Le Curé Et Le Mort Morale

(ou asiles) était rythmée de façon immuable. Toute transgression était sévèrement punie, les traitements curatifs peu nombreux. Des méthodes comme l'utilisation de l'eau pour ses vertus relaxantes côtoient des méthodes barbares (comme faire frôler la mort au malade pour provoquer un état de choc). Le choix du personnel commence à évoluer. Ces grands hôpitaux vivent en autarcie. Les malades, le personnel, les médecins vivent ensemble à l'intérieur des murs. Les sorties sont rares et les malades sont

Une fable sociale de Brassens : Tous les "intervenants" de la chanson -- chauffeur n'ayant pas de temps à perdre, le flic "ayant d'autres chats à fouetter", le témoin intimidé ne suivant pas l'instinct grégaire face à la "foule qui se déchaîne", le curé défendant sa religion, le soldat formé pour tuer, la religieuse vouée à la chasteté, et enfin le voisin mécréant ne voulant pas convaincre son voisin de l'absence de Dieu (on n'aura pas tort de voir ici le chanteur lui-même, mais seulement à titre

pour quelques courses. Petite querelle sans importance. Taquinerie et humour. La petite Jeux d'enfant un jeudi après-midi. Colette doit avoir 8 ans environ. L'enlevement Sa mère anxieuse a rêvé qu'on enlevait sa fille. Colette a 12 ans. Le curé sur le mur Colette joue avec le mot « presbytère » qu'elle aime bien et dont elle ne connait pas la signification. Elle a 8 ans. Ma mère et les livres Colette a 8 ans, petite femelle. Sa mère lui a communiqué l'amour des livres. Colette les touche

Désignation Le curé, l'abbé Bournisien, l'ecclésiastique, le bonhomme, le prêtre, le vieillard à soutane. Qualification Identité physique : il porte une soutane luisante sous les coudes, effiloquée par le bas qui contient de nombreuses taches de graisse et de tabac, poitrine large, peau rouge semée de macules jaunes, barbe grisonnante ; il marche à pas lourds, la tête un peu penchée sur l'épaule ; il a une grosse voix ; il a des gestes brusques ; c'est un vieillard. Identité morale : soucieux

domaines de la sagesse (esprit) et de la vertu (cœur). D’où l’importance de la leçon, de la morale dans l’apologue, conçue avant tout comme une œuvre d’éducation, d’apprentissage. MAIS le fait d’orienter vers cet aspect implique de laisser de côté l’autre aspect de l’apologue = le plaisir, le divertissement, le charme de l’histoire et les qualités du conteur à présenter une anecdote plaisante pour amener à la morale. DONC la problématique est : N’y a-t-il pas autre chose à attendre de l’apologue/fable

comme il était une fois, époque et lieu non définis, personnages avec des caractéristiques morales ou sociales génériques) => faire véhiculer un message philosophique, une morale ° entretiens (à partir des échanges épistolaires de Diderot) – dialogue philosophique (= deux positions sont valables, confrontation thèse antithèse, but : interroger les certitudes de la société pour établir les règles d’une morale naturelle) A travers 2 genres, Diderot interroge les mœurs de son temps et les conventions

le Nord" tiré d'une œuvre appelée "Journal d'un curé de campagne au XVIIe siècle". Il s'agit d'un extrait qui nous parle de la paroisse de Rumegies et de ce qui c'est passé durant cette crise de 1693. L'auteur de ce document est Alexandre Dubois, curé de Rumegies de 1686 à sa mort. Sans doute originaire de Rumegies où sa famille était installée, Alexandre Dubois avait été titulaire de la chapellenie de Notre Dame de 1684 à 1686 avant de devenir curé de la paroisse à Rumegies, village intégré à la

nouvelle Révolution et qui, par tous les moyens, préservera son statut et sa richesse. Les prémices de ce portrait négatif se retrouvent aussi à travers les premières erreurs de jugement commises par Julien alors qu'il reçoit encore l'éducation du curé Chélan : « Il me croit indigne d’être prêtre, et cela précisément quand je me figurais que le sacrifice de cinquante louis de rentes allait lui donner la plus haute idée de ma piété et de ma vocation » (chap. VIII). Ici, Julien, en suivant l'exemple

Les contes divergent quand à l'implication du Diable et son déroulement. Satan n'aura pas la même influence dans l'étranger et le diable au bal . Dans le premier, le prête sauvera et viendra repentir la jolie jeune femme : « Il était temps que le curé arrivât ; l'inconnu en tirant sur le fil du collier l'avait rompu, et la serrant contre sa poitrine où il avait reçu son Dieu le matin... » Une fois repentie , elle ne se marie pas et en crainte de revoir Lucifer, elle deviendra une soeur au couvent

techniques de production et l'apparition d'une nouvelle société. Se forment alors parallèlement deux classes sociales avec des aspirations contraires : la bourgeoisie qui devient la classe dominante et qui tend à imposer ses conceptions politiques et morales et la classe ouvrière qui cherche à exprimer ses revendications. Dans ce contexte social, les artistes ne se rangent pas forcément aux côtés de la classe ouvrière et de son combat mais se détachent de la bourgeoisie qui rejette les nouvelles formes