Le Devin

Dossier autour de la famille Ce petit dossier peut être mené de front avec l’étude sur « le temps » dans le cadre de la découverte du monde. Préparation : Temps Consigne Indiv/collect Outils 10 mn Ecouter la lecture d’un conte « Devine combien je t’aime » Ecoute collective Livre 10 mn Discussion autour du livre On s’assure de la bonne compréhension des enfants. groupe classe 20 mn Production écrite à partir du livre (page 1) indiv La production sera préalablement écrite

éliminé : « Il vaut mieux que lui-même entende son arrêt de la bouche qu’il aime. Si ses jours vous sont chers, éloignez-le de vous », Cet scène met en avant le côté malsain et cruel de son amour. Ce monstre est livré à des passions dévorantes et on devine à travers sa passion du pouvoir et de son utilisation les nombreuses décadences à venir. Agrippine, sa mère, est elle aussi prise d’une soif de pouvoir excessive qui se montrera comme une guerre cruelle contre son propre fils tous les deux à l’assaut

la palette laisse penser que cette créature est triomphante. b. Elle s'apprêterait à s'envoler ou bien à se métamorphoser. 2. Loplop semble vouloir empêcher la créature de faire quelque chose, il semble la retenir. 3. En observant le ciel on devine qu'un orage se prépare. 4.a. Cette peinture symbolise d'une façon ironique la défaite des républicains en Espagne. Loplop représente le regard de l'artiste sur cet événement. b. Le peintre cherche a atténuer la réalité en peignant cet chimère

blafards, ils traînent quelques objets : deux sacs et une poupée (symboliquement la tête en bas). Les couleurs sont froides (blanc, gris, vert, bleu).- Tout à gauche, devant, un bras anonyme, armé d'un fusil leur barre la route : c'est un SS. On le devine droit, raide, inflexible, déterminé et sans pitié. IL représente le Mal absolu, celui qui donne la Mort.- En arrière-plan, à droite, tout au loin, des déportés travaillent : l'un est battu, un deuxième est étendu au sol comme mort, d'autres poussent

INTERIEUR / EXTERIEUR - jeu du goût : faire deviner aux enfants les yeux bandés certain aliments. - jeu de l'âne : je dessine sur une grande affiche un âne sans queue puis on donne dans la main d'un enfant : la fameuse queue !Ensuite l'enfant doit avoir les yeux bandés et ses petits camarades le guident pour l'aider à fixer la queue de l'âne au bon endroit. - jeu de l'ouïe : leur faire deviner des sons d'animaux ou des bruits qu'ils connaissent. - le chamboule tout - Colin maillard : On forme

dalle en grès. Le piédestal massif est un prisme à base rectangulaire, rainuré aux arêtes. Un rectangle taillé en retrait orne la face avant du piédestal. Les quatre angles du rectangle sont ornés d'un secteur de cercle qui représente, on peut le deviner, une coquille Saint-Jacques. Aucune inscription au centre de ce rectangle. Un tailloir/table, en ressaut, très épais surmonte le piédestal. Il est décoré de deux moulures de tailles différentes à sa base. La stèle de taille nettement inférieure repose

lendemain, le maître ainsi que Caïus et Rufus sont absents. Les élèves s'étonnent de l'absence de Xantippe qui habite pourtant la maison où se déroule la classe et un des élèves, Antoine, craint que le maître ait été assassiné par Lukos, un astrologue-devin sur lequel couraient les plus folles rumeurs et qui habite en face de l'école. Alors que les élèves se disputent sur le sort de leur professeur, ils remarquent que la tablette a disparue. Le chapitre se clôt sur un râle venant de la pièce où loge le

Ne t'inquiète pas pour moi d'Alice Kuipers sans jamais tomber dans le mélodrame. Le lecteur se laisse entraîner, touché par ce qu'il sait et ce qu'il devine derrière les mots de ce duo bouleversant. Finalement tout reste très flou : on ne sait pas vraiment qui est la mère, qui est Claire, ce qu'elles pensent est à la fois vague et précis, on devine plus qu'on écrit, on se glisse dans la peau de chacune et on imagine. Voila la force de Ne t'inquiète pas pour moi. On se laisse surprendre à chaque fois

A la plus belle Nul ne l'a vue et, dans mon coeur, Je garde sa beauté suprême ; (Arrière tout rire moqueur !) Et morte, je l'aime, je l'aime. J'ai consulté tous les devins, Ils m'ont tous dit : " C'est la plus belle ! " Et depuis j'ai bu tous les vins Contre la mémoire rebelle. Oh ! ses cheveux livrés au vent ! Ses yeux, crépuscule d'automne ! Sa parole qu'encore souvent J'entends dans la nuit monotone. C'était la plus belle, à jamais, Parmi les filles de la terre..

il la décrit comme un oiseau « vive et preste comme un oiseau » ainsi le héros dégage sont sentiment d’amour « C’est peut-être la seule au monde/ Dont le cœur au mien répondrait » v 5.6 .On devine un amour impossible par un contraste temporelle, la jeunesse et la vieillesse « ma nuit profonde » laisse deviner un esprit tourmenté et blaisé par le temps. Le héro évoque la nouveauté de cet être si jeune et si pur, si beau « une fleur qui brille ». De plus « A la bouche un refrain nouveau » v.4 insiste