Le Curé Et Le Mort Morale Explicite

Laitière et le Pot au lait », VII, 10 « Le Curé et le Mort », VII, 11 Fables, La Fontaine Commentaire comparatif Eléments de l’introduction · La Fontaine, XVIIè siècle. Auteur français, célèbre en tant que fabuliste. · Fables, 1668-1694 ; 12 livres, dédiés à divers grands personnages (le Dauphin, Mme de Montespan…) ; portée morale et éducative, grâce à la transposition dans le monde animal. · Fables « La Laitière et le Pot au lait », « Le Curé et le Mort » ; successives, début du livre VII, dans

La Fontaine Le Curé et le mort | Le Curé et le mort Le Curé et le Mort |Un mort s'en allait tristement

visitait aussi son confrère Tant-mieux ; Ce dernier espérait, quoique son camarade Soutînt que le gisant irait voir ses aïeux. Tous deux s’étant trouvés différents pour la cure, Leur malade paya le tribut à Nature, Après qu’en ses conseils Tant-pis eût été cru. Ils triomphaient encor sur cette maladie. L’un disait : Il est mort, je l’avais bien prévu. — S’il m’eût cru, disait l’autre, il serait plein de vie. Texte B : LA POULE AUX ŒUFS D’OR L’Avarice perd tout en voulant tout gagner. Je

reprend dans ses Fables les apologues d'Esope et de Phèdre. Dés sa parution, l'ouvrage est accueilli avec succès ; aujourd'hui encore, il s'agit d'un des plus grands monuments de la littérature française. Ces courtes histoires qui expriment toutes une morale sont apprises et récitées dés l'école primaire, et forment l'Homme moderne lors de son éducation. Pierre Clarac, dans sa préface des Fables écrite en 1942 nous dit : "Quand nous récitons les Fables, nous les interprétons selon le goût qui nous est

fable que celui-ci est rusé et qu’il aura le dernier mot, comme dans La Cour du Lion. Le personnage du Renard, comme tous ceux des autres animaux présents dans les Fables, joue en fait le rôle d’un humain ; cela nous est explicitement dit après la morale dans Le Héron avec les derniers vers « Ce n’est pas aux hérons que je parle ; écoutez, humains, un autre conte ». La Fontaine utilise donc dans notre exemple un Renard plutôt qu’un Homme, car la personnalité du Renard est déjà prédéfinie pour le

une "belle musique de faux-bourdon". Le châtiment rappelle la punition que l'on inflige aux enfants et non une sanction de la justice. Le comique de situation se retrouve également dans la fable "Le curé et le mort" car le curé meurt alors qu'il se réjouissait de ce qu'allait lui apporter la mort de l'homme qu'il accompagnait. Le retournement de la situation met en scène l'ironie du sort. Cet usage du comique a pour but de rendre plus agréable la lecture et a parfois la rendre plus accessible

paru à certains comme un danger de perversion morale, esthétique et littéraire3, les deux dernières formes de perversion découlant comme automatiquement de la première. Les années ont passé et, si l'on en croit la préface de l'édition de 1946, les audaces, le sans-gêne, voire une certaine grossièreté que le narrateur de Marie Calumet met en discours à travers des personnages comme ceux de Marie Calumet elle-même, mais aussi de Suzon, la nièce du curé, de Zéphirin, le bedeau, ou de Narcisse, l'homme

à la lecture de la loi divine et à l’exécution du châtiment divin. Il est aussi important de relever la notion de la morale qui régit les comportements des hommes en considérant le bien et le mal, et qui donc influe sur la Justice. Une telle morale peut-elle être divine ? Quelle serait alors la distinction entre la morale divine et la loi divine ? Qu’arrive-t-il quand deux morales, l’une humaine et l’autre divine, s’opposent ? La nécessaire intermédiation humaine. Il est difficile de définir Dieu

de l’homme à la cervelle d’or, est le surprenant récit de la vie d’un homme abusé par ses proches parce qu’il possède un cerveau en or qu’il disperse naïvement. Nous allons dégager la morale de ce texte et identifier le genre littéraire auquel il appartient. Nous constatons à la fin du récit que la morale est explicite. Comme le fait souvent Jean de La Fontaine dans ses Fables, Daudet détache un bref paragraphe du corps du récit et y expose assez clairement la « leçon » à tirer : « Il y a par le monde

I/ Introduction. Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621, et mort le 13 avril 1695) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et Les Contes Licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre ainsi que des livrets d'opéra. C'est en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope, qu'il écrit les Fables qui font sa renommée. Le premier recueil qui correspond aux livres I