Le Culte Du Corps

David expose un tableau intitulé [ICO] Brutus (Les Licteur rapportant à Brutus les corps de ses fils, H/t, 1789, Paris, Musée du Louvre). Le peintre a choisi de se consacrer cette fois-ci à un épisode de l’histoire de la Rome républicaine relatif à l’expulsion d’un tyran, quoiqu’il ne représente pas directement cette scène-là. Il préfère le moment où Brutus assiste dans l’atrium de sa demeure au retour des corps de ses fils qu’il a lui-même condamnés à mort pour trahison. Quand il élabore cette

que les hommes se distinguent par leur valeur propre et non par leur rang social.. Le jeune roi (15 ans) a donc des idées révolutionnaires, qui rencontrent les aspirations du temps, mais ne plaisent pas au clergé traditionnaliste (culte d’Amon = soleil). Il remplace le culte d’Amon par celui d’Aton (créateur immatériel) et prend le nom d’Akhénaton. Il fait détruire l’effigie des anciens dieux et dépossède les prêtres d’Amon de leurs biens. Ceux-ci, évidemment, remettront l’ancienne religion en honneur

dieux étaient dans les statues) L’image est pensée comme un signe. Pendant la période révolutionnaire = il faut enlever il faut enlever les statues de Jésus Fonctions de l’image : Fonction métaphysique : art funéraire Fonction mémorielle : culte des ancêtres Fonction politique : propagande des souverains Fonction décorative : signe de renommé Fonction religieuse de dévotion : iconoclaste et iconodulie Fonction didactique : ex : Bible illustrée Images sacrées et profanes Jusqu’à la

adapte au cinéma un roman culte des années 60 pour interpeller le monde d’aujourd’hui sur le risque toujours présent de basculer dans une dictature. Dans « La Vague » Le professeur est jeune, sympathique, anticonformiste. L’enseignant dont rêvent tous les élèves. Les siens l’admirent, et c’est en confiance qu’ils le suivent dans cette expérience. Lui-même finit par se prendre au jeu, allant jusqu’à accepter qu’un des lycéens s’autoproclame son garde du corps. « Pour que prenne ce type

toutes les sociétés d’en avoir une. Les premiers rois ne furent pas moins attentifs à régler le culte et les cérémonies qu’à donner des lois et bâtir des murailles. Je trouve cette différence entre les législateurs romains et ceux des autres peuples, que les premiers firent la religion pour l’état, et les autres, l’état pour la religion. Romulus, Tatius et Numa asservirent les dieux à la politique : le culte et les cérémonies qu’ils instituèrent furent trouvés si sages que, lorsque les rois furent chassés

Les religions en Afrique, l'humanité étant née en Afrique, c'est le continent africain qui voit naître pour la première fois la religion. Durant l'antiquité africaine, en Nubie, la première religion, qui était monothéiste, apparaît avec le culte de Dieu, sous son nom de Râ appelé aussi Amon ou Atoum, entre autres. Quelques centaines d'années plus tard, en basse-Égypte, le pharaon Aménhotep IV ou Akhenaton, privilégie dans le monothéisme égyptien, le nom de Dieu Atona-Ankh, qu'il symbolise avec le

l’idéologie, voué à un véritable « culte ». Il fait d’abord allusion à l’Italie puisque le fascisme exalte « la nation » unitaire, cet ensemble qui est l’incarnation de l’Etat qui est « tout » alors que l’individu n’est « rien ». Il pense aussi bien sûr à l’Allemagne où la notion de « race » est portée à son paroxysme, véritable cœur de l’idéologie nazie. La race aryenne y joue un élément fédérateur (et donc facteur d’exclusion) nécessaire à la construction de ce corps mystique qu’est la nation, le Volk

relations avec la religion catholique ». D’une part, elle fut l’une des périodes les plus antichrétienne de notre histoire, avec notamment la laïcisation de l’état civil. Mais de l’autre, elle a suscité la création de cultes civiques parfois comparés au culte traditionnel. Tocqueville affirme ainsi qu’une « sorte de religion nouvelle a inondé toute la terre de ses soldats, de ses apôtres et de ses martyrs ».Les deux textes proposés relatent deux événements distincts à Paris. Le premier est un extrait du

dynamique amoureuse L’abstraction du corps ou le fétichisme, et le culte du soleil ou l’héliocentrisme amoureux Un exotisme inquiétant et « narcissique » La mort, un espace et un temps universellement exotiques Conclusion Introduction : l’exotisme en littérature L’exotisme tel que le définit le Dictionnaire des termes littéraires aux éditions Champions Classiques: «(du grec exôtikos: étranger, extérieur) généralement: culte de ce qui est étranger et éloigné, en littérature:

bazar", en proposant "une religion nouvelle" (l 13) fondée sur "le culte sans cesse renouvelé du corps, avec l'au-delà divin de la beauté" (l 18-19).Cette vision des choses sacralise le corps de la femme, justifie sa coquetterie et ses achats incessants de vêtements pour être belle, et sacralise alors le consumérisme à l'opposé des vraies religions. Celles-ci, quelles qu'elles soient, préconisent le détachement à l'égard du corps et des biens matériels (a forciori des vêtements) et Je souci des valeurs