Le Desir Selon Descartes

monde autrement que comme il est, il peut l’imaginer comme il n’est pas afin de combler ses envies et ses manques, une projection de ses désires en somme. Nous savons que malgré tout l’homme est parvenu  à transformer des parcelles du monde de manière à satisfaire ses désirs et sa curiosité. C’est ainsi que se sont créés de nouveaux manques.  Nous retrouvons Descartes qui nous conseille de changer nos désirs plutôt que l’ordre du monde, puis plus loin dans son ouvrage philosophique, il nous annonce au

conceptualise pas selon lui. Le poète se sert de ses mots pour faire ressentir des émotions et donner du sens aux mots. Selon Eluard, la liberté est synonyme de l'espérance. Le poète pré-suppose que pour tous les hommes, la liberté est désirée et positive. Cette vision s'oppose donc à celle de Sartre qui décrit la liberté comme une angoisse méta-physique. Il évoque la vacuité de notre existence et le "rien" de cette dernière. Selon le philosphe, la vie n'est que ce que nous en faisons. Selon lui, l'entretien

Les hommes sont depuis toujours convaincus de se connaître, et pensent que rien ne peut leur échapper. Selon Descartes, la conscience est d’ailleurs la clé de tout, et l’homme est ainsi conscient non seulement de lui même mais aussi du monde dans lequel il évolue. Cependant en 1885, le docteur Sigmund Freud, psychanalyste et neurologue, remet en question le raisonnement de Descartes en démontrant que notre esprit possède également une partie inconsciente. En affirmant que « Le « ça » est la partie

recherche de l’absolu, l’extrémisme (dans ce cas religieux, mais il pourrait être aussi bien politique) et l’enchaînement des causes et sortira le 25 novembre prochain en France. La Recherche de l’absolu chez Descartes, Hume et Balzac : dérive et déraison. Alors que Descartes se trouvait dans « un poêle » (sous-entendu pièce chauffée par un poêle) en Allemagne, l’idée lui est venue de se débarrasser de tout l’édifice conceptuel que ses maîtres avaient jusque là soigneusement élaboré en

conscience ou mauvaise conscience 8 Être consciencieux / 9 Avoir quelque chose sur la conscience (cscc → conscience) / 10 Agir inconsciemment / 11 Perdre/Reprendre conscience / 12 Prendre cscc de quelque chose / 13 Être conscient et inconscient de / 14 Désir inconscient / 15 Avoir cscc de quelque chose Être conscient / inconscient Être conscient ou inconscient de quelque chose Conscience morale 4 – 10 – 11 15 – 10 – 12 – 13 – 14 6 – 7 – 8 – 9 – 5 – 10 Il y a deux grands sens qu'il faut distinguer :

et ennuyeuse : elle se passe toute à désirer […] Un temps arrive qui nous surprend encore dans les désirs, on en est là quand la fièvre nous saisit et nous éteint ; et si l’un eût guéri, ce n’était que pour désirer plus longtemps. » La Bruyère, Les Caractères L’image de Platon : Le Tonneau des Danaïdes : « Le désir c’est un peu comme le tonneau des Danaïdes » car ce tonneau est sans fond et il se vide à mesure que nous le remplissons. » Descartes (1596-1650) Il a écrit les Méditations

Discours de la méthode, René Descartes : 1. Qu’est- ce que Descartes cherche à faire comprendre au sujet de l’esprit humain? Il explique que le bon sens est un aspect bien partagé puisqu’il est universel mais qu’il y a de bonnes et de mauvaises façons de l’utiliser. Le bon sens diffère d’une personne à l’autre puisqu’il est parcouru (chemin pour découvrir le bon sens) et vu (considéré, visions) de différentes façons. Il explique que pour la plupart des êtres humains croient en être si bien pourvus

Ferdinand Alquié Descartes Collection dirigée par Laurence Hansen-Løve Edition numérique : Pierre Hidalgo La Gaya Scienza, © octobre 2011 1 Table des matières Introduction : L’ordre cartésien .................................... 3 1. Le collège. Les premiers écrits. Le rêve d’une science universelle et l’idée de méthode. ..................................13 2. L’œuvre scientifique ................................................ 38 3. La métaphysique ...........................

indifféremment liberté et contrainte, et liberté et nécessité, comme si nécessité et contrainte étaient des concepts équivalents. C'est une erreur selon Spinoza : « Pour ma part, je dis que cette chose est libre qui existe et agit par la seule nécessité de sa nature, et contrainte cette chose qui est déterminée par une autre à exister et à agir selon une modalité précise et déterminée » (lettre à Schuller). Ainsi, « la permanence de la pierre dans son mouvement est une contrainte, non pas parce qu'elle

intérieure, en s’apercevant qu’ils sont faux. René Descartes, Lettre à Elisabeth du 6 octobre 1645 Travail d’approche: Parties du texte : première partie (« Madame […] et qu’on devienne plus triste ») → Descartes soulève le problème qu’il entend résoudre ; deuxième partie (« Si je pensais que […] acquisition »)→ souverain bien = ? ; troisième partie (« C’est pourquoi […] qu’ils sont faux »)→ Descartes fait valoir sa position. Thèse : pour Descartes, le souverain bien n’est pas la joie mais la connaissance