Le Cyclope Polyphème

délivrer ceux des Titans que son père tenait enfermés dans le Tartare, et les engager à combattre pour lui. Il l'entreprit, et en vint à bout, après avoir tué Campé, la geôlière, qui avait la garde des Titans dans les Enfers. C'est alors que les Cyclopes donnèrent à Jupiter le tonnerre, l'éclair et la foudre, à Pluton un casque, et à Neptune un trident. Avec ces armes, les trois frères vainquirent Saturne, le chassèrent du trône et de la société des dieux, après lui avoir fait subir de cruelles tortures

ne citer toujours que ce que notre mémoire nous rappelle, la scène de Ménélas avec la portière du palais (Hélène, acte I) ; la scène du phrygien (Oreste, acte IV). Les tritons, les satyres, les cyclopes, sont des grotesques ; les sirènes, les furies, les parques, les harpies, sont des grotesques ; Polyphème est un grotesque terrible ; Silène est un grotesque bouffon. Mais on sent ici que cette partie de l'art est encore dans l'enfance. L'épopée, qui, à cette époque, imprime sa forme à tout, l'épopée

ne citer toujours que ce que notre mémoire nous rappelle, la scène de Ménélas avec la portière du palais (Hélène, acte I) ; la scène du phrygien (Oreste, acte IV). Les tritons, les satyres, les cyclopes, sont des grotesques ; les sirènes, les furies, les parques, les harpies, sont des grotesques ; Polyphème est un grotesque terrible ; Silène est un grotesque bouffon. Mais on sent ici que cette partie de l’art est encore dans l’enfance. L’épopée, qui, à cette époque, imprime sa forme à tout, l’épopée

l’origine de la raison. Comment comprendre donc une telle dialectique ? Sinon que nos auteurs nous donnent un sens à travers leur interprétation de l’ Odyssée[footnoteRef:33] d’Homère, notamment la rencontre d’Ulysse et de Polyphème le cyclope. Tiéba Karamoko peut résumer cette rencontre en ces termes : [30: Max HORKHEIMER et Theodor W. ADORNO, La Dialectique de la raison, Fragments philosophiques, (Paris, Tel Gallimard, 1974, p 23.), Trad. Eliane Kaufholz.] [31: Max HORKHEIMER

ne citer toujours que ce que notre mémoire nous rappelle, la scène de Ménélas avec la portière du palais (Hélène, acte I) ; la scène du phrygien (Oreste, acte IV). Les tritons, les satyres, les cyclopes, sont des grotesques ; les sirènes, les furies, les parques, les harpies, sont des grotesques ; Polyphème est un grotesque terrible ; Silène est un grotesque bouffon. Mais on sent ici que cette partie de l’art est encore dans l’enfance. L’épopée, qui, à cette époque, imprime sa forme à tout, l’épopée

détruire les monuments humains en général en jetant des pierres dessus. Ils aiment voler les cloches des églises ou alors ils déplacent de nuit les bâtiments construits par les hommes. On note aussi une tendance à l’élevage comme c’est le cas pour le Cyclope. - Vie sociale et familiale = il s’agit juste d’une ébauche car le plus souvent le géant a une vocation de solitaire et de célibataire, comme une sorte d’ermite. Mais parfois, on parle de familles de géants. Dans ce cas on parle surtout des géantes

citer toujours que ce que notre mémoire nous rappelle, la scène de Ménélas14 avec la portière du palais (Hélène, acte I) ; la scène du phrygien (Oreste, acte IV). Les tritons, les satyres, les cyclopes, sont des grotesques ; les sirènes, les furies, les parques, les harpies, sont des grotesques ; Polyphème est un grotesque terrible ; Silène15 est un grotesque bouffon. Mais on sent ici que cette partie de l'art est encore dans l'enfance. L'épopée, qui, à cette époque, imprime sa forme à tout, l'épopée

misanthrope déshumanisé, monstrueux au sens propre : le texte en tout cas nous donne des indices révélateurs. Il menace Gétas, au vers 468 « Et je vais même te dévorer tout vif », en des termes qui font de lui un monstre comme le cyclope qui dévore les compagnons d’Ulysse, Polyphème. Il ne fait plus de doute après ces différents relevés que le misanthrope a quelque chose de monstrueux, même le misanthrope de théâtre. Toutefois ici nous apporterons une nuance qu’il est utile de remarquer : Ménandre n’a pas

citoyens grecs, contrairement aux autres peuples barbares (c’est-à-dire étrangers) ou non-civilisés (les personnages mythologiques). A la lecture du Champ IX de l’Odyssée, aux paragraphes 112-115, Homère nous dit qu’il n’y avait pas de Conseils chez les Cyclopes, aucun lieu d’assemblée et qu’ils vivaient dans des cavernes. Derrière ces vers se cache une réalité que l’archéologie a mis en évidence, celle que cette organisation de la population est unique. Platon disait que la cité était un espace idéal pour

je leur ferai du mal comme j’ai fait à la bête vivante. Je leur ferai très mal. Texte O : Extrait de L’Odyssée d’Homère : épisode du cyclope Ulysse et ses compagnons arrivent sur l’île du cyclope Polyphème et partent à sa rencontre afin de lui demander son hospitalité, ceci suivant les coutumes et le respect des usages du monde antique grec. Et quand [le cyclope] eut achevé tout ce travail à la hâte, il alluma le feu, nous aperçut et nous dit : - Ô Étrangers, qui êtes-vous ? D'où venez-vous sur