse, atteint avec le cinéma des sommets jusque là inégalés (cfr Le cuirassé Potemkine d’Eisenstein en 1924). Etant un art très populaire offrant une forte impression de réalité, le cinéma ne pouvait fatalement qu’attirer des artistes engagés socialement et politiquement comme l’étaient les surréalistes, surtout à partir de 1929

la caméra (donc nie la transparence, mais permet au spectateur de prendre distance et de changer le monde) Transcendé par le montage, qui sera l’une des plus grandes trouvailles de l’époque : Expérience de Koulechov .. Eisenstein : Le cuirrasé potemkine à partir de la 50e minute I.4 Réactions face aux avant-gardes Documentaires engagés suite à Vertov et Eisenstein en France, quelques films réalistes (Charles Dullin « remorques »… ) Mais surtout réalisme poétique naît avec le parlant (meilleure

ces films sur l’antiquité romaine servent le fascisme - Leni Riefenstahl : « Les Dieux du stade », en Allemagne, « Le triomphe de la volonté », innovation des techniques cinématographiques qui servent le nazisme. - Eisenstein : « Le Cuirassé Potemkine » (1925-URSS), tentative de soulèvement, « La ligne générale » (1929) pour la collectivité des terres, « Octobre » (1927). - En URSS, les artistes vont se mettre au service du régime Stalinien : Réalisme socialiste (Doc. 4 page 219)

des regroupements d'artistes au service de la propagande du régime. En URSS, il faut l'autorisation de l’Union des écrivains pour publier et les cinéastes produisent des films à la gloire du régime et des héros communistes. Eisenstein tourne Le cuirassé Potemkine. Des grands défilés mettent en avant l'unité du pays derrière le chef de l'Etat, tels que les défilés du premier mai à Moscou et les grandes parades nazies. B La violence Les régimes totalitaires sont des régimes qui utilisent la violence et

Décret de nationalisation du cinéma. La production est pratiquement à l’arrêt. Une partie des cinéastes émigrent. Production de courts-métrages de propagande. 1924-1928 : Essor de l’avant-garde au cinéma : Le Ciné-œil (Dziga Vertov, 1924) ; Le Cuirassé Potemkine (Sergueï Eisenstein, 1925). Parallèlement, production commerciale et domination du cinéma étranger. 1928-1936 : À partir de la Première conférence du Parti consacrée au cinéma, le secteur connaît une phase de transition technique, économique