Le Curé Et Le Mort Morale

des pièces de théâtre et des livrets d’opéra. Ici, nous allons étudier la fable Le curé et le mort. Nous verrons pourquoi cette fable est comique, pourquoi la situation finale est opposée à la situation initiale, en quoi le curé est irrespectueux envers le mort, son intérêt pour l’argent et le retournement de la situation. On pourrait penser que cette fable fait partie du registre tragique puisque la mort y est annoncée mais l’auteur transforme vite cette tragédie en comédie. Il utilise

du réel. Prenons le cas de la fable Le curé et le mort de Jean de La Fontaine, extraite du livre VII des Fables. Cette fable est, en réalité, inspirée d’un fait divers conté à La Fontaine parMadame de Sévigné dans lequel un curé décède tragiquement lors du transport d’un certain Monsieur de Boufflers vers sa dernière demeure. Alors, comment Jean de La Fontaine transforme-t-il un simple faitdivers en une fable, récit avisé, argumentatif et comportant une morale ? Dans une première grande partie, nous

mais le parallélisme des positions des deux personnages prendra tout son sens au cours de la fable. Un mort s’en allait tristement S’emparer de son dernier gîte; Un curé s’en allait gaiement Enterrer ce mort au plus vite. « s’emparer » montre que la tombe est la seule possession que peut convoiter le mort, contrairement aux vivants, comme le curé, qui ont plus de choix et d’envies. Le curé a du temps de vie mais il est pressé de passer à autre chose, ressemblant à chacun de nous, toujours en

La Fontaine Le Curé et le mort | Le Curé et le mort Le Curé et le Mort |Un mort s'en allait tristement

Le Curé et le Mort Un mort s'en allait tristement S'emparer de son dernier gîte ; Un Curé s'en allait gaiement Enterrer ce mort au plus vite. Notre défunt était en carrosse porté, Bien et dûment empaqueté, Et vêtu d'une robe, hélas ! qu'on nomme bière, Robe d'hiver, robe d'été, Que les morts ne dépouillent guère. Le Pasteur était à côté, Et récitait à l'ordinaire Maintes dévotes oraisons, Et des psaumes et des leçons, Et des versets et des répons : Monsieur le Mort, laissez-nous

nécessaires pour suivi la loi et rendre une société juste qui est souvent ambiguë selon la perspective de l’individu. Une des situations qui se conteste ce concept est la décision du père de Diderot pour brûler un testament et rendre la fortune du curé à la famille pauvre ou laisser ses richesses aux Frémins. Il est nécessaire de suivre l’exemple du père par ne pas brûler le testament pour rendre la justice en suivant la loi. La justice est assurée par suite des règles de la loi et par conséquent

roche au guillemots » où ils se posent par centaines. Un jour, l'un des chasseurs nommé M. d'Arnelles a un problème, il est troublé pendant plusieurs journées. Mais lors d'un repas avec ces camarades, il avoue qu'il doit partir car son gendre est mort. Ses amis le convaincs de rester, et finalement il resta 2 jours de plus. Personnages : Les personnages présents dans la nouvelle sont M. d'Arnelles et ses camarades chasseurs. Le réalisme : C'est réaliste car la chasse est une activité

Résumé Commentaire entièrement rédigé de la fable Le Curé et le Mort de Jean de La Fontaine. Celui-ci montre que la fable est constituée d'un récit plaisant, qui sert de support à la satire du clergé, mais aussi à une réflexion sur la condition humaine. Extrait: La thématique de l'imagination prend donc une importance décisive. Comment le fabuliste traite-t-il le fait divers dans l'apologue, et quelle est son ambition morale ? Nous étudierons tout d'abord l'art de la narration dans cette

Commentaire: LE CURE ET LE MORT- LA FONTAINE Introduction: La Fable « Le Curé et le Mort » est inspirée d'un fait divers relaté dans deux lettres de Madame de Sévigné ; La Fontaine exploite ce fait divers en étoffant son récit de circonstances qui vont lui donner une tonalité et une signification nouvelle. On peut d'ailleurs avancer l'idée qu'il se livre à une sorte de détournement de sens, puisque rien n'indique que la personnalité du curé réel corresponde à celle qui est décrite dans

célèbre pour son long recueil paru entre 1668 et 1693 où il critique les défauts des hommes et de la société de son époque. Comédie en raccourci, la fable propose de raconter une histoire divertissante dans le but d’enseigner au lecteur une leçon, une morale. « La Laitière et le Pot au lait » est une fable originale car La Fontaine n’en a pas puisé l’inspiration dans la littérature antique (Esope ou Phèdre), mais dans une nouvelle du XVIe siècle « Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portait