Le Cure De Tour Balzac

s’immobilise-t-elle pas?» (page 220) pourrait être une transposition prosaïque des vers de Lamartine dans ‘’Le lac’’ : «Je dis à cette nuit : ‘’Sois plus lente’’ ; et l'aurore Va dissiper la nuit.» - Dans «la duchesse de Langeais, l’héroïne de Balzac, de Zola, de Cyrano de Bergerac, du barbier de Séville» (page 361), la première indication est la seule exacte avant un dérapage dans la cocasserie. - La «course au bonheur» que Chamomor fait miroiter à Bérénice (page 142) pourrait être un écho de

44 06 77 50 www.lycee-jean-lurcat.net Lycée Louis Armand 321 rue Lecourbe 75015 Paris Tél. 01 45 57 51 50 http://www.louis-armand-paris.org/wiki/ Lycée international de Paris Honoré de Balzac 118 boulevard Bessières 75017 Paris Tél. 01 53 11 12 13 http://www.ac-paris.fr/serail/jcms/s1_95163/eelgt-honore-de-balzac-portail Paris : établissements privés sous contrat Lycée privé Carcado Saisseval 121 boulevard Raspail 75006 Paris Tél. 01 45 48 43 46 www.carcado-saisseval.com Lycée privé Le Rebours 44

donner de grandes malédictions. Il ne daigne pas attendre personne ; et si l’on diffère un moment à se rendre au lieu dont l’on est convenu avec lui, il se retire. Il se distingue toujours par une grande singularité : il ne veut ni chanter à son tour, ni réciter dans un repas, ni même danser avec les autres. En un mot, on ne le voit guère dans les temples importuner les Dieux, et leur faire des vœux ou des sacrifices. De la superstition La superstition semble n’être autre chose qu’une crainte

industriel, avec les banques, le pouvoir, la main d'œuvre, les élites ( cf centralisation administrative). Paris attire, fascine. Province associé à la médiocrité, routine, un monde qui ne change pas, alors que tt le contraire à Paris (ex: romans de Balzac). Complexe d'infériorité des provinciaux, et de supériorité des parisiens. La mode parisienne fascine. La carte de 1790 évolue peu pour les départements, ex: création du département du Tarn et Garonne par napoléon en 1808. ex: département de Rhône

Mme Bontemps, laquelle entendit dire bientôt que c’était une ineptie, de sorte que, au lieu de demander à Albertine de la chanter, quand elle avait du monde, elle y substitua : Une chanson d’adieu sort des sources troublées, qui devint à son tour « une vieille rengaine de Massenet, dont la petite nous rebat les oreilles ». Une nuée passait, elle éclipsait le soleil, je 10 voyais s’éteindre et rentrer dans une grisaille le pudique et feuillu rideau de verre. Les cloisons qui séparaient

inexplicable objectivement. Elle est la marque d’une puissance affective spécifique. Ainsi s’explique la joie de frotter, de fourbir, de polir, d’astiquer qui ne trouverait pas son explication suffisante dans le soin méticuleux de certaines ménagères. Balzac a noté dans Gobseck que les « froids intérieurs » des vieilles filles étaient parmi les plus luisants. Psychanalytiquement, la propreté est une malpropreté. Dans leurs théories parascientifiques, certains esprits n’hésitent pas à accentuer la

Le lys dans la vallée Balzac Etudes de moeurs. 2e livre. Scènes de la vie de province. T. 3. Le lys dans la vallée Etudes de moeurs. 2e livre. Scènes de la vie de province. T. 3. Le lys dans la vallée 1 Le lys dans la vallée Etudes de moeurs. 2e livre. Scènes de la vie de province. T. 3. Le lys dans la vallée 2 Le lys dans la vallée éditions eBooksFrance www.ebooksfrance.com Etudes de moeurs. 2e livre. Scènes de la vie de province. T. 3. Le lys dans la vallée 3

proche - le parrain et la marraine. On offre des dragées à toutes les connaissances de la famille. Vers l’âge de 12 ans tous les enfants qui ont suivi les cours de catéchisme font leur communion à l’église de leur paroisse (territoire qui dépend d’un curé), signe qu’ils appartiennent à la communauté catholique. Mais cette cérémonie religieuse tend à disparaître dans les grandes villes. Elle se maintient encore à la campagne. Le repas de communion peut être aussi grandiose qu’un repas de noce. Les enfants

je vous le répéterai si souvent, avec tant de force et tant d’ardeur », l. 98-99, p. 272). Il n’éprouve aucun sentiment pour Mme Walter et se moque des élans de piété de sa victime, qui cherche refuge dans le confessionnal : « Bah ! c’est le tour du curé, ce sera le mien demain » (l. 266-267, p. 277). Le lende- main, alors que Mme Walter lui avoue l’intensité de ses sentiments, il la conduit dans sa garçonnière, lieu privilégié de ses ébats avec Clotilde. Plus leur relation évolue, plus Mme Walter

jeunes se sentaient les maîtres du monde, les jeunes, en toute justice, réclamaient le pouvoir jusqu'alors tenu par les patriarches. « l'âge est un crime », tel était leur slogan. D'où les chasses nocturnes devant lesquelles l'autorité, inquiète a son tour, fermait volontiers un œil. Tant pis pour eux après tout si des croulants, qui auraient mieux fait de rester chez eux au coin de leur feu, s' offraient le luxe de provoquer les jeunes avec leur frénésie sénile. C'était surtout les vieux en compagnie